MotoGP, Manuel Gonzalez, leader du Moto2, n’a toujours pas de guidon : « Être Espagnol est un désavantage »

Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com

Le leader du championnat du monde Moto2, Manuel Gonzalez, n’a toujours pas d’offres pour monter en MotoGP l’année prochaine. Nous pourrions nous retrouver dans une situation assez rare : que le champion du monde de la catégorie intermédiaire remette son sacre en jeu, exactement comme l’avait fait Tito Rabat en 2015 et Johann Zarco en 2016. Cette pratique, autrefois courante, a été progressivement oubliée. Et pourtant, Gonzalez n’intéresse apparemment aucune équipe ! Il s’exprime sur sa situation.

Dans une interview donnée à Speedweek, le pilote espagnol est revenu sur son cas. Et il a une théorie pour le moins originale, que l’on entend pas souvent. « Être espagnol a ses avantages. Les conditions sont bonnes et on peut commencer tôt. La culture moto est plus développée. On peut s’entraîner dès l’âge de trois ou quatre ans. Il y a beaucoup de pistes et la météo est clémente. Mais ce sont les seuls avantages. Lorsqu’on accède au Championnat du monde, il est plus difficile pour les Espagnols de passer en catégorie supérieure, car il y a 20 autres pilotes de son pays. Si on est le seul représentant de sa nation et qu’on réussit, c’est mieux pour les retransmissions télévisées. » déclarait-il.

 

Lire l'article complet - Auteur de l'article : Nicolas Pascual
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