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MotoGP, Fermín Aldeguer : « Peut-être que je ne m’attendais pas à être aussi régulièrement dans le top 5 »

Fermín Aldeguer reconnaît avoir été surpris par ses performances et dresse un bilan positif de ses débuts en MotoGP.
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MotoGP, Pit Beirer (KTM) évoque la grave période de troubles : « Oui, l’entreprise était en péril »

KTM a connu une période très difficile l’hiver dernier, et Pit Beirer, PDG de KTM Racing, a forcément été impacté.
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MotoGP, Marc Marquez : « quand mes rivaux disent du mal de moi, ça me motive »

Le succès fulgurant de Marc Marquez avec la GP25 est un mélange de talent pur et de l’instinct qui l’a propulsé au sommet dès ses débuts.
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Bastianini voit le bout du tunnel : “J’ai traversé des mois difficiles”

On a parfois pu se demander jusqu’où irait la descente d’Enea Bastianini. Très en souffrance depuis qu’il a intégré le groupe KTM, l’Italien n’a pas réussi à suivre le rythme de ses collègues, balayé notamment par la réussite vite obtenue par son voisin de garage, un Maverick Viñales qui, comme lui, ne connaissait rien à la RC16 avant cette année.
Jamais qualifié plus haut que 16e, jamais dans les points en sprint et seulement quatre fois dans le top 10 en course principale : ce n’est un secret pour personne que les performances de Bastianini ont été inférieures à ses attentes durant cette première moitié du championnat, lui que l’on a connu vainqueur à sept reprises ces dernières saisons.
“On a vu tout de suite que ça n’était pas à la hauteur de ce que je fais habituellement, que c’était une moto avec laquelle j’allais avoir plus de mal. Je cherche à étudier [les autres] pour réussir à faire quelque chose, y compris en course”, expliquait le natif de Rimini avant de se lancer dans le week-end de Brno.
Il sortait tout juste de l’hôpital, car aux difficultés en piste s’est ajoutée une intoxication bactérienne qui l’a mis KO et l’a obligé à manquer un Grand Prix. Difficile donc de croire qu’il allait pouvoir redresser la barre avant la pause. Et pourtant, à peine quelques jours plus tard, Bastianini est parti en vacances avec le sourire, cette visite en République tchèque ayant soudain marqué un vrai tournant.
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“J’ai moi aussi parfois perçu la lumière, réussi en tout cas à être plus efficace que d’autres pilotes KTM, mais on n’a pas encore défini la voie que je voudrais suivre. Je crois que ça va venir avec le travail, avec les nouveautés qui vont arriver”, soulignait-il encore avant d’attaquer le Grand Prix tchèque.
Tout n’était pas totalement noir en effet dans son bilan à ce stade. Ces éclaircies, il en a bénéficié dans les semaines qui ont précédé la pause, au Mugello ou encore à Assen notamment. Mais s’il arrivait parfois à terminer ses week-ends avec des sensations en progrès, il subissait lourdement son manque de sensations en pneus neufs, et donc ses faibles qualifications, ainsi qu’une inconstance marquée.
Sur ce point, le week-end de Brno a véritablement balayé le passé. Ce Grand Prix a permis à Bastianini de retrouver le sourire et il l’a placé dans une belle dynamique avant la pause, avec des performances solides de bout en bout du week-end. Une meilleure adhérence a contribué à hausser le niveau des quatre KTM, cependant le bond du pilote Tech3 a été tout bonnement spectaculaire.

