Moto GP

Moto GP

Le V4 Yamaha “pas encore assez rapide” mais son “potentiel semble meilleur”

Yamaha multiplie les séances d’essais avec son V4, destiné à remplacer son quatre cylindres en ligne en MotoGP, mais la marque n’a pas encore pris de décision pour 2026. Les dirigeants restent fidèles au même discours, à savoir que c’est le bloc le plus performant qui sera installé dans la moto de la saison prochaine, la dernière du cycle règlementaire actuel avant une réduction de la cylindrée en 2027.
Fabio Quartararo a de son côté insisté sur une forte probabilité d’avoir ce moteur l’an prochain, mais il ne l’a pas encore évalué. En attendant que le développement soit suffisamment avancé, ce sont les différents pilotes d’essais de la marque qui se chargent du travail… et ce dernier reste conséquent.
“Il faut accélérer le processus parce que si on veut rouler avec le V4 l’an prochain, on a encore beaucoup de travail”, a souligné Augusto Fernández, essayeur de Yamaha aligné en wild-card à Brno. “Lors du dernier test, il n’y avait pas encore le package complet, le moteur n’était pas complet, tout est encore à un stade très préliminaire à tous les niveaux. On a eu le premier châssis, on a des nouveautés mais il faut accélérer le processus. C’est la seule chose que je veux dire.”
Fidèle à sa mentalité prudente, Yamaha avance méticuleusement en apportant chaque pièce au compte-gouttes : “Ils sont comme ça au Japon, ils veulent très bien comprendre les choses. Je n’ai rien contre ça, tant qu’on a une bonne moto l’an prochain, c’est bien. Ce sera un long processus mais ça se passe bien pour le moment.”
“Le moteur n’est pas encore à son niveau de performance maximal”, a souligné Fernández. “Le Japon ne nous a pas donné toute la puissance qu’il peut produire mais s’ils comprennent le processus, ce sera bien. Comme je l’ai dit, à un stade il faudra voir lequel est le plus rapide en termes de chronos. C’est ce qui décidera. Ce n’est pas négatif. Je veux dire qu’il faut de meilleurs chronos. On fait un bon travail, je pense que Yamaha fait un bon travail, ce sera une bonne moto, mais on verra.”

Augusto Fernández
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Fernández est en effet convaincu que ce V4 représente l’avenir face au quatre cylindres en ligne : “On est à la fin du projet de la M1 donc chez Yamaha, tout le monde est pleinement concentré sur le V4 actuellement. Il nous faut un peu plus de temps.”
“Je me sens très bien avec le V4”, a insisté l’Espagnol. “Il est très différent par rapport à notre moto [actuelle]. Je peux dire que le potentiel semble meilleur.”
Un moteur “particulier” loin de son meilleur niveau
Fernández a en effet décrit un comportement “très différent” par rapport à la moto actuelle, et après avoir connu le V4 KTM chez Tech3, il peut affirmer que le modèle de Yamaha n’est “pas similaire”, en raison de caractéristiques qui lui sont propres : “C’est un V4 particulier, le V4 de Yamaha.”
Álex Rins, qui a vu Augusto Fernández rouler sur la moto équipée du V4 lors d’un test à Brno, évoquait un retard de deux secondes. Le pilote d’essais confirme que les performances ne sont pas encore suffisamment bonnes, mais il espère des progrès significatifs au cours des prochaines semaines, avant une probable première apparition en course en fin de saison.
“Cela se présente bien. Tout est très positif mais ce n’est pas encore assez rapide. C’est ce qui déterminera le choix pour l’an prochain. Il faudra voir si au cours des prochains mois, pendant l’été, on aura des tests pour essayer d’accélérer le processus et de préparer la moto pour la fin de la saison.”
“C’est un long processus”, a-t-il rappelé. “Comme je l’ai dit, nous en sommes encore au début. Il faudra voir au cours des prochains mois. Je pense que nous aurons une meilleure idée de si nous l’utilisons ou pas, d’abord en fin de saison avec quelques wild-cards, comme vous le savez peut-être, puis pour la saison prochaine.”

Fabio Quartararo
Photo de: Alexander Trienitz

Fabio Quartararo attend beaucoup de ce nouveau moteur, dont le potentiel pourrait jouer un rôle important avant une éventuelle prolongation. Le Français a néanmoins appelé la marque à continuer le développement de sa moto actuelle, mais comprend que le V4 concentre la plus grande attention.
“Je ne change pas [d’opinion] mais évidemment, si on peut trouver quelque chose pour cette année, c’est bienvenu avec la moitié de la saison encore à faire”, a expliqué Quartararo. “Si on peut avoir des évolutions, ce sera bien, mais évidemment l’avenir est super important. Je comprends totalement qu’ils mettent une grosse énergie dans la nouvelle moto et pas dans l’actuelle.”
“Je pense qu’ils mettent beaucoup plus d’efforts dans le V4 actuellement”, a confirmé le champion du monde 2021. “Je pense que c’est la bonne chose.”
Lire aussi :

