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MotoGP Allemagne J3, Luca Marini (Honda/6) est le héros du jour : « Vu notre position, ce résultat fait la différence »

Luca Marini a serré les dents lors du Grand Prix d’Allemagne, et ça a payé ! Blessé, il ramène les points de la sixième place.
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MotoGP, Allemagne J3, Johann Zarco victime d’un pneu froid au Sachsenring : chute cruelle et ambitions reportées à Brno

Après vérification du team, la cause de la chute de Johann Zarco viendrait d’un manque de température optimale dans le pneu avant.
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MotoGP, Allemagne, l’ennuyeux Sachsenring était le premier Grand Prix sous pavillon Liberty Media : un mauvais présage ?

Pour Liberty Media, le Sachsenring a montré qu’une bataille pour propulser le MotoGP dans une nouvelle ère commerciale s’engage.
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MotoGP Allemagne J3, Pedro Acosta (KTM/Ab) est réaliste : « Marc Marquez est d’un tout autre niveau »

Pedro Acosta a chuté lors du Grand Prix d’Allemagne, alors qu’il était en mesure de ramener de très gros points.
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MotoGP, crash-fest en Allemagne : pourquoi tant d’abandons en MotoGP sur le Sachsenring ?

Le Grand Prix au Sachsenring a été marqué par un taux d’abandon alarmant. Sur 18 pilotes au départ, 10 ont franchi la ligne d’arrivée.
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Pourquoi Zarco n’a pas été pénalisé pour sa chute sous drapeau jaune

Le 18e des 30 tours du Grand Prix d’Allemagne, ce dimanche, a marqué le début d’un épisode étonnant de l’épreuve sur le Sachsenring. En effet, alors qu’il était en seconde position, Fabio Di Giannantonio a perdu le contrôle de sa Ducati et a chuté au premier virage. Une poignée de seconde plus tard, un peu plus bas dans ce même premier virage, c’est Johann Zarco qui est parti à la faute.
 
La séquence n’était pas terminée puisque trois tours plus tard, c’est Marco Bezzecchi, alors qu’il était également deuxième à ce moment-là, qui est tombé au même endroit. Au tour suivant, Ai Ogura a perdu le contrôle de son Aprilia et est venu faucher Joan Mir, les deux hommes terminant eux aussi dans les graviers. C’est finalement Lorenzo Savadori, remplaçant de Jorge Martín chez Aprilia officiel, qui a fermé le bal en tombant juste après leur accrochage.
Sur ces quatre tours, les commissaires ont eu à se pencher sur plusieurs situations. Et notamment celle concernant la chute de Zarco. Le Français est en effet tombé dans le même virage où venait de tomber Di Giannantonio et pouvait être soupçonné de ne pas avoir pris suffisamment de précaution dans une zone déjà placée sous drapeau jaune. Toutefois, assez rapidement, il a été notifié que les commissaires avaient décidé de ne pas agir à son encontre.
L’explication, c’est Zarco lui-même qui l’a fournie après la course : “Il y a toujours un peu de positif, parce que j’aurais pu prendre un double long-lap pour Brno. Je ne l’ai pas pris, heureusement. Ils montrent qu’en fait, au moment où il y a le drapeau jaune, directement après il y a le drapeau vert et je glisse là où il y avait le drapeau vert, donc c’est la raison pour laquelle je ne suis pas pénalisé.”
 
Un double long-lap auquel Savadori – qu’il devrait toutefois ne pas purger en République tchèque si Martín y fait bien son retour – n’a de son côté pas échappé. L’Italien a en effet été jugé coupable par les commissaires du GP “de s’être accidenté tout en ne respectant pas le panneau lumineux jaune qui était affiché en raison d’un crash au virage 1” et d’avoir entraîné “une situation potentiellement dangereux pour lui-même, pour les autres pilotes et pour les commissaires”.
Dernière situation litigieuse de cette séquence : l’accrochage entre Ogura et Mir n’a lui non plus pas fait l’objet d’une enquête des commissaires, qui n’ont donc pas jugé le Japonais sanctionnable pour l’incident.
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MotoGP Allemagne J3, Pecco Bagnaia (Ducati/3) n’est pas satisfait de son podium : « C’est toujours pareil »

