Moto GP

Moto GP

MotoGP, Pecco Bagnaia : « entre Marquez et moi, il y a un grand respect et ça devra rester ainsi jusqu’à ce que nous arrêtions d’être coéquipiers »

Pecco Bagnaia a levé le voile sur cette relation unique avec Marc Marquez, soulignant le respect mutuel et la compétitivité qui les animent.
Cet article MotoGP, Pecco Bagnaia : « entre Marquez et moi, il y a un grand respect et ça devra rester ainsi jusqu’à ce que nous arrêtions d’être coéquipiers » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Pecco Bagnaia : « entre Marquez et moi, il y a un grand respect et ça devra rester ainsi jusqu’à ce que nous arrêtions d’être coéquipiers » Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Nicolas Goyon : « il ne fait aucun doute que nos pilotes Tech3 ont de l’ambition et le potentiel pour gagner des courses »

Nicolas Goyon, le directeur de l’équipe Tech3, revient sur les négociations inattendues qui ont permis de réunir un duo de choc.
Cet article MotoGP, Nicolas Goyon : « il ne fait aucun doute que nos pilotes Tech3 ont de l’ambition et le potentiel pour gagner des courses » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Nicolas Goyon : « il ne fait aucun doute que nos pilotes Tech3 ont de l’ambition et le potentiel pour gagner des courses » Lire l’article »

Moto GP

WSBK, Scott Redding : « à Phillip Island, j’ai pu dépasser Toprak Razgatlioglu au freinage, alors que l’année dernière cela aurait été impossible »

Scott Redding a partagé ses réflexions sur ses performances à Phillip Island, synonymes de retrouvailles avec une Ducati.
Cet article WSBK, Scott Redding : « à Phillip Island, j’ai pu dépasser Toprak Razgatlioglu au freinage, alors que l’année dernière cela aurait été impossible » est apparu en premier sur Paddock GP.

WSBK, Scott Redding : « à Phillip Island, j’ai pu dépasser Toprak Razgatlioglu au freinage, alors que l’année dernière cela aurait été impossible » Lire l’article »

Moto GP

Règlement MotoGP : comment se déroulent les qualifications ?

Depuis la saison 2013, les séances de qualifications du MotoGP sont découpées en deux parties, avec une Q2 qui permet de déterminer l’auteur de la pole position. Mais les positions sur la grille de départ sont le fruit d’un processus qui débute dès la première journée en piste.
Un vendredi décisif
Les Essais, la séance du vendredi après-midi, joue le rôle de pré-qualifications et a ainsi un enjeu sportif sur le déroulement du week-end. Les dix plus rapides de cette séance sont directement qualifiés pour la deuxième partie des qualifications, nommée Q2, où 12 pilotes se disputent la pole.
Par le passé, un classement combiné des séances d’essais disputées avant les qualifications permettait de sélectionner ces dix premiers qualifiés, néanmoins le règlement a été simplifié courant 2023, année qui a vu les qualifications passer du samedi après-midi au samedi matin, en raison de l’apparition des courses sprint.
Désormais, ces dix pilotes qui obtiennent l’assurance de disputer la Q2 sont tout simplement les dix premiers des Essais. La Q2 déterminant les positions des 12 premiers sur la grille de départ, ces dix premiers qualifiés ont ainsi l’assure de s’élancer parmi les quatre premières lignes et se facilitent ainsi la suite du week-end, en évitant une Q1 qui peut être difficile.
Le déroulement des qualifications
Le samedi matin, la séance de qualifications débute avec une première partie, la Q1, où l’on retrouve donc les pilotes qui étaient hors du top 10 le vendredi après-midi, qui visent tous les deux dernières places à prendre en Q2. Ils ont généralement au nombre de dix, mais peuvent être plus nombreux si des constructeurs ont engagé des pilotes en wild-card.