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Le V4 Yamaha “pas encore assez rapide” mais son “potentiel semble meilleur” Lire l’article »

Moto GP

MotoGP : Fabio Quartararo ne veut pas que le V4 soit une priorité absolue chez Yamaha et Augusto Fernandez en parle

Fabio Quartararo insiste auprès de Yamaha sur le fait que le projet actuel de la M1 n’est pas encore à abandonner au profit de celui du V4.
Cet article MotoGP : Fabio Quartararo ne veut pas que le V4 soit une priorité absolue chez Yamaha et Augusto Fernandez en parle est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP : Fabio Quartararo ne veut pas que le V4 soit une priorité absolue chez Yamaha et Augusto Fernandez en parle Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Brno : Honda ne doit surtout pas marquer plus de 14 points ce week-end et voici pourquoi

Honda joue son va-tout à Brno pour éviter de perdre ses précieuses concessions techniques, un enjeu majeur pour la suite de la saison.
Cet article MotoGP, Brno : Honda ne doit surtout pas marquer plus de 14 points ce week-end et voici pourquoi est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Brno : Honda ne doit surtout pas marquer plus de 14 points ce week-end et voici pourquoi Lire l’article »

Moto GP

Jorge Martín s’explique : “On n’est jamais préparé à passer près de la mort”

Après deux mois d’une lutte plus juridique que sportive, Jorge Martín et Aprilia donnent une seconde chance à leur mariage. Bien conscient qu’il ne pourrait pas échapper à un exercice de vérité avant de pouvoir se concentrer sur la piste à l’heure de reprendre la compétition, le champion du monde en titre a donné une conférence de presse spéciale à Brno, à la veille des premiers essais qui marqueront un nouveau départ pour lui.
Il a commencé par clarifier l’issue de ce conflit qui était depuis quelques jours une évidence : oui, il va rester chez Aprilia et aller au bout de leur contrat de deux ans. Mais l’Espagnol a surtout longuement mis les mots sur ce qu’il a traversé depuis le début de l’année, et particulièrement depuis son grave accident au Qatar, il y a trois mois. Expliquant ses peurs et ses doutes, il a joué le jeu de l’honnêteté comme rarement un athlète de ce calibre le fait, sans se dérober face aux questions des journalistes.
Lire aussi :

Comment vas-tu ? Es-tu prêt pour ce retour ?
Je suis très content d’être ici. Ça a été six ou sept mois très difficiles pour moi. J’ai beaucoup souffert, j’ai eu beaucoup de blessures. Mais je suis enfin heureux d’être ici et d’être de retour sur ma MotoGP. Et je peux dire aussi que je suis heureux de dire que je vais rester chez Aprilia pour 2026.
Qu’est-ce qui t’a convaincu de rester chez Aprilia ?
Je souhaite expliquer un peu ce qui s’est passé, car je pense que si je l’avais fait dès le début, tout aurait été plus facile. Après ma première blessure, puis la deuxième et la troisième, chacune étant de plus en plus importante ou plus grave, j’ai commencé à beaucoup douter, non seulement de mon avenir mais aussi de moi et de beaucoup de choses différentes. À ce moment-là, je devais prendre une décision quant à mon avenir et cette décision était soit d’essayer l’Aprilia pendant quelques courses de plus, soit d’activer cette clause dont vous avez tous entendu parler. Aprilia a refusé ces deux [options]. Je le respecte et le comprends, disons qu’ils défendent leurs droits.
À partir de là, il a fallu que je me batte pour ce que je pensais être le mieux pour moi, c’est-à-dire essayer de passer à un autre projet, et cette bataille a alors commencé. Je pense que j’aurais pu poursuivre cette bataille plus longtemps, mais dans la vie, il faut prendre des décisions et ma décision est maintenant de rester chez Aprilia pour une saison de plus. On voit que Marco [Bezzecchi] et Aprilia font un travail fantastique, je ne suis pas idiot et je vois qu’on a un gros potentiel ensemble, qu’on peut faire de très bonnes choses. J’espère être très bien préparé pour ce qui m’attend.

Je ne regrette rien. Tout ce que j’ai fait a été ce que j’ai pensé être le mieux pour mon avenir et pour moi.