Malgré des difficultés avec sa moto, Pecco Bagnaia a tout de même accroché la troisième place à l’issue du Grand Prix d’Allemagne.
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Zarco encore victime d’une température de pneu trop basse

Johann Zarco avait terminé le sprint frustré de ne pas avoir pu jouer le podium ou même la victoire ce samedi, tout en se réjouissant d’avoir au moins tenu bon sans tomber, malgré un pneu arrière jamais monté en température pour aller chercher trois points. Ce dimanche, le Français n’a pas eu la même réussite puisqu’en dépit d’un début de course bien plus prometteur, c’est une chute au 18e des 30 tours du GP d’Allemagne qui a mis fin à ses espoirs d’une belle moisson de points.
Même s’il n’a pas pu longtemps tirer bénéfice de sa seconde place sur la grille, Zarco s’était au fil des tours installé à une confortable sixième place, dans un no man’s land entre un top 5 inatteignable à la régulière et un Fabio Quartararo qu’il maitrisait sans souci.
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“Je ne pouvais pas rester avec le groupe de tête car ils avaient un rythme un peu meilleur que le mien. Mais après dix tours, je ne perdais plus autant et je contrôlais assez bien. J’étais content d’être en sixième position. J’espérais peut-être revenir sur les gars devant moi. J’espérais qu’avec des pneus usés, je pourrais garder ce rythme. La bonne chose, c’est que je prenais un peu d’avance sur Quartararo, donc ma place était assurée.”
“C’était cool de se battre un peu sur le sec, d’essayer de garder ma position face à [Pedro] Acosta, ou même Jack [Miller]. Et oui, c’est là que nous pouvons être quand tout va bien. J’étais en sixième position et ça aurait été bien de marquer ces points.”
“Comment j’ai perdu autant de température ?”

VIDÉO – RÉSUMÉ : Les meilleurs moments du GP d’Allemagne

Toutefois, à mesure que la course avançait, la situation pneumatique – déjà critique ce samedi sur une piste humide – s’est rappelée à son mauvais souvenir. “Je trouve qu’on n’a pas eu de chance sur ce week-end parce que nos choix n’étaient clairement pas stupides, pas fous, ce n’était pas un pari de folie. Ce n’était même pas un pari, tout semblait logique, et ça n’a pas fonctionné”, a-t-il déclaré ce dimanche, en référence au pari du medium arrière lors du sprint.
Puis, concernant la course de ce dimanche sur le sec, il s’est montré très dubitatif : “Et même là, cet après-midi, comment j’ai perdu autant de température sur le pneu avant ? Le team s’est excusé mais même eux sont encore surpris des données qu’ils ont pu avoir. Donc ça met les boules.”
Zarco explique en effet sa chute par un pneu avant devenu “petit à petit” trop froid, sans qu’il ne comprenne réellement pourquoi. “Le pneu était à moins de 70°C et c’est pour ça que j’ai chuté. Normalement, nous sommes plutôt à 80, 85, voire entre 80 et 90. Nous avons donc perdu près de 15 degrés sur le pneu avant.” 
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Il estime d’ailleurs que les nombreuses chutes, principalement au premier virage, ont sans doute la température basse comme dénominateur commun : “Comparé à la température que nous avons eue l’année dernière, nous ne nous attendions pas à une baisse aussi importante. Je pense que la chute de [Fabio] Di Giannantonio [juste avant la sienne] est également due à ça, comme pour les autres pilotes. Nous avons été surpris. Pas au même endroit, mais je pense que beaucoup de chutes aujourd’hui sont dues à cette baisse de température.”
Quand il lui est demandé si les conditions particulières du week-end – qui a alterné temps sec et temps pluvieux – ont pu jouer dans cette situation, Zarco répond : “C’est possible, oui. Et même cet après-midi, c’était… Il semblait qu’il allait faire chaud, mais pendant la course, il ne faisait pas si chaud que ça. C’est peut-être juste l’air frais.”
Sous pression à cause de la pression

