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Zarco doit “accepter de faire des places qui font moins rêver”

Neuvième du sprint au Grand Prix d’Autriche, Johann Zarco dit apprendre à s’en contenter ! Auteur d’un choix de pneu étonnant, puisqu’il était le seul à préférer le medium au tendre à l’arrière, le pilote français a été récompensé par un point qui lui donne le moral, en dépit d’un samedi marqué par deux chutes, dont une en qualifications.
Conscient des limites de sa machine sur le Red Bull Ring, il se dit prêt à adopter une nouvelle philosophie pour la deuxième partie de saison, en cherchant peut-être parfois plus à assurer un résultat, même éloigné de ses attentes. 
“On a vraiment du mal, et là, il faut se remettre en condition pour accepter de faire des places qui font moins rêver”, avance-t-il au micro de Canal+. “Mon problème, même ce matin, c’est que j’en ai trop voulu : je chute en EL2, je chute en qualifs. On ne peut pas m’en vouloir de trop en vouloir, malheureusement ça me joue des tours : on casse du matériel, on ne progresse pas, donc à un moment donné il faut accepter qu’on n’est pas encore au niveau.”
“Il faut, dans des conditions régulières comme ça, ne pas trop en vouloir ni croire qu’à chaque fois je vais pouvoir être devant, sinon je me rends malade. Il faut presque patienter [pour] que les opportunités viennent à moi, et être prêt pour les prendre, comme j’ai pu le faire au Mans ou à Silverstone. Demain, s’il y a de la pluie, avec calme, il y a moyen de continuer de rêver.”
Pas une envie de se démarquer des autres

Le choix de pneus était le bon pour Johann Zarco.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Interrogé lors de son point presse sur son choix de pneu à contrepied du reste de la grille, Johann Zarco assure que “ce n’était pas vraiment osé” et estime avoir réussi à en tirer profit. 
“Ca m’embêtait encore, parce qu’après l’erreur de Brno, je n’avais pas envie de tomber sous la critique selon laquelle je ne fais rien comme les autres”, avoue-t-il. “Parce que ce n’était pas dans ce but-là : si on ne regarde pas les autres, c’était notre logique de travail. Donc je suis content qu’elle ait correctement fonctionné.”
“Et en effet, ce pneu medium m’a permis d’être assez constant, de pouvoir essayer de lutter, et c’est sûr que les autres avaient quelque chose de mieux, mais que sur trois tours, alors qu’il y en avait 14 à faire. Je trouve que ça m’a quand même permis de maintenir ma position. Je suis content de voir que, par rapport à ce qu’on travaille, on n’était pas dans le faux.”
Pour le Grand Prix dimanche, Johann Zarco se montre très prudent, même s’il aimerait “être dans le top 10”. 
“Sur le départ, j’ai la chance d’être à l’intérieur, parce qu’apparemment il y a eu un peu d’embrouilles à l’extérieur”, observe-t-il. “Demain, je suis dans la même situation. Il va falloir jouer des coudes. Il faut rester zen, constant, et presque attendre, parce qu’on ne peut pas doubler. Il faut être le plus régulier possible et attendre que les autres aient du mal avec le pneu arrière.”
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Malgré les apparences, Márquez a dû s’employer : “Ce n’est jamais facile”

Marc Márquez a une nouvelle fois donné l’impression de faire exactement ce qu’il voulait lors du sprint de Spielberg. Sa chute en qualifications, qui l’a contraint à un départ en quatrième position, a vite été oubliée puisqu’il a profité du mauvais envol de Pecco Bagnaia et doublé le poleman, Marco Bezzecchi, avant le premier virage.
Il ne restait plus qu’Álex Márquez devant lui. Le leader du championnat a facilement suivi son frère et l’a dépassé à quatre tours de l’arrivée, puis a irrémédiablement creusé l’écart pour remporter son 12e sprint en 13 départs cette année. Un succès facile ?
“Non”, a assuré Márquez. “Ce n’est jamais facile, surtout après l’erreur des qualifications. Ça a un peu modifié le plan parce que je savais qu’il y avait une grosse possibilité d’être en pole position mais j’ai vu dans la ligne droite que j’étais quatrième, et après j’ai trop attaqué. J’ai essayé d’être au cœur de la fenêtre des 1’27 en deux virages, donc j’ai trop forcé sur la moto.”
“À part ça, en course sprint j’ai été constant, ça allait bien et je n’ai pas attaqué Álex au début parce que je ne pouvais pas. Il était super bon, super rapide, on faisait de petits 1″29, un rythme incroyable. J’ai juste attendu mon moment, pour attaquer au bon moment, parce que je me sens mieux quand le pneu commence à se dégrader.”

