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MotoGP, Thaïlande J1 : à quelle heure ont lieu les essais de ce vendredi à Buriram ?

L’ouverture de la saison 2025 de MotoGP en Thaïlande à Buriram offre un cadre idéal pour démarrer une compétition qui s’annonce effrénée.
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MotoGP, Dani Pedrosa taille la nouvelle génération : « si vous mettiez Jorge Lorenzo, Rossi, Stoner et moi-même à leur âge, nous serions devant »

Dani Pedrosa évoque son époque avec Lorenzo, Rossi, Stoner et se dit convaincu qu’ils seraient compétitifs dans le MotoGP actuel.
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MotoGP, Thaïlande J0, Fabio Quartararo : « ce week-end, je serais heureux si je pouvais être dans le top 7 »

Sans attentes démesurées, Fabio Quartararo aborde ce début de saison en Thaïlande avec humilité et détermination.
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MotoGP, Thaïlande J0, Débriefing Marc Marquez : « nous ne pouvons pas oublier Acosta », etc. (Intégralité)

La conférence de presse en prélude au Grand Prix MotoGP de Thaïlande a montré un Marc Marquez serein et prêt à se battre pour le championnat.
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MotoGP, Thaïlande J0, Franco Morbidelli : « nous commencerons certainement avec une énergie particulière »

Franco Morbidelli est impatient de débuter la saison MotoGP 2025, avec l’équipe dirigée par son mentor Valentino Rossi.
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MotoGP Thaïlande J0, Maverick Vinales fait son autocritique : « Avant, ce n’est pas que je manquais de patience, mais… »

Maverick Vinales a connu quelques problèmes avec ses précédentes équipes en MotoGP. Peut-il rebondir chez KTM ?
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MotoGP, Thaïlande J0, Raul Fernandez : une Aprilia toujours trop chaude, mais un pilote prêt à briller à Buriram

Raul Fernandez aborde la saison avec une Aprilia améliorée, mais encore perfectible, notamment en ce qui concerne la gestion de la chaleur.
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L’objectif de Zarco en Thaïlande : “Entrer directement en Q2”

Honda a montré des signes de progrès pendant les tests hivernaux. Si l’équipe officielle voit encore des faiblesses importantes sur le moteur, Johann Zarco a rapidement affiché son ambition de jouer le top 10, un objectif auquel il avait renoncé l’an passé, et finalement atteint seulement deux fois en course principale.
En arrivant à Buriram pour le premier Grand Prix de l’année ce week-end, le pilote LCR s’est dit “frais pour débuter la saison”, avec la volonté de mettre en œuvre cet objectif dès vendredi. Il espère donc assurer une place parmi les dix premiers pendant les Essais, ce qui lui garantirait d’être en Q2.
“C’est toujours encore plus sympa de revenir quelques semaines après le test parce que tout est prêt”, a souligné Zarco ce jeudi. “On est clairement concentrés pour entrer directement en Q2 et essayer d’améliorer les qualifications, pour avoir de plus grandes chances en course.”
“On peut voir que c’est possible et j’espère que je le ferai de la bonne façon. La fin du test a été un peu difficile pour moi, j’étais un peu fatigué et je n’ai pas vraiment pu être performant comme je le voulais, mais on a vu avec la quantité de tours que j’ai faite que l’on avait de bonnes informations pour nous. En réglant la moto aussi bien que possible, on fera la différence pour utiliser le potentiel de la moto.”
Pendant les tests, Zarco a eu plus de nouveautés à évaluer que ce qu’il attendait mais le travail nécessaire sur les réglages a été fait. “On a clairement notre base”, a souligné le Français, qui espère maintenant la peaufiner, ce qui n’était toujours pas chose aisée en 2024, avec des nouveautés qui arrivaient à un rythme très soutenu et qui concentraient une grande partie de l’attention le vendredi des courses.
“C’est vrai que ce n’était pas facile d’avoir cette situation parfois l’an dernier. Je n’ai jamais la sensation de renoncer au vendredi parce qu’on peut toujours être performant, mais c’est toujours dur d’être performant quand on n’a pas de stabilité dans ce que l’on connaît. À la fin de l’année, on a eu plus de stabilité et les résultats sont devenus bien meilleurs, pour moi en tout cas.”

Johann Zarco
Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

“Maintenant, avec cette expérience d’un an et tout ce que l’on a fait pendant les tests – parce qu’on en a fait beaucoup – je pense que je vais pouvoir débuter la saison avec de bien meilleurs résultats que l’an dernier.”
En 2024, ces essais à répétition ont mené à des motos différentes parmi les quatre représentants de Honda, chacun ayant ses préférences. Zarco ne s’est pas clairement penché sur de potentielles différences entre sa machine et celles des pilotes officiels cette année, mais ils devraient partir de la même base.
“Je suppose que tout est identique parce qu’on était tous au même niveau pour le développement. L’an dernier, on a pu voir des choses différentes sur nos motos parce que c’était un choix des pilotes d’utiliser ceci ou cela. C’est encore possible maintenant mais on va commencer avec les mêmes possibilités.”
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Les évolutions qui apparaîtront maintenant sur la Honda seront le fruit du travail de Romano Albesiano, qui a pris cet hiver le poste de directeur technique. L’Italien arrive en provenance d’Aprilia et a notamment été choisi pour apporter des méthodes qui font la réussite des marques européennes depuis le début de la décennie, comme Yamaha l’a fait en recrutant Max Bartolini, ancien de Ducati, au même poste il y a un an.