As-tu lu ce qui a été écrit depuis Le Mans ?
Je ne regrette rien. Tout ce que j’ai fait pendant ces quelques mois a été ce que j’ai pensé être le mieux pour mon avenir et pour moi. Je pense que personne ne peut comprendre ce qui vous passe par la tête quand vous êtes à l’hôpital avec 12 côtes cassées et que vous n’arrivez pas à dormir pendant une semaine. Donc tout ce que j’ai fait, je l’ai fait parce que je pensais que c’était ce qu’il y avait de mieux pour mon avenir, et c’est également ce que je fais maintenant en décidant de rester ici.
Pourquoi avoir pensé à Honda, alors que l’Aprilia est meilleure actuellement ?
Honda était une option, mais ça n’était pas la seule.
Va-t-il être possible de retrouver l’amour avec Aprilia et ses équipes, après une rupture comme celle-ci il y a quelques mois ?
Je pense qu’une relation, c’est comme des montagnes russes. On peut tomber amoureux, se disputer, mais si vous aimez l’autre personne, vous allez travaillez dur pour rester ensemble et vous battre pour atteindre vos objectifs. C’est là qu’on en est. Je ne peux pas dire qu’il ne s’est rien passé. Il est clair qu’on a eu une grosse bataille avec Aprilia, mais le temps est venu de construire ensemble parce qu’on veut tous les deux être ensemble à présent et gagner. C’est ce qui compte et je pense qu’il est possible de retomber amoureux.
Ce sont tes blessures qui t’ont fait douter et envisager de quitter Aprilia ?
Il est clair que le fait que je sois hospitalisé n’a pas aidé, parce que si j’avais commencé la saison comme une saison normale, ça ne serait jamais arrivé. On ne le saura jamais. Mais ce qui compte, c’est qu’on soit ici à présent et que tout soit terminé.
Tu ne sembles pas très enthousiaste…
Je suis très enthousiaste ! C’est juste que je n’aime pas trop être ici [en conférence de presse] aujourd’hui ! J’aime être dans le paddock, mais c’est bizarre d’être ici tout seul. J’ai vraiment hâte.
Comment as-tu décidé de rester ? Ton changement d’état d’esprit est-il venu du fait que tu voulais résoudre ce conflit rapidement ou du fait d’avoir vu les résultats de Bezzecchi ?
C’est un mélange de plusieurs choses. La première, c’est que je voulais que tout soit terminé avant de reprendre la compétition. Je ne voulais pas revenir ici et être toujours en conflit avec Aprilia ou avec qui que ce soit. C’est donc pour cela que j’ai voulu aller vite et que ça s’arrête avant de revenir. Je ne pouvais pas reprendre la piste en ayant plein de choses qui me passait par la tête.
Et j’ai aussi vu les progrès. Mon premier ressenti d’après ce que j’ai vu lors du test de Barcelone, de celui de la Malaisie et au Qatar avait tout le temps été très mauvais parce que j’ai eu des chutes, des blessures. C’est pour ça que j’ai beaucoup douté. Mais en faisant un test et avec le Aprilia All Stars, j’ai pu voir à quel point Aprilia m’entourait et m’aidait à me sentir en sécurité, et j’ai alors changé d’avis.
Comprends-tu que l’équipe qui est au stand peut avoir été déçue de ce qui s’est passé ? T’es-tu excusé auprès d’eux ?
En revenant dans le paddock après tout ce qui s’est passé en dehors, on peut sentir une sorte de tension. Mais au final, le plus important entre un pilote et une équipe, c’est de communiquer, de se parler. S’ils sentent que quelque chose ne va pas, ils sont libres de pouvoir me parler et si je sens que quelque chose ne va pas, j’ai cette liberté aussi.
Je ne me suis pas excusé, parce que je n’ai pas le sentiment de devoir m’excuser de quoi que ce soit. J’ai fait ce que j’ai pensé être le mieux pour ma carrière et maintenant on est ensemble, donc on va rester ensemble, se parler, et s’ils ont le sentiment que je dois faire quelque chose pour améliorer notre relation, je vais le faire. Pour moi, il est très important qu’on forme vraiment une famille, donc je vais travailler dur pour cela.
Leur as-tu déjà parlé ?
Oui, j’ai parlé avec toute l’équipe, j’ai parlé aussi avec le test team avec lequel j’ai roulé la semaine dernière, j’ai parlé avec Massimo. On est dans le même bateau. Ça ne va pas être facile, c’est sûr, tout ne va pas être rose d’emblée, mais on va se battre pour ça et je vais faire de mon mieux pour obtenir de très bons résultats.
Tu avais dit avoir beaucoup travaillé sur ton mental l’année dernière : es-tu déçu de ta gestion mentale par rapport à ce qui s’est passé ?
Non. Je crois qu’on n’est jamais préparé à passer près de la mort. Il y a toujours différentes situations dans la vie mais il y a parfois des situations auxquelles on ne s’attend pas, et quand elles arrivent elles sont très dures à accepter. Le Qatar a été l’une de ces situations. Je me suis retrouvé dans une situation très mauvaise. [Il est pris par l’émotion] Je pense que seuls mon père et ma petite amie savent ce qui m’a traversé l’esprit et ce que j’ai ressenti dans mon corps. Pour moi, être ici aujourd’hui me démontre le courage que j’ai et ça me motive encore plus.
Quand tu as dit à Aprilia que tu voulais faire jouer la clause du contrat, t’attendais-tu à ce qu’ils disent “OK, on est d’accord” ?
Non… mais je ne veux pas continuer à parler sans cesse de cette clause. Je ne suis pas idiot, je n’aurais pas fait tout ça s’il n’y avait pas eu cette clause, ça n’aurait eu aucun sens. Je l’ai comprise d’une certaine manière et eux d’une autre, et c’est la raison pour laquelle on a autant parlé pendant ces quelques mois. Mais ce qui est important, c’est que je suis ici, avec Aprilia.