Le panneautage pour Marc Márquez
Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Pendant 15 minutes, soit le plus souvent l’équivalent de deux relais en piste, les pilotes cherchent à réaliser le meilleur temps possible. Une fois la Q1 terminée, les deux premiers rejoignent les dix pilotes déjà qualifiés pour la Q2, tandis que la séance est terminée pour les autres, qui prendront place sur la deuxième moitié de la grille de départ. Le troisième de la Q1 est ainsi 13e sur la grille, le quatrième 14e, etc, jusqu’à la dernière place.
Après une pause de dix minutes, la Q2 débute, elle aussi pour une durée de 15 minutes. Le classement de cette partie permet de déterminer les 12 premières places sur la grille de départ. Cette dernière est ainsi composée du classement de la Q2 pour les quatre premières lignes, puis par celui de la Q1.
Des pénalités uniquement le dimanche
Cette grille de départ est valable à la fois pour la course sprint et pour la course du dimanche. Il peut cependant y avoir des différences entre les grilles des deux journées en cas de pénalité. Lorsqu’un pilote reçoit une pénalité sur la grille de départ, le plus souvent pour avoir gêné un rival pendant les essais ou les qualifications, la sanction ne s’applique que pour la course du dimanche.
Un pilote peut aussi voir un temps annulé, pour un passage hors des limites de la piste ou si un drapeau jaune est agité durant son tour. Dans ce cas, son deuxième meilleur temps est retenu, et il risque de perdre des positions au classement.
À noter que pour éviter de trop grandes disparités de performances entre les pilotes, si l’un d’entre eux a un temps supérieur à 105% de celui de l’auteur de la pole, et donc qu’il est plus de 5% plus lent, il n’est pas autorisé à prendre le départ.
Lorsque cette situation se produit, le pilote est le plus souvent repêché par les commissaires de course, surtout si son retard ou son absence de chrono est le fruit d’une chute ou d’un souci mécanique. Depuis 2022, les commissaires n’ont cependant pas le droit de repêcher un pilote si ce dernier n’a terminé aucune séance dans les 105% du temps du leader au cours du week-end.
Lire aussi :

Dans cet article

Vincent Lalanne-Sicaud

MotoGP

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Règlement MotoGP : comment se déroulent les qualifications ? Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Thaïlande J0, Nicolas Goyon, Red Bull KTM Tech3 : « les gars, enfilez le cuir, et c’est parti pour la course ! »

La saison 2025 s’ouvre ce week-end en Thaïlande, et l’équipe Red Bull KTM Tech3, avec ses nouvelles recrues, est prête à relever le défi.
Cet article MotoGP, Thaïlande J0, Nicolas Goyon, Red Bull KTM Tech3 : « les gars, enfilez le cuir, et c’est parti pour la course ! » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Thaïlande J0, Nicolas Goyon, Red Bull KTM Tech3 : « les gars, enfilez le cuir, et c’est parti pour la course ! » Lire l’article »

Moto GP

Quelles versions des motos pour les pilotes MotoGP 2025 ?

S’il peut paraître évident qu’une équipe d’usine aligne toujours la version la plus évoluée de sa moto, Ducati va conserver une grande part de son matériel 2024 sur sa machine officielle cette année. Par ailleurs, les teams indépendants ne sont pas toujours relégués à des pièces anciennes, et cette saison va une nouvelle fois le démontrer. Petit à petit, les constructeurs ont en effet vu l’intérêt d’aligner un maximum de machines de dernière génération sur la grille, à tel point que, cette année, on ne verra des motos de la saison 2024 que chez une seule marque.
Ducati
La répartition des Ducati change en 2025. Le constructeur italien a en effet voulu réduire ses investissements et il est ainsi passé d’un total de quatre équipes à trois, en perdant son principal partenaire, Pramac. Ce statut de team satellite privilégié jusqu’ici détenu par l’équipe toscane est en partie repris par VR46.

Franco Morbidelli est le seul à conserver exactement la même moto en 2025, mais avec de nouvelles couleurs
Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

En partie seulement puisque Ducati n’engagera que trois Desmesedici 2025, deux avec son équipe officielle et donc une chez VR46, confiée à Fabio Di Giannantonio. Franco Morbidelli va ainsi conserver une Ducati version 2024, dont il disposait déjà chez Pramac l’an passé, tandis que les pilotes Gresini auront eux aussi le modèle qui a mené Jorge Martín au titre.
Pourquoi cette répartition ? Parce que Ducati se projette déjà sur 2026. Engager trois motos de dernière génération et trois anciens modèles va simplifier la logistique puisque l’an prochain, l’équipe continuera à aligner autant de motos dans le millésime 2025, optimisant ainsi le nombre de pièces fabriquées, ce que n’aurait pas permis une répartition disparate.
Cependant, les différences devraient finalement être assez faibles puisque Bagnaia et Márquez ont écarté plusieurs nouveautés prévues par Ducati, dont le moteur 2025. Ils auront finalement ce que le vice-champion en titre a qualifié de Ducati “24,9”.
Lire aussi :

Les Ducati sur la grille 2025 :

KTM
Plus que jamais, KTM veut considérer Tech3 comme une seconde équipe d’usine, lui garantissant ainsi un matériel égal. L’abandon de la marque GasGas, utilisée avec Tech3 pendant deux saisons, et le recrutement de deux pilotes habitués à la victoire, Enea Bastianini et Maverick Viñales, ne font que renforcer cet aspect.