Johann Zarco
Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Si, chez Pramac, nouveau partenaire de Yamaha, Jack Miller sent que les cultures européennes et japonaises commencent à bien s’associer, Zarco estime que Honda n’a pas atteint ce stade pour le moment.
“Je pense que ce n’est pas encore le cas parce que cela prend du temps de modifier les méthodes de travail. Chez Yamaha, Max est là depuis plus d’un an. C’est pour ça que maintenant, Jack a cette impression, parce que ça fait plus d’un an qu’ils ont quelqu’un de Ducati. Nous, ça ne fait que quelques mois [qu’Albesiano est là] donc on ne peut pas encore le ressentir.”
“Je n’ai pas discuté de technique avec lui mais il a la même impression que moi : il ressent un gros potentiel chez Honda, il est assez impressionné par toutes les opportunités que Honda peut avoir”, a souligné Zarco. “Quand on sera en mesure de les utiliser au mieux, on brillera à nouveau.”
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Vincent Lalanne-Sicaud

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Johann Zarco

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Le conseil de Márquez à Martín : “Respecte ton corps”

Une accumulation de blessures, conséquences de chutes lors du test de Sepang puis d’un entraînement en supermotard, prive Jorge Martín du début de la saison. L’Espagnol a été opéré deux fois en l’espace de trois semaines, sur chaque main, mais c’est surtout une fracture “complexe” du scaphoïde, au niveau du poignet gauche, qui va nécessiter une convalescence assez longue. On sait déjà que Martín manquera les deux premiers Grands Prix de l’année, sans aucune certitude sur sa présence à Austin, dans un mois.
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S’il y a bien un pilote au fait des blessures à répétition et complexes, ainsi que du besoin de laisser le temps à la convalescence de faire son effet, c’est Marc Márquez. En 2020, l’Espagnol s’est fracturé le bras droit et a tenté de remonter sur sa moto seulement six jours plus tard, ce qui a fragilisé la plaque qui avait été posée. Cette dernière s’est brisée dans un accident domestique, ce qui a entraîné de nouvelles opérations et une saison blanche.
Diminué pendant plusieurs années par cette séquence, la dernière intervention ayant été pratiquée en 2022, Márquez ne peut recommander qu’une seule chose à son compatriote : éviter tout excès de confiance et prendre le temps nécessaire pour ne pas accroître les risques.
“Malheureusement, ça fait partie de notre sport”, a commenté Márquez à Buriram, où Martín manque à l’appel ce week-end. “Je comprends un peu la situation parce qu’après avoir été champion du monde, tu as une confiance renforcée, et parfois tu ne vois pas la limite.”
“Je lui ai écrit ce matin et selon mes impressions et mon expérience, je lui ai juste dit ‘Respecte ton corps’. Je n’ai pas respecté mon corps par le passé et je l’ai payé cher. Je lui ai dit ‘Si tu perds trois, quatre, cinq ou six courses, ce n’est rien’. Il est jeune, il a beaucoup de talent, sa carrière devant lui, donc on lui souhaite un bon retour parce que le numéro 1 doit le défendre en piste.”

Pecco Bagnaia
Photo de: Gold and Goose

Pecco Bagnaia connaît très bien Martín, puisqu’ils ont été coéquipiers en Moto3 avant leur lutte pour le titre ces deux dernières années. Plus qu’un prompt rétablissement, il lui souhaite surtout une convalescence sans empressement, dans la lignée des propos de Márquez. “Il a vraiment manqué de chance, d’autant qu’il va falloir qu’il attende longtemps avant de revenir en pleine forme, le scaphoïde ça prend longtemps”, a rappelé le pilote Ducati.
“Je ne l’ai pas appelé mais je lui ai envoyé un message, et je lui ai dit que c’était dommage, que c’est vraiment un moment de malchance pour lui”, a-t-il ajouté. “Je l’ai embrassé fort parce que je pense qu’on peut difficilement dire quoi que ce soit de plus dans cette situation. La seule chose que je veux lui dire, c’est de garder son calme, de ne pas se précipiter. C’est une longue convalescence et si jamais il avait un autre accident avant d’être pleinement remis, il pourrait mettre sa carrière en danger. Parfois, il vaut mieux attendre et ne pas se précipiter.” 
Fabio Quartararo estime lui aussi que Martín a “vraiment manqué de chance” dans son accumulation de chutes, sachant qu’il était déjà tombé peu de temps avant l’accident qui lui a valu sa première blessure. Il l’appelle aussi à la prudence.
“Il a eu trois grosses chutes pendant la pré-saison”, a rappelé le Français au site officiel du MotoGP. “On lui souhaite le meilleur dans sa convalescence. Parfois, on veut revenir le plus vite possible mais il faut aussi prendre son temps et récupérer à 100% quand on a subi deux lourdes chutes.”
Avec Léna Buffa
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Miller croit en Yamaha : “Plus optimiste qu’il y a 4 mois”