Si la bataille avait été plus agressive, ça aurait été difficile de recommencer à travailler et de faire comme si de rien n’était.

Malgré ce conflit entre vous, Aprilia et toi semblez avoir pris garde à maintenir le respect envers l’autre. C’était important pour aider à reconstruire cette relation à présent ?
Oui. Si la bataille avait été plus agressive, ça aurait été difficile de recommencer à travailler et de faire comme si de rien n’était. Je pense qu’Aprilia comme moi, on est très honnêtes les uns avec les autres depuis le premier jour et qu’on l’est encore. On sait qu’il s’est passé ça, on sait qu’il faut qu’on recommence à travailler ensemble, et c’est tout. Le moment est venu de mettre la tête dans le guidon et de faire de notre mieux pour revenir au sommet.
Y a-t-il du positif à tirer de ces derniers mois, même s’ils ont été très durs ?
La confiance en moi, oui. J’ai clairement eu du mal quand j’étais à l’hôpital, au Qatar, mais je crois que je me suis parfaitement bien entraîné, que je suis mieux préparé que jamais. Et je crois que je ne savais pas combien de courage je pouvais avoir et que maintenant je le sais. C’est en moi et je vais le garder pour toute ma carrière.
Tu as dit que tu n’avais pas besoin de t’excuser auprès d’Aprilia. Y a-t-il par contre quelque chose dont tu peux les remercier ?
Oui, je peux assurément les remercier pour tout le travail qu’ils réalisent. Peut-être qu’à l’avenir, si on gagne ensemble, je remercierai Massimo [Rivola] pour tout ce qu’il a fait pour me garder ! [rires] Et puis, l’opportunité qu’on s’est offerte l’un l’autre depuis l’année dernière est formidable et j’ai eu le sentiment qu’on devait maintenant se donner une autre opportunité pour continuer à travailler sur ce projet, et c’est ce qu’on a fait. Il est donc temps maintenant de travailler.
Tu dis avoir commencé à douter de tout, y compris de toi. Peux-tu expliquer cela ?
Quand j’étais à l’hôpital, je ne savais pas si j’allais pouvoir courir à nouveau. J’ai passé quatre jours en soins intensifs et ça a été un moment vraiment dur. Je parlais avec ma compagne, mon père, avec Aleix [Espargaró] parfois, et je ne savais pas si j’allais un jour pouvoir remonter sur une MotoGP. Donc à partir de là, j’ai douté de tout : est-ce que j’allais être rapide à nouveau ? Est-ce que j’allais redevenir fort ? Beaucoup de choses. Au niveau personnel, j’ai juste essayé de garder mon calme et de prendre mon temps.
En comparaison de l’accident dont tu as été victime à Portimão en 2021, en quoi cette période a-t-elle été plus difficile pour toi ?
Ça n’a rien à voir. C’est peut-être dû au fait que j’étais plus jeune, je ne sais pas, mais à l’époque je voulais juste guérir et remonter sur la moto. Maintenant, j’ai tous ces nuages de pensées [qui m’entourent], au sujet de l’équipe et tout le reste, et puis je suis un personnage plus important, donc on en parle plus. C’est peut-être pour ça que ça a pris plus d’ampleur, et les blessures étaient aussi beaucoup plus graves. Je vais en tirer des enseignements. Si ça se reproduit – car ça peut se reproduire, je l’accepte, j’accepte le fait qu’on est en MotoGP et qu’on risque notre vie chaque fois qu’on prend la piste -, alors j’essaierai d’être meilleur.
Tu as gagné beaucoup de fans l’année dernière, mais l’opinion publique a semblé plutôt opposée à ce que tu as fait : qu’en penses-tu ?
Les fans sont très importants, ils sont le moteur de notre sport et de notre vie, sans eux il nous serait impossible de piloter ces motos. Je peux comprendre leur opinion mais la seule chose que je peux dire, c’est que j’ai fait ce que je pensais être le mieux pour ma vie et pour mon avenir, c’est tout. J’espère que certains d’entre eux reviendront dans mon camp, mais en réalité, je ne regarde pas trop les critiques et je reste simplement concentré sur mon entourage et ma famille pour être plus fort.
À quel point l’intervention de Carmelo Ezpeleta à Assen a-t-elle été importante dans ta décision de rester chez Aprilia en 2026 ?
Je respecte la position de Carmelo, il est le big boss et c’est tout.
Ne penses-tu pas que la seule erreur dans tout cela a été de rendre la question médiatique au lieu d’en parler en privé avec Aprilia ?
On a parlé de tout en privé. Au final, prilia a appliqué sa stratégie et nous la nôtre, et au final on est de retour ensemble.