Une médaille synonyme de délivrance pour Enea Bastianini.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Ses performances à Brno (une qualification directe en Q2, la troisième place du sprint et la quatrième de la course avant sa chute) ont été tellement supérieures à sa moyenne de l’année que cela paraissait même un peu dur à croire après les grosses difficultés des derniers mois.
“J’ai toujours pensé que quand j’arriverais à faire quelque chose de plus, le step serait important, et ça a été le cas”, a-t-il cependant fait remarquer. “Parce que quand on manque de confiance, on perd non pas un ou deux dixièmes, mais plutôt sept ou huit. Et quand on a un bon feeling, tout ça change, on peut progresser. C’est ma chance de pouvoir à présent revenir et prendre du plaisir.”
“J’ai traversé des mois difficiles, je ne le nie pas, mais j’ai toujours gardé conscience de mon potentiel. Quand les choses sont au point, j’arrive à m’exprimer, la journée [de samedi à Brno] a été de celles-là. Dans ce genre de situation, les gens que l’on a autour de soi comptent beaucoup et j’ai une belle famille qui m’entoure. Je tiens à la remercier, ils m’ont toujours soutenu.”

Je n’ai pas encore tout sous contrôle, c’est certain, mais le jour viendra où ce sera le cas.

“Cette année a été très difficile jusqu’ici, mais ça a été plus facile [à Brno], on était tout le temps aux avant-postes. Le départ continue à nous limiter un peu. En partant plus haut, tout est plus simple, évidemment”, faisait tout de même remarquer Bastianini en quittant Brno, où il s’élançait 11e et a “payé cher” une erreur dans le septième tour, le privant de la quatrième place qu’il occupait alors. 
“Il faut qu’on travaille dans cette direction”, insistait le pilote Tech3 en quittant la République tchèque, conscient qu’il tient maintenant une voie à explorer. “Je crois que la direction prise est la bonne. Je n’ai pas encore tout sous contrôle, c’est certain, mais le jour viendra où ce sera le cas.”

Enea Bastianini a-t-il passé un cap durablement ?
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Il serait, certes, très prématuré d’estimer que la domination Ducati s’effrite, mais ce dernier Grand Prix avant la pause a en tout cas montré une autre hiérarchie, avec une plus grande mixité de marques aux avant-postes. “Le fait qu’on n’ait pas couru sur cette piste depuis longtemps a été un désavantage pour eux. On était tous plus proches. La vérité, c’est qu’aujourd’hui aussi, les Ducati étaient assez rapides”, faisait remarquer Bastianini. “Mais il est clair qu’on essaye de pousser fort pour combler notre retard. Je crois que, petit à petit, on y arrivera.”
Maintenant que KTM est en capacité de produire certaines évolutions sur-mesure pour ses pilotes, l’Italien attend impatiemment une pièce bien précise, qu’il a demandée avant l’été et qu’il devrait recevoir à la reprise, en Autriche. “J’ai cette exigence de recevoir une nouvelle selle parce que je suis sûr que ça va m’apporter un gros bénéfice. Pour le moment, je ne peux pas prendre la position que je voudrais quand je suis à la corde et j’ai vraiment du mal à rester agrippé à la moto, alors ça va m’aider.”
À cela s’ajoutent les bonnes nouvelles en provenance de KTM, dont le nouveau PDG a été vu à Brno. “Dans le box, il a motivé tout le monde et c’était bien”, a observé le pilote Tech3. “Il est bourré d’énergie, ça se voit, alors je suis content qu’il soit passé à la tête de KTM. Je l’ai vu pour la première fois ce week-end alors je ne le connais pas bien mais il m’a fait une bonne première impression.”
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F1 et MotoGP : Liberty Media rêve d’un méga-événement… mais est-ce vraiment possible ?

L’acquisition du MotoGP par Liberty Media, déjà propriétaire de la Formule 1, a ravivé les rumeurs d’une course conjointe F1/MotoGP.
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Street, vidéo : Moto Guzzi se tourne vers l’avenir mais conserve (heureusement) le passé à Mandello del Lario

L’usine Moto Guzzi de Mandello del Lario se transforme en un vaste complexe qui allie futurisme et conservation de son héritage…
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“Unique et inhabituel” : les impressions des pilotes Ducati au Balaton Park