Enea Bastianini intègre un garage Tech3 aux couleurs de KTM cette année
Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Les quatre KTM engagées seront donc dans leur version 2025 cette année… avec encore des incertitudes quant au développement en raison des difficultés financières rencontrées par le constructeur.
Les KTM sur la grille 2025 :

Aprilia
Aprilia monte en puissance année après année. En 2023, la marque a pour la première fois eu un team satellite, RNF, en lui confiant des motos vieilles d’un an. Trackhouse a pris la succession l’an passé et Miguel Oliveira disposait d’un modèle 2024 dès le début d’année, mais Raúl Fernández d’un modèle 2023. À partir de Silverstone, l’Espagnol a pu profiter de la moto de la saison en cours.
Lire aussi :

Pour 2025, Aprilia a renforcé ses capacités logistiques et engagera quatre motos dans leur toute dernière version dès le début de l’année, dans son équipe officielle comme chez Trackhouse. Un signe de ses ambitions, plus élevées que jamais avec le recrutement du champion du monde Jorge Martín.
Les Aprilia sur la grille 2025 :

Yamaha
Yamaha retrouve une équipe satellite cette année, et le fait avec ambition. Après avoir mené Martín au titre l’an passé, Pramac abandonne ses Ducati pour des Yamaha, qui n’avait pas de team partenaire lors des deux dernière saisons. Alors que par le passé, Tech3 puis la structure SRT/RNF ont souvent dû composer avec un modèle vieux d’un an, Yamaha a promis un statut de seconde équipe d’usine à Pramac, dans la lignée de ce que KTM fait avec Tech3.

Jack Miller aura une Yamaha de dernière génération chez Pramac
Photo de: Pramac Racing

Les M1 de Miguel Oliveira et Jack Miller seront donc aussi récentes que celles de Fabio Quartararo et Álex Rins. La marque disposant des concessions de catégorie D qui lui permettent de faire évoluer régulièrement sa moto, des disparités resteront possible concernant des pièces de développement, par nature difficile à produire en nombreux exemplaires.
Les Yamaha sur la grille 2025 :

Honda
Engager quatre machines identiques est devenu la norme pour Honda. Par le passé, les pilotes LCR avaient des motos différentes mais à partir de 2021, Takaaki Nakagami a lui aussi eu le modèle le plus récent. Son successeur, Somkiat Chantra, profitera des mêmes conditions en 2025.
Comme chez Yamaha, les motos pourraient néanmoins différer selon les délais d’arrivages de nouveautés, plus nombreuses que chez les marques européennes en raison des concessions.
Les Honda sur la grille 2025 :

Lire aussi :

Dans cet article

Vincent Lalanne-Sicaud

MotoGP

Yamaha Factory Racing

Honda HRC

Ducati Team

Aprilia Racing Team

Red Bull KTM Factory Racing

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Quelles versions des motos pour les pilotes MotoGP 2025 ? Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Mauvaise nouvelle pour Jorge Martin : « Il lui faudra du temps, tout va dans le sens de Bezzecchi »

Jorge Martin, Champion du monde MotoGP en titre, n’a pas pu découvrir tous les secrets de l’Aprilia RS-GP25. De quoi s’inquiéter ?
Cet article MotoGP, Mauvaise nouvelle pour Jorge Martin : « Il lui faudra du temps, tout va dans le sens de Bezzecchi » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Mauvaise nouvelle pour Jorge Martin : « Il lui faudra du temps, tout va dans le sens de Bezzecchi » Lire l’article »

Moto GP

WSBK Superbike, Australie J3, Danilo Petrucci : « pour révéler le vrai potentiel de chacun, nous ça verrons à partir de Portimão »

Toujours motivé par son challenge en Superbike, le très éclectique Danilo Petrucci a dû faire face à un Andrea Iannone très performant en Australie dans la lutte pour le titre de meilleur pilote indépendant. Qualifié en 5e position sur la grille de départ de Phillip island, Petrux a terminé 4e de la course-1, 3e de […]
Cet article WSBK Superbike, Australie J3, Danilo Petrucci : « pour révéler le vrai potentiel de chacun, nous ça verrons à partir de Portimão » est apparu en premier sur Paddock GP.

WSBK Superbike, Australie J3, Danilo Petrucci : « pour révéler le vrai potentiel de chacun, nous ça verrons à partir de Portimão » Lire l’article »

Moto GP

Moto2 Test Portimão : Bien sous les records, comme les Moto3. Mais pourquoi ?

Comme en Moto3 il y a trois jours, les Moto2 ont roulé bien en dessous du record du circuit de Portimão, lors des deux jours de test privé sur l’Autodrome International de l’Algarve. Le vice-champion du monde Moto2 Aron Canet a ainsi mené sa Kalex aux couleurs du Fantic Racing en 1’41.191, bien en dessous […]
Cet article Moto2 Test Portimão : Bien sous les records, comme les Moto3. Mais pourquoi ? est apparu en premier sur Paddock GP.

Moto2 Test Portimão : Bien sous les records, comme les Moto3. Mais pourquoi ? Lire l’article »

Retour en haut