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Jorge Martín s’explique : “On n’est jamais préparé à passer près de la mort” Lire l’article »

Moto GP

MotoGP 2026 : Miguel Oliveira, futur pilote d’essai ? Yamaha et Aprilia en embuscade alors que le WSBK l’attend

Alors que Yamaha évalue ses options pour 2026, Miguel Oliveira pourrait voir sar carrière en MotoGP menacée.
Cet article MotoGP 2026 : Miguel Oliveira, futur pilote d’essai ? Yamaha et Aprilia en embuscade alors que le WSBK l’attend est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP 2026 : Miguel Oliveira, futur pilote d’essai ? Yamaha et Aprilia en embuscade alors que le WSBK l’attend Lire l’article »

Moto GP

Les médecins valident le retour de Jorge Martín

Trois mois après son accident au Qatar, Jorge Martín est enfin autorisé à participer à un nouveau Grand Prix. Le pilote espagnol a passé avec succès le contrôle médical auquel il était soumis ce jeudi au circuit de Brno, où se tient cette semaine la 12e manche de la saison. Il s’agissait de la dernière étape qu’il lui fallait franchir après de longues semaines dédiées à sa guérison.
Après deux premières chutes au mois de février, qui avait déjà compromis son début de championnat, Martin avait conclu dans la douleur le seule Grand Prix auquel il ait pu prendre part jusqu’ici. Dans sa chute en course, il n’avait pu être évité par Fabio Di Giannantonio, positionné derrière lui, et avait été involontairement percuté. Une douzaine de côtes fracturées et un hémopneumothorax l’avaient alors plongé dans une toute autre réalité que celle de la compétition.
Après son hospitalisation au Qatar, puis une longue période de soins une fois rentré à son domicile, le pilote Aprilia a doucement repris l’entraînement. Il y eut d’abord un peu de marche en montagne, puis la délivrance de remonter à vélo, fin mai. Quelques jours plus tard, il participait à l’événement Aprilia All Stars et en profitait pour faire quelques tours de piste à moto, comme un avant-goût de ce qu’il allait réaliser fin juin.
 
La véritable reprise s’est faite lors d’un test privé à Barcelone, au guidon d’une RSV4, puis d’un autre organisé dans la foulée à Misano et qui lui a enfin permis de piloter sa MotoGP. Entre-temps, ses médecins personnels avaient donné leur accord, mais lui avaient formellement interdit de disputer le GP d’Allemagne, le circuit du Sachsenring étant jugé trop exigeant pour Martín, qui a surtout traîné une faiblesse au niveau du scaphoïde gauche.
Ce temps de piste a donné lieu à des conclusions positives et plus rien ne semblait faire obstacle au retour du champion du monde en titre. Les médecins officiels du championnat l’ont à présent confirmé et on reverra donc l’Aprilia frappée du numéro 1 en piste vendredi.
Entre-temps, Jorge Martín semble avoir également tiré au clair son opposition au constructeur dans une tentative vaine de se libérer de son contrat. Il s’en expliquera dans une conférence de presse spéciale qui se tiendra cet après-midi à Brno.
Lire aussi :

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Les médecins valident le retour de Jorge Martín Lire l’article »

Moto GP

Championnat du Monde Féminin, Donington : Les Françaises Boudesseul, Ongaro et Bondi reviennent sur leurs courses

Découvrez les réactions des trois pilotes françaises engagées dans le Championnat du Monde Féminin, après la troisième manche de la saison.
Cet article Championnat du Monde Féminin, Donington : Les Françaises Boudesseul, Ongaro et Bondi reviennent sur leurs courses est apparu en premier sur Paddock GP.