Johann Zarco, entre Pecco Bagnaia et Jack Miller
Photo de: Alexander Trienitz

À cette problématique, s’est ajoutée celle du contrôle de la pression des pneus puisqu’à mesure que la température tombait, la pression chutait également et risquait de le mettre dans l’illégalité : “Je me suis rendu compte que ma pression était trop basse et pendant deux tours, le compteur ne bougeait plus. Il restait 13 tours et je devais encore en faire 10 avec le pneu avant qui perdait de plus en plus de pression. J’ai donc pensé que je pouvais pousser un peu plus pour le chauffer.”
“Je ne voulais pas attendre Quartararo, mais ça aurait été la meilleure solution. Mais l’accident n’est pas dû au fait que j’ai poussé, j’ai vu le drapeau jaune. J’avais tout sous contrôle, j’étais safe, mais dans la descente, en inclinant la moto, j’ai chuté.”

Quand j’ai dit ‘j’ai chuté, le pneu était froid’, il en doutait. Il s’est dit ‘il a peut-être exagéré en pilotage, il n’était pas sur la bonne ligne’, mais il a dit ‘non, à 70°C tu ne peux aller nulle part’.

Même si la pression n’est pas directement responsable de la chute, cela veut-il dire qu’elle a été réglée trop bas par rapport à ce qu’il aurait fallu, peut-être dans l’idée qu’il allait faire la course derrière quelqu’un dans un groupe ? “Là oui, clairement. Mais même [en roulant] seul, je n’aurais pas dû être si bas. Ils prévoient quand même au cas où, si je suis seul, que je sois quand même dans la zone. David [Garcia, son ingénieur] ne s’attendait pas à ça. Quand il a ouvert les datas, il a fait [il mime l’étonnement]. Parce que même quand j’ai dit ‘j’ai chuté, le pneu était froid’, il en doutait. Il s’est dit ‘il a peut-être exagéré en pilotage, il n’était pas sur la bonne ligne’, mais il a dit ‘non, à 70°C tu ne peux aller nulle part’. Donc, c’était curieux.”
“C’est vrai que ma première pensée dans ce cas-là, c’est que je sens que j’ai de la marge, donc je me dis ‘si je pousse un peu plus, peut-être que je vais remettre de la température, je vais aller un peu plus vite de quelques dixièmes, du coup je continue à lâcher Fabio, peut-être que je vais remonter ceux de devant…’ Enfin, ça peut faire un combo gagnant. Mais non, en fait, par moi-même, la température n’aurait pas pu remonter. Ça aurait été joli d’attendre [les pilotes derrière], de se mettre dans le groupe et de voir de que je peux redonner.”
Quand il lui est demandé si c’est une mauvaise chose pour le MotoGP que des pilotes doivent envisager, pour remonter leur pression et rester dans les clous, d’abandonner leur avance pour se replacer dans un groupe, Zarco préfère prendre le parti d’en tirer une leçon : “Oui, c’est navrant, c’est sûr. Mais c’est la première fois que ça m’arrive vraiment, donc… Moi, je suis content d’une certaine manière d’avoir cette possibilité d’analyser. Parce que je ne pouvais pas aller plus vite. Vraiment, ma position était la bonne. Et par rapport à Assen, nous sommes revenus à quelque chose de très correct sur la moto.”
“Mais ensuite, nous avons une certaine limite lorsque les pneus sont neufs et frais. Du troisième au dixième tour, je n’ai pas pu suivre Pecco [Bagnaia]. Je sens que je ne peux pas faire plus. Ou peut-être que je peux essayer, mais cela se solderait par une chute. Mais après dix tours, mon rythme semblait assez correct. Et je l’avais dit avant la course. Je savais que la première moitié de la course pourrait être difficile, mais si je suis bien placé, je pouvais espérer un bon résultat dans la seconde moitié.”
Avec German Garcia Casanova
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MotoGP, Allemagne J3, Marco Bezzecchi (Aprilia/Ab.) : « Ce serait mentir que de dire que je ne suis pas déçu »

Parti à la faute alors qu’il était deuxième, Marco Bezzecchi n’a pas caché sa déception, mais souhaite retenir le positif de sa performance.
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MotoGP Allemagne J3, Alex Marquez (Ducati/2) a résisté : « Je suis très heureux de marquer plus de points que Bagnaia »