Mardi, les six pilotes MotoGP de Ducati ainsi que le pilote essayeur de la marque ont profité d’une journée d’entraînement atypique. Tous étaient réunis au Balaton Park, le nouveau circuit qui, dans un peu plus de deux semaines, accueillera le Grand Prix de Hongrie.
Pour cette nouvelle épreuve intégrée au calendrier cette année, le championnat s’appuie sur un circuit ouvert il y a deux ans et jusqu’ici dédié aux courses automobiles. Jugé par endroits dangereux pour les motos, il a été retouché ces derniers mois, avec l’ajout de chicanes qui ont eu pour but de casser le rythme et ont ralenti l’ensemble du tour.
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Les pilotes WorldSBK en ont fait l’expérience il y a quelques jours, en y disputant la huitième manche de leur championnat. Une sorte de grande répétition avant que les motos les plus puissantes investissent les lieux du 22 au 24 août. Les pilotes essayeurs des constructeurs MotoGP ont aussi pu faire un test au Balaton Park fin juin et les titulaires des équipes Ducati ont donc à leur tour roulé sur place mardi au guidon de Panigale V4 S.
Ducati a communiqué sur cette journée de “team building” de ses pilotes, visant toutefois plus à “se familiariser avec la piste hongroise” qu’à créer du lien entre chacun. Accompagnés par Michele Pirro, qui connaissait déjà les lieux, Marc Márquez, Pecco Bagnaia, Álex Márquez, Fermín Aldeguer, Franco Morbidelli et Fabio Di Giannantonio ont limé le bitume pour apprendre les enchaînements de ce tracé de 4 kilomètres.
“Une super journée en piste avec tout le groupe Ducati Corse”, témoigne Marc Márquez, qui a pu découvrir une nouvelle piste tournant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, comme il les aime, mais également au caractère stop-and-go très marqué.
“Je suis content”, se réjouit le leader du championnat. “Le tracé est unique et inhabituel. Cela va demander un style de pilotage légèrement différent. C’est une piste stop-and-go et il va falloir s’adapter. Plus on entrera vite dans le rythme, mieux ce sera, et on pourra vraiment apprécier la vitesse. Le bitume est bon, ils ont fait du bon boulot. J’ai hâte de courir ici avec la MotoGP.”
 
“Mes premières impressions au sujet du circuit du Balaton sont bonnes”, ajoute son coéquipier Pecco Bagnaia. “La piste est petite, il faut faire attention dans les chicanes, mais je suis satisfait. Le tracé est unique et il permet de s’amuser. Ce sera différent avec la Desmosedici GP, mais pour le moment je prends du plaisir avec la Panigale V4 et j’essaye même de la faire glisser.”
Ducati indique que le duo de son équipe d’usine a bouclé environ 70 tours de la piste au total mardi. Ils ont pu rouler de 11h à 17h environ, dans des conditions chaudes. Ils reprennent désormais quelques jours de vacances avant de faire leur retour à la compétition la semaine prochaine, en Autriche.

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MotoGP, Guenther Steiner anime déjà le milieu : génie du paddock ou simple coup marketing ?

Le rachat supposé de l’équipe Tech3 par Guenther Steiner fait couler beaucoup d’encre dans un paddock passé sous pavillon Liberty Media.
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MotoGP, Johann Zarco, la consécration HRC : Suzuka en dit long sur sa place dans l’écosystème Honda

Johann Zarco, le pilote le plus âgé du MotoGP, continue d’impressionner et de faire ses preuves auprès de Honda.
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MotoGP, Maverick Viñales : « J’ai renoncé à 17 millions en quittant Yamaha »

Maverick Viñales considère qu’il n’a pas à cacher la très grosse somme qu’il a perdue en quittant Yamaha en 2021, mais reconnaît que les choses auraient pu mieux se passer.
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MotoGP : Marc Marquez et Ducati en éclaireurs au Balaton Park avant le retour du Grand Prix de Hongrie

Avant le Grand Prix de Hongrie, les pilotes Ducati ont profité d’une journée d’essais privés pour prendre leurs marques sur le Balaton Park.
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Les pilotes Ducati ont découvert le Balaton Park