Championnat du Monde Féminin, Donington : Les Françaises Boudesseul, Ongaro et Bondi reviennent sur leurs courses Lire l’article »

Moto GP

Zarco veut “la position de pilote numéro 1” chez Honda, même chez LCR

Septième du championnat, avec plus de points que les autres pilotes Honda réunis, Johann Zarco exprime l’ambition d’être le premier pilote de la marque la saison prochaine. En discussion pour son avenir depuis plusieurs semaines déjà, le Français se montre ouvert quant à l’équipe dans laquelle il pourrait poursuivre son engagement, cependant il met en avant un statut privilégié qu’il souhaiterait avoir et qu’il juge mériter.
En début de saison, Johann Zarco estimait “logique” d’être promu dans l’équipe d’usine, une perspective qui donnait des sueurs froides à Lucio Cecchinello. Aujourd’hui la position du pilote a quelque peu évolué, en lien avec ce que le constructeur peut proposer au-delà de la distinction entre son équipe officielle et son team satellite.
Questionné ce jeudi pour savoir si la résolution de l’affaire opposant Jorge Martín et Aprilia, et donc le maintien du pilote dans son équipe actuelle pour la saison prochaine alors qu’on le disait lorgner sur une place chez Honda, changeait la donne pour lui, Johann Zarco a répondu : “Non. La situation est que les choses se passent bien avec Honda et je sais que je peux rester avec eux, mais il faut encore évaluer [ce choix entre] LCR et le HRC. Ils voulaient avoir un peu de temps. Il est vrai que le fait que Jorge Martín reste chez Aprilia fait naître encore plus de points d’interrogation quant à où je pourrais aller.”

Johann Zarco est celui qui a ramené Honda à la victoire, au GP de France.
Photo de: Marc Fleury

“Je pense que la position de pilote numéro 1 est importante”, a poursuivi le pilote français, “j’ai besoin de l’être et il serait logique que ça le soit au HRC. Mais les choses peuvent bouger chez Honda, et même en étant chez LCR je peux peut-être être le pilote numéro 1. Pour le moment, c’est un petit peu en stand-by mais ça ne change pas mon travail en piste.”
“Idéalement”, rester chez LCR
Lorsqu’il lui a été demandé ce qu’il préférait, Johann Zarco a montré qu’il avait fait mûrir son point de vue depuis le printemps. “Idéalement, ce serait de rester chez LCR”, a-t-il répondu, “parce que ce qu’on est en train de bâtir est très bon. Je veux aussi garder au moins mon chef mécanicien parce que vu ce que je suis en train de développer avec lui, ce sera un avantage de commencer une nouvelle saison avec la même personne parce que ça fait gagner du temps immédiatement pendant les essais hivernaux.”
“Et la relation qu’on bâtit avec Lucio est aussi très intéressante, il travaille beaucoup avec ses partenaires et sponsors et je peux voir qu’avec l’expérience que j’ai, je peux faire plaisir aux partenaires plus qu’un autre pilote. La belle histoire, ce serait ça. Mais il y a aussi Honda, qui peut prendre une décision. Donc il faut attendre un peu pour comprendre ce qui va se passer.”
Lui qui a fêté ses 35 ans hier, il veut aussi se projeter sur la durée et non sur une prolongation d’une seule année, et ce en dépit du bouleversement attendu en 2027. “J’adorerais être là en 2027 ! Quand il y a un changement de règlement, c’est une opportunité. La Honda peut peut-être devenir la meilleure moto, ou en tout cas il y aura moins de différence avec la Ducati, alors c’est une opportunité pour décrocher des podiums et de gagner des courses. Parce qu’on voit que quand une opportunité se présente, je la saisis.”
Lire aussi :

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Zarco veut “la position de pilote numéro 1” chez Honda, même chez LCR Lire l’article »

Moto GP

Bastianini de retour, “pas à 100%” et avec 3 kg en moins

Enea Bastianini fait son retour ce week-end, après avoir dû manquer le GP d’Allemagne. Le pilote Tech3 a en effet passé une sale semaine, qui a commencé par une grosse intoxication alimentaire et s’est terminée par une hospitalisation causée par une inflammation de l’appendice.
“Je vais plus ou moins bien à présent. Ça a été très compliqué parce qu’au bout de nombreux examens, [on a compris que] j’avais pris une bactérie dans du poulet. Le poulet a détruit mon week-end !”, explique l’Italien au moment de retrouver le paddock, à Brno.
“C’était une bactérie dans du poulet. Pas besoin d’intervention. J’avais l’appendice très inflammé. Quand on faisait la palpation sur l’estomac, on sentait énormément de liquide. J’avais un ventre… On aurait dit que j’étais enceinte ! C’était étrange. J’étais certain que ça n’était pas un virus ou quoi que ce soit de ce genre. J’étais sûr que c’était autre chose.”
S’il promet être suffisamment remis pour remonter en selle, Bastianini explique avoir tout de même été affaibli par sa mésaventure : “Je pense ne pas être à 100%, j’ai perdu plus de 3 kg pendant le week-end. J’ai essayé de m’entraîner un peu avant de venir et, d’une manière générale, je vais bien. Hier, pour mon dernier entraînement, mes sensations n’étaient pas trop mauvaises, mais je ne suis pas à 100%.”
Lire aussi :