Alex Marquez a encore terminé deuxième en Allemagne, mais cette fois, ce résultat a une saveur bien particulière au vu du contexte.
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MotoGP, Allemagne Championnat : les frères Marquez éteignent une compétition sans panache

Le Grand Prix d’Allemagne au Sachsenring restera dans les annales comme la course singulière et décevante du championnat.
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Márquez au Sachsenring : la domination à l’état pur

Cette fois, Marc Márquez n’a pas offert à ses adversaires la liberté de croire qu’il pourrait être battu. Un départ impeccable l’a placé en tête du GP d’Allemagne, et il allait y rester jusqu’à l’arrivée, sans aucune contestation possible. Trente tours d’une attaque parfaite, qualificatif que lui-même se plaît à glisser dans son discours cet après-midi.
Il n’y a pas de fausse modestie à avoir : il était attendu en grandissime favori et s’est montré à la hauteur, pour finalement décrocher dimanche sa septième victoire de la saison. C’est même la septième fois cette année, la quatrième de suite, qu’il réalise un carton plein en empochant à la fois le maximum de points au sprint et dans la course principale. Voilà qui lui permet d’entrer dans la seconde moitié du championnat avec 83 points d’avance, un matelas plus que confortable !
“Je suis super content”, se réjouit Marc Márquez, qui gagne pour la 12e fois de sa carrière sur ce circuit du Sachsenring. “C’était une des pistes que j’avais marquée sur le calendrier, sur laquelle attaquer. Sur les deux dernières, il s’agissait de défendre, mais celle-ci, c’est vrai qu’elle est spéciale pour moi.”
“Je savais que c’était un circuit pour moi et j’ai essayé de faire un week-end parfait. On l’a fait, l’équipe a travaillé à la perfection, en particulier avec la moto pour le mouillé, et à partir de là j’ai essayé de gérer la course. C’était difficile parce que j’avais du mal à comprendre comment attaquer, mais je me sentais plus safe en attaquant plus fort et moins en ralentissant, alors j’ai continué à attaquer tout au long de la course.”
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Concentration et aisance maximales
Márquez a parfaitement construit son week-end, lui qui avait fait l’impasse sur le time attack décisif vendredi pour dédier son temps de piste à la préparation de la course, avant l’arrivée de la pluie. Ce travail a payé aujourd’hui, et il a aussi su s’adapter à la baisse d’adhérence entraînée par le passage des averses ainsi qu’au vent qui a poussé certains pilotes à la faute en course.
“J’ai fait attention à tout ça. Surtout, quand j’ai commencé à voir beaucoup de drapeaux jaunes et de marques au sol, ça m’a donné une concentration supplémentaire”, explique-t-il. “J’arrivais sur un circuit sur lequel je me sens bien et qui est parfait pour mon style de pilotage. Et c’était encore mieux avec les conditions d’aujourd’hui puisque ça glissait et que j’aime ça.”

Un train d’avance sur les autres…
Photo de: Alexander Trienitz

“J’avais des trajectoires parfaites, je passais chaque virage à la perfection parce que je n’étais pas à ma limite. Ma limite était en 1’20″4-1’20’3, comme je l’ai montré en essais, mais aujourd’hui j’ai juste essayé de gérer les pneus depuis le début parce que je savais que la course serait super longue. Il est vrai qu’à la fin, les pneus se sont plus dégradés que ce à quoi je m’attendais mais même comme ça, je me sentais à l’aise.”
Cette performance, qui paraît presque crânement facile vue de l’extérieur, Márquez l’explique beaucoup par la concentration qu’il a réussi à maintenir et qui lui avait fait défaut à Austin, par exemple. “J’étais pleinement concentré. Avant toute chose j’ai essayé de comprendre le pneu avant et le grip offert par la piste, parce qu’après la pluie normalement l’adhérence est très faible. C’était le cas en effet, l’usure des pneus était très forte aussi, mais on a bien géré et aujourd’hui j’ai été fluide.”
“On a fait un week-end parfait, j’étais super concentré, surtout hier qui a été la journée la plus importante du week-end avec la pluie. Et aujourd’hui, sur le sec, je savais que mon rythme était un peu plus rapide que celui des autres et j’ai juste essayé de ne pas exagérer et d’être fluide en piste.”

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