Le 22 août prochain, lorsque débuteront les essais du GP de Hongrie MotoGP, les pilotes du groupe Ducati auront un léger avantage sur leurs adversaires. La marque a en effet loué le circuit du Balaton Park ce mardi afin d’offrir à aux pilotes de ses trois équipes une journée de roulage au guidon d’une moto sportive.
Il ne s’agit, certes, pas de la Desmosedici avec laquelle ils courront ici dans un peu plus de deux semaines, mais d’une Panigale V4 S qui leur aura au moins permis d’apprendre le tracé et de se faire une idée de la manière dont ils passeront les enchaînements à haute vitesse. Selon le règlement, plus aucun titulaire MotoGP ne pourra rouler sur place à partir du 7 août, soit dans les deux semaines précédant le Grand Prix.
Marc Márquez, Pecco Bagnaia, Álex Márquez, Fermín Aldeguer, Franco Morbidelli et Fabio Di Giannantonio étaient tous au rendez-vous pour cette journée sur le nouveau circuit hongrois. Ils étaient également accompagnés par Michele Pirro, pilote essayeur du constructeur italien, lui aussi au guidon de la puissante moto de route de Ducati et non de celle qu’il développe habituellement. Le team manager de l’équipe d’usine, Davide Tardozzi, et une partie des techniciens étaient sur place eux aussi.
 
Le choix de la Panigale V4 S n’est pas anodin. Ducati étant privée de test avec ses titulaires du fait du groupe de concessions dans lequel elle figure, il s’agit du modèle le plus proche de la course que peuvent utiliser les pilotes pour une journée de ce type.
Dans sa version Pro, cette machine est équipée du moteur V4 de 1103 cm3 de la Desmosedici Stradale, capable de développer 216 chevaux et 123 Nm de couple. Elle est également équipée de plusieurs éléments en carbone, comme les jantes et les appendices aérodynamiques.
Cette moto, dont Marc Márquez et Pecco Bagnaia disposent d’un exemplaire préparé pour leurs entraînements en dehors des courses, est dotée d’un ensemble de freins avant Pro de Brembo, un équipement dont le prix dépasse les 10 000€ alors que la machine en elle-même coûte près de 50 000€ en magasin.
Un test a eu lieu au mois de juin
À l’approche de ce nouveau Grand Prix qui marquera le retour de la Hongrie au calendrier, on en sait de plus en plus sur le circuit du Balaton Park, créé en 2023 et qui sera très bientôt utilisé pour la première fois dans le cadre d’une course MotoGP. Le WorldSBK y a disputé un meeting le mois dernier et les pilotes essayeurs de tous les constructeurs MotoGP ont pu y mener un test fin juin.
Honda avait alors arpenté la piste avec Stefan Bradl, Yamaha avait dépêché Augusto Fernández, KTM avait fait rouler Pol Espargaró, Aprilia était représentée par Matteo Baiocco et Michele Pirro était déjà en piste pour Ducati.
“Elle n’est pas rapide, sans longue ligne droite. Ce sont des virages lents, beaucoup de chicanes lentes, une piste très technique”, avait décrit ce dernier, partageant l’avis général sur une piste que l’on attend lente, voire un peu limitée pour les puissantes MotoGP.
Le circuit, qui ne couvre que 4 kilomètres, est en effet composé d’enchaînements de virages secs, avec quelques épingles et chicanes très marquées, placées pour ralentir les machines et améliorer la sécurité. La plus longue ligne droite ne couvre que 668 mètres, pour un circuit qui a aussi pour caractéristique de tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre avec dix virages à gauche et sept à droite.
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MotoGP, Valentino Rossi : « ce championnat 2015 aurait pu être l’un des plus beaux. Mais il a été gâché »

La saison 2015 est restée dans les annales comme le théâtre d’une rivalité intense entre Valentino Rossi, Jorge Lorenzo et Marc Marquez.
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Quartararo convaincu que les difficultés de Yamaha sont “liées au moteur”