Après Honda, Ducati et KTM, voici Jack Miller sur le point de courir au guidon d’une Yamaha. Arrivé très tôt dans la catégorie reine, l’Australien a aujourd’hui dix ans de bagages et une pluralité d’expérience qui lui permettent de porter un jugement précis sur ce qu’il pilote. Et après un hiver dédié aux tests de la M1, il ne montre aucun signe d’inquiétude, loin de là.
“Chaque fois que je vais courir, je suis excité de toute façon !”, sourit-il à la veille des premiers essais du GP de Thaïlande. “Mais je dirais que je suis plus optimiste. Après le premier shakedown de la moto, maintenant que je l’ai comprise et que j’ai appris à la connaître, je me sens plus optimiste que je l’aurais été il y a trois ou quatre mois. Les tests se sont très bien passés, tout le programme a très bien fonctionné et on a passé en revue ce dont on avait besoin. Évidemment, on travaille encore, mais ça nous donne des fondations solides sur lesquelles commencer à bâtir.”
Son expérience de travail auprès de différentes marques, et notamment dans un rôle de pilote d’usine avec les deux derniers constructeurs qu’il a pu connaître, permet à Miller d’être ouvert aux méthodes de Yamaha, qu’il découvre. “Ce sont des systèmes différents mais, au final, l’objectif est toujours le même. Il y a toujours des manières de travailler différentes. J’apprécie vraiment ma position actuelle”, assure-t-il.
Se sent-il un pilote d’usine à parti entière, tout en courant pour le team Pramac ? “Pratiquement, oui, c’est identique. En termes de pièces, d’éléments à tester, tout”, promet l’Australien, qui voit Yamaha opérer avec des méthodes qui ne sont ni totalement européennes, ni totalement japonaises, mais “un peu des deux”. “Je pense qu’ils prennent le meilleur des deux. C’est appréciable”, souligne-t-il.

Ils ont toutes les pièces du puzzle, maintenant ils ont juste besoin de temps pour les assembler. On chasse des dixièmes, pas des secondes.

Et l’Australien d’en dire un peu plus sur la manière dont Yamaha implique Pramac dans le développement : “Ils ont complètement ouvert un nouveau chapitre, on peut dire que la structure est ouverte. On a structurellement suivi tout le programme de test. Il a pu m’arriver de tester un châssis qui est ensuite passé dans les mains de tous les autres pilotes pour essayer de recueillir des infos auprès de tout le monde et les aider à franchir la prochaine étape. Je pense qu’ils suivent la bonne voie et ils montrent toute leur implication pour essayer d’améliorer le projet et leur position.”
Que manque-t-il pour franchir cette prochaine étape qui ramènera Yamaha à l’avant ? “Le temps, c’est tout. Ils ont toutes les pièces du puzzle, maintenant ils ont juste besoin de temps pour les assembler. On chasse des dixièmes, pas des secondes. C’est à la fois très proche et très loin, ces derniers dixièmes sont les plus durs à trouver.”

Jack Miller s’est senti pleinement impliqué dans les essais hivernaux.
Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Le meilleur test team pour soutenir le développement
Dans l’ensemble de ce processus entrepris par Yamaha pour retrouver les plus hauts rangs du MotoGP, Jack Miller incarne, avec son coéquipier Miguel Oliveira, les efforts notables fournis pour faire de l’équipe satellite un véritable partenaire. Mais le groupe de pilotes s’enrichit également d’un test team repensé, qui peut s’appuyer sur deux nouveaux venus : Andrea Dovizioso et Augusto Fernández, venus en renfort alors que Cal Crutchlow continue de soigner une main blessée.
“Ils ont une équipe fantastique pour faire les tests et nous faire parvenir des choses. Je dirais que c’est probablement l’un des meilleurs test teams ici par rapport à la richesse de connaissances de Dovi et aussi à la jeunesse et la gentillesse d’Augusto. Je crois qu’Augusto pense ne pas en avoir fini ici et que ce rôle en tant que pilote essayeur est sa manière de revenir dans le jeu, alors il essaye de donner tout ce qu’il a.”
“On a donc ces deux pilotes qui travaillent ensemble et ça accélère le projet aussi. Alors ils cochent toutes les bonnes cases et font tout ce qu’il faut. C’est juste une question de temps, il faut tout réunir et ils reviendront là où ils méritent d’être”, conclut Jack Miller en confiance.
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Léna Buffa

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