“Je suis quand même confiant de faire un bon week-end, ça va être bien de dépenser mon énergie, surtout samedi et dimanche. Ceci dit, je ne sais pas comment mon physique va réagir pendant le week-end”, poursuit-il, certain malgré tout de ne rien manquer du Grand Prix. “Oui, là-dessus je suis confiant. C’est probablement dimanche qui va être le plus difficile pour faire la course longue sans m’être entraîné pendant une semaine, mais le problème a surtout été de perdre 3 kg. Je n’ai rien bu ni mangé pendant trois jours… C’était une remise à zéro !”
Contraint au repos forcé, Enea Bastianini n’a commencé à reprendre des forces que dimanche, tandis que ses adversaires s’affrontaient en course. “Jusqu’à vendredi, et même un peu samedi, je n’arrivais pas à penser à autre chose que me remettre sur pied et aller mieux, parce que j’étais vraiment mal. Après, j’ai commencé à aller bien et j’ai aussi repris mon téléphone parce que jusqu’alors, je n’arrivais à rien faire… Dimanche, j’ai quitté l’hôpital et j’ai regardé la course à la maison, et là, oui, j’ai souffert. C’était moche de ne pas y être.”
L’équipe Tech3 n’a pu aligner aucun pilote en course, le week-end dernier, Maverick Viñales s’étant, lui, blessé en qualifications. L’Espagnol reste absent en République tchèque, remplacé par Pol Espargaró.

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Bastianini de retour, “pas à 100%” et avec 3 kg en moins Lire l’article »

Moto GP

Márquez reste offensif : “Il est trop tôt pour gérer ces points”

Après avoir remporté les deux courses du Mugello et les deux d’Assen, deux circuits qu’il redoutait, Marc Márquez affichait sa volonté de se montrer plus prudent, par crainte de faire des erreurs au Sachsenring, circuit qu’il adore, comme il avait pu en commettre sur d’autres terrains favorables en début de saison, Austin et Jerez.
Le naturel a cependant repris le dessus : l’Espagnol a pris les risques nécessaires pour battre Johann Zarco sous la pluie en qualifications, puis pour gagner des places et arracher la victoire à Marco Bezzecchi lors du sprint. “Franchement, j’ai pris trop de risques”, admettait-il samedi, avant de survoler la course principale le lendemain.
Avec maintenant 83 points d’avance sur Álex Márquez, 147 sur Pecco Bagnaia et plus de 200 sur le reste du plateau, le moment est-il venu d’assurer des points chaque week-end ? N’y comptez pas : s’il se dit prêt à faire le dos rond en cas de week-end difficile, Marc Márquez reste déterminé à renforcer son avance autant que possible, et reste persuadé que cette approche est finalement la plus appropriée.
“Naturellement, quand je le sens, j’attaque”, a expliqué le pilote Ducati à son arrivée sur le circuit de Brno. “Ce n’est pas comme si en course sprint, j’avais attaqué sans le sentir. Je sentais que j’étais capable de faire ces chronos, donc j’ai attaqué. Mais maintenant, pour moi il est trop tôt pour gérer ces points.”

Marc Márquez
Photo de: Hazrin Yeob Men Shah / Icon Sportswire via Getty Images

“Quand il faut gérer les points, ce sont sur certaines pistes, comme ici ou la prochaine ou en Autriche, où si l’on souffre, il faut comprendre que quelqu’un est plus rapide et marquer des points. Mais il reste 11 courses, on ne peut pas prendre la piste en songeant aux risques, à ne pas tomber…”
“Je ne veux jamais tomber. Quand je suis tombé, à Austin et à Jerez – surtout à Austin –, c’est quand j’étais le plus détendu. J’aime avoir ce genre de tension et la même mentalité.”
Cette stratégie réussit totalement à Márquez, l’homme fort de presque toutes les courses disputées cette année. Il donne l’impression de retrouver son meilleur niveau, au prix de nombreux sacrifices pur arriver dans la meilleure forme possible : “J’ai un peu tout changé, mais pas l’entraînement. Je m’entraîne dans le même mode. Comme je l’ai dit, j’ai tout misé sur le rouge. Il faut sacrifier beaucoup de choses pour atteindre mon objectif.”
Márquez a trouvé sa base sur la Ducati
Si Márquez a atteint ce niveau, c’est aussi parce qu’il est désormais pleinement en confiance sur sa Demosedici. Après un an d’apprentissage chez Gresini, sur la Ducati de la saison 2023, il a très vite été dominateur sur la GP25 et depuis le GP d’Aragón, il a trouvé une base qui n’évolue qu’à la marge.
“On jouait déjà un peu avec les réglages, selon la piste, le niveau d’adhérence et mon pilotage, parce que parfois, on veut piloter d’une façon et on pilote d’une autre. Maintenant, j’ai une très bonne stabilité mais ce n’est pas que je roule avec des réglages différents des autres Ducati. J’ai plus ou moins les mêmes réglages et tout le monde est dans les mêmes chiffres.”