Course après course, Fabio Quartararo décrit les mêmes problèmes sur la Yamaha : un manque d’adhérence à l’arrière, qui provoque des glissades et accélère l’usure des pneus, sur une moto qui a parfois du mal à maintenir la roue arrière au sol. Mais quelle est la source de ce problème ?
Pour le champion du monde 2021, il y a un suspect évident : le quatre cylindres en ligne qui anime sa M1, alors que tous les concurrents disposent d’un V4. À Brno, il a pu suivre des Ducati, des KTM et des Aprilia, et il a toujours constaté les mêmes faiblesses face à ces machines pourtant différentes.
“Je n’en suis pas sûr parce que je ne suis pas un ingénieur et que je n’ai jamais essayé [de V4], mais Ducati a un châssis, KTM un autre et Aprilia encore un autre et ce que je vois aujourd’hui, c’est que nous avons les mêmes lacunes par rapport à chacune de ces motos”, a constaté Quartararo en République tchèque. “Je crois donc que c’est lié au moteur.”
“Ce sont des châssis complètement différents entre les trois motos mais les problèmes sont les mêmes”, a-t-il insisté, ne voyant que le V4 comme point commun aux machines européennes : “Il y a juste une chose qui est similaire, à savoir le moteur. […] Les problèmes avec les trois motos étaient vraiment, vraiment les mêmes.”

Fabio Quartararo a pu suivre diffrentes moto, dont la KTM de Pedro Acosta.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Si changer d’architecture moteur semble être un élément nécessaire selon Quartararo, il n’est peut-être pas suffisant puisque Honda dispose d’un V4 mais reste également en difficulté. Yamaha planche en tout cas sur le développement d’un tel moteur, qui pourrait être introduit en compétition dès 2026 même si la cylindrée évoluera l’année suivante, avec le nouveau règlement.
Les pilotes d’essais ont déjà pu évaluer ce fameux V4 lors de divers tests privés. Bien que les performances de ce nouveau moteur en développement soient encore loin du compte et que Yamaha ait attendu qu’il soit suffisamment peaufiné pour que le faire découvrir aux titulaires, ceux-ci devraient pouvoir l’essayer le mois prochain à Misano.
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Toujours les mêmes problèmes d’adhérence
En attendant de savoir si le V4 Yamaha aidera à rapprocher sa moto de la concurrence, Quartararo pointe toujours le besoin de progresser dans un domaine : “Le grip. C’est ce qu’il nous manque. En fait, à la sortie des virages, ce n’est pas si mauvais que ça ; la première partie n’est pas trop mal, mais ce qui manque, c’est vraiment du grip pour freiner, pour entrer. C’est quelque chose qui nous manque vraiment.”
Le pilote français, qui a déjà clairement indiqué que des progrès notables étaient nécessaires pour le convaincre de rester au-delà de 2026, estime que ce déficit lui coûte “beaucoup”. Il ne peut néanmoins pas le chiffrer puisque lorsqu’il réalise un tour rapide et n’est pas “coincé” dans le sillage d’un rival, il arrive plus facilement à exploiter les forces de la Yamaha, en courbe en particulier, profitant pour cela du fait de ne pas être freiné ni par ses adversaires ni par ce manque d’adhérence.
“Je n’ai aucune idée [de ce que ça représente]. Quand je suis tout seul, je peux prendre mon rythme, [exploiter] mon pilotage, je suis plus à la limite”, indique le quadruple poleman de cette saison. “Quand je suis en groupe, on perd beaucoup : il y a l’arrière, la puissance, l’aéro, etc. Mais nous travaillons dur pour corriger ces problèmes.”
Avec Fabien Gaillard
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MotoGP, Michele Masini (Gresini) l’admet : « Marc Marquez nous a aidés à nous améliorer »

Michele Masini, directeur sportif de Gresini Racing, s’est livré sur la trace laissée par Marc Marquez au sein de l’équipe.
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