Marc Márquez
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Ce week-end, les pilotes renouent avec le GP de République tchèque, dont Márquez avait manqué la dernière édition en 2020 en raison de sa blessure. Ses dernières références remontent à son succès de 2019, avec Honda, mais la piste a évolué puisque la surface a été totalement refaite. Faute de repères récent, il commencera les essais avec une Ducati dans sa configuration classique.
“Normalement, quand on a une bonne base, la base normale doit servir. Depuis le Mugello, on utilise les mêmes réglages sur la moto donc on va juste un peu ajuster les amortisseurs. Je suis à l’aise. Ce sera intéressant à comprendre parce qu’on arrive d’une petite piste avec peu de grip, pour se rendre sur une grande piste avec un grip élevé. On verra ce qu’on pourra faire.”
Lire aussi :

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Márquez reste offensif : “Il est trop tôt pour gérer ces points” Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Aprilia va peut-être changer de rang de concession à Brno et l’impact serait énorme

Aprilia est proche de changer de catégorie de concession après le Grand Prix de Tchéquie. Qu’en est-il réellement ?
Cet article MotoGP, Aprilia va peut-être changer de rang de concession à Brno et l’impact serait énorme est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Aprilia va peut-être changer de rang de concession à Brno et l’impact serait énorme Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Brno : Luca Marini prêt à braver la douleur pour poursuivre l’élan de Honda

Après le Grand Prix au Sachsenring, le team officiel Honda aborde le retour du MotoGP à Brno avec un mélange d’optimisme et d’appréhension.
Cet article MotoGP, Brno : Luca Marini prêt à braver la douleur pour poursuivre l’élan de Honda est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Brno : Luca Marini prêt à braver la douleur pour poursuivre l’élan de Honda Lire l’article »

Moto GP

Marini : le niveau de Zarco est “incroyable” mais “pas la réalité” de Honda

Honda a fait des progrès cette année, mais les plus beaux résultats du constructeur dans la première moitié du championnat sont surtout le fruit de performances de Johann Zarco. On retiendra naturellement sa victoire au GP de France, dans une journée très perturbée par la pluie, et sa deuxième place deux semaines plus tard à Silverstone, dans des conditions très différentes, mais ce ne sont pas ses seuls coups d’éclat.
Le natif de Cannes a été classé au quatrième rang au Qatar et au sixième en Argentine, où il s’était hissé en première ligne, performance reproduite sous la pluie en Allemagne, seul Marc Márquez ayant pu le devancer.
Ces différentes prestations signifient que Zarco compte 23 points de plus que l’ensemble des autres pilotes Honda réunis, en comptant ceux engagés en wild-card depuis le début de l’année. Luca Marini ne peut que s’incliner face à cette capacité à tirer le meilleur de la Honda sur des terrains très différents, mais estime que la marque ne peut pas se permettre de se reposer sur ces exploits de sa part.
“Le potentiel de notre moto est toujours le même”, a souligné l’Italien. “Parfois, Zarco arrive à extraire un potentiel incroyable, mais à mon avis ça n’est pas la réalité. Il fait quelque chose de vraiment bien, il est tout le temps très en confiance avec les pneus, il a quelque chose de plus, et il pilote très bien. Mais je pense qu’on ne peut pas se permettre ce genre de performance pendant toute la course.”

Johann Zarco
Photo de: Mark Wieland / Getty Images

Après un début de saison encourageant, Honda a en effet marqué le pas, en payant l’absence de nouveauté sur sa moto. Zarco a lui-même eu du mal à confirmer après Silverstone et Marini, deuxième représentant de Honda au championnat, s’amuse du fait que cela ait coïncidé avec son absence, puisque sa blessure l’a contraint à manquer les courses en Aragón, au Mugello et à Assen. Plein de second degré, il veut se voir en “motivation” pour le pilote LCR.
“Je veux faire les mêmes choses que Zarco parce qu’il pilote très bien en ce moment, il est en grande forme. Surtout maintenant que je suis revenu ! Quand j’étais chez moi, dans mon canapé, il n’était pas en grande forme – maintenant il est fantastique !”
Avec Léna Buffa
Lire aussi :

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Marini : le niveau de Zarco est “incroyable” mais “pas la réalité” de Honda Lire l’article »

Moto GP

MotoGP 2026 : Honda rate Jorge Martin et ouvre la porte à un transfert choc de Fabio Quartararo

Honda a subi un revers dans ses plans pour la saison MotoGP 2026, après que Jorge Martin ai été raté, mais ne désarme pas pour autant.
Cet article MotoGP 2026 : Honda rate Jorge Martin et ouvre la porte à un transfert choc de Fabio Quartararo est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP 2026 : Honda rate Jorge Martin et ouvre la porte à un transfert choc de Fabio Quartararo Lire l’article »

Retour en haut