VIDÉO – RÉSUMÉ : La course sprint au GP d’Autriche

Tout en maitrise, Márquez a néanmoins dégagé une impression de facilité, surtout après géré la séquence qu’il redoutait le plus, le départ : “Quand on part en première ligne, on est plus calme parce qu’on sait que la course ne dépendra pas du départ. Si on s’élance normalement, on arrivera premier, deuxième ou troisième.”
“Mais en partant quatrième, il faut être super précis au départ parce que je savais que Bastianini partait à ma droite et que ce premier virage est difficile. J’étais concentré. J’ai essayé de prendre plus de risques avec le premier contact sur l’embrayage, pour essayer d’être rapide au départ.”
Pour Márquez, la seule véritable alerte semble finalement venir du mauvais envol de Bagnaia, après s’être lui aussi fait quelques frayeurs dans des simulations de départ depuis le début du week-end.
“J’ai vu qu’il n’était pas très bien parti. Il a patiné. Je ne sais pas, il faut comprendre parce que j’ai aussi patiné deux ou trois fois ce week-end. J’ai patiné lors d’un essai. C’est un peu sale depuis la troisième place et il faut comprendre pour l’avenir, pour que ça n’arrive plus.”

Marc Márquez
Photo de: Jure Makovec / SOPA Images / LightRocket via Getty Images

Le succès de ce samedi est le tout premier de Márquez en Autriche, puisque le Red Bull Ring est l’un des rares circuits qui lui a résisté jusqu’à présent, avec Mandalika et Portimão, ces deux derniers étant apparus après sa blessure en 2020.
Mais Márquez aimerait surtout une victoire en course principale et, malgré la forme affichée lors du sprint, il se méfie de ses concurrents : “Ce n’est pas la course principale, c’est juste la course sprint, mais c’est bien de gagner à Spielberg, au Red Bull Ring. On verra si on pourra le refaire demain.”
“On va essayer, ce ne sera pas facile parce que Pecco et Bezzecchi sont super proches. Álex est proche aussi mais il a un long-lap, donc ça va beaucoup le pénaliser, mais Pecco et Marco sont rapides.”
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MotoGP, Autriche J2, Johann Zarco (Honda/Q12-S9) : « Il faut accepter qu’on n’est pas encore au niveau »

Johann Zarco estime qu’il doit accepter le niveau actuel de Honda et ne plus chercher à “trop en vouloir”.
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Championnat – Marc Márquez de plus en plus seul au monde

Marc Márquez reste inarrêtable. Vainqueur au Red Bull Ring de son 12e sprint en 13 occasions cette année, le sixième consécutif, le pilote Ducati augmente une nouvelle fois son avance au championnat, en ayant pris trois points de plus que son frère, Álex Márquez, désormais relégué à 123 unités.
L’écart grandit encore plus pour Pecco Bagnaia, le grand perdant du jour avec 180 points de retard. Marco Bezzecchi reste quatrième devant Fabio Di Giannantonio, Franco Morbidelli, Pedro Acosta, Johann Zarco, Fabio Quartararo et Fermín Aldeguer.
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Ducati domine toujours largement chez les constructeurs, dans lequel KTM reprend un point à Aprilia dans la lutte pour la deuxième place. À l’inverse, Honda en gagne un dans son combat avec Yamaha pour la quatrième position.
Chez les équipes, les trois structures de Ducati dominent toujours avec le team officiel devant Gresini et VR46. L’équipe KTM officielle reste la première poursuivante, devant celle d’Aprilia.
Championnat pilotes après le sprint du GP d’Autriche (13/22)

Championnat constructeurs après le sprint du GP d’Autriche (13/22)

1
Ducati
442
37
37
37
37
37
32
28
37
37
37
37
37
12

2
Aprilia
193
17
5
11
10
10
9
31
10
15
27
16
26
6

3
KTM
182
12
10
12
8
16
18
12
18
14
17
13
25
7

4
Honda
148
10
16
10
13
7
29
25
9
5
4
13
6
1

5
Yamaha
133
8
5
15
14
20
10
12
5
3
6
20
15

Championnat équipes après le sprint du GP d’Autriche (13/22)

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Stoner : Le MotoGP fait “toutes les erreurs que la Formule 1 a faites”

Le MotoGP organise une “parade des légendes” dimanche au Red Bull Ring, ce qui permettra de voir des motos historiques, mais aussi leurs pilotes. Parmi eux, on retrouvera Casey Stoner, présent dans le paddock depuis le début du week-end. L’occasion d’entendre l’opinion de l’Australien sur la direction que prend le championnat ces dernières années, et on peut dire que la débauche de technologie ne le séduit clairement pas.
“Actuellement, nous faisons des champions avec les ingénieurs, nous ne faisons pas des champions avec les pilotes”, a estimé le double champion du MotoGP. “Nous entrons dans une ère avec toutes les erreurs que la Formule 1 a faites.”
Stoner estime que l’aérodynamique a pris une place “déraisonnable”, en citant la F1 mais aussi le cyclisme parmi les disciplines qui en font les frais. À ses yeux, des solutions comme le variateur de hauteur et la forte présence de l’électronique pour éviter des glissades enlèvent trop de pouvoir au pilote.
“C’est toujours un sujet très difficile, sensible, parce que les pilotes voudront que ça aille dans une direction et les ingénieurs et les constructeurs dans une autre. Donc il y a toujours ce genre de conflit, mais vu que ces motos ne servent pas à créer des motos de route, je ne pense pas que nous devrions aller aussi loin que ce qu’ils ont fait dans l’électronique.”

Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

“ll ne faut plus que ce soit facile en sortie de courbe parce que l’anti-wheelie ou empêcher la moto de cabrer, ce n’est pas un souci de sécurité, c’est une commodité”, a jugé Stoner. “À l’arrière, jusqu’à un stade que nous connaissions – un pourcentage de glisse de 20% – il faudrait travailler avec cette marge, sans électronique, il faut que [le pilote] contrôle cet aspect. En plus de ça, l’électronique peut poser problème, il ne faut pas que ce soit une chose sur laquelle on s’appuie.”

On a les meilleurs pilotes au monde sur les motos les plus faciles à piloter au monde, et ça ne m’intéresse pas.

Stoner s’est exprimé sur un circuit de Spielberg qui marque l’introduction d’un contrôle de stabilité dans le système électronique commun à toutes les motos. Le but est de limiter le couple si le système anticipe un potentiel highside. Dans la lignée de Marc Márquez et Pedro Acosta, Stoner estime que l’on prive les pilotes d’un moyen de faire la différence.
“Ce week-end en particulier, ils sont passés à un tout autre niveau dans l’électronique. Quand j’en parle aux pilotes, on peut littéralement mettre les gaz à fond. On a près de 300 chevaux et on peut mettre les gaz à fond, rien ne se passe. On a les meilleurs pilotes au monde sur les motos les plus faciles à piloter au monde, et ça ne m’intéresse pas. On n’a plus de contrôle dans sa glissade.”
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“Déjà quand je faisais des essais, avant que j’arrête tout, je n’avais plus le droit d’utiliser l’embrayage en entrée de courbe parce que cela perturbait le système. Donc il n’y a plus de notion de compétence, à tout niveau. Il faut juste freiner fort, rentrer dans le virage, puis tous les gars disent qu’ils peuvent tordre les gaz, appuyer sur un bouton, ça s’abaisse. Il y en a trop. On a les problèmes de température des pneus, on a les problèmes de stabilité.”
Une situation de plus en plus dangereuse ?
Stoner ne pense pas que ces solutions soient bonnes pour la sécurité puisque les pilotes sont selon lui incités à prendre plus de risques sur l’avant, ce qui peut mener à de grosses chutes.
“Je pense que l’on a eu les pires accidents que j’ai vus en MotoGP, alors que ces motos sont plus sûres. Je ne vois pas ça comme étant plus sûr. Disons que si on enlève le contrôle de l’arrière de la moto, on perd toute peur sur la moto, puis on commence à attaquer de plus en plus dans un domaine, à savoir l’avant. Et si on perd l’avant, très souvent ça revient en piste, et on a vu des accidents catastrophiques quand on perd l’avant et qu’il revient. Plus l’arrière sera sûr, moins ce sera bien à l’avant, et on reverra des choses pires.”
“Et la vitesse de pointe est plus élevée, la marge d’erreur au freinage est faible, il faut être absolument à la limite dans ce domaine. Quand on a autant de vitesse, c’est pour ça qu’on voit autant de motos qui finissent dans les barrières à la fin de ces lignes droites. Il y a un stade où il faut arrêter d’ajouter toutes ces choses. ”
Stoner pas séduit par le règlement 2027
Le championnat va diminuer la place de certains éléments avec le règlement 2027, qui prévoit une cylindrée réduite, l’interdiction des variateurs de hauteur et une place plus faible pour l’aérodynamique… mais Stoner estime que le MotoGP ne prend “absolument pas” la bonne direction, en créant de nouveaux problèmes pour le spectacle.
“On va rendre la moto plus légère, donc le point de freinage sera plus loin. On aura une vitesse de pointe plus faible, parce qu’ils n’auront plus le variateur de hauteur, donc avec une moto plus rapide et plus légère, le freinage sera plus court, avec moins d’opportunités de dépassement.”
“Ils auront encore des ailettes et ils auront probablement des vitesses de passage en courbe plus élevées, donc cela va créer des turbulences sur des motos plus légères. Ils vont encore avoir des problèmes de stabilité, ils vont encore avoir des problèmes de température des pneus. Je ne sais pas comment personne ne peut voir le problème, chaque pas qu’ils font dans cette direction est mauvais.”
Le MotoGP n’est pourtant pas prêt à écouter Stoner : “Je suis trop honnête donc… [rires]. Je pense qu’il ne s’agit pas de m’écouter. Il y a suffisamment d’informations et suffisamment de preuves pour savoir qu’ils prennent la mauvaise direction. Je pense que cela dépend de qui ils écoutent, que ce soit au sein de la MSMA [l’association des constructeurs] et d’une volonté derrière. Parce que […] nous avons eu les exemples de ces choses qui n’ont pas fonctionné, nous suivons juste toutes les directions dont la Formule 1 a mis des années à se débarrasser.”
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Moto2 : Aron Canet signe pour plusieurs années avec Marc VDS qui est aussi impliqué en WSBK

Aron Canet a annoncé un accord pluriannuel avec l’équipe Elf Marc VDS Racing Team pour la saison 2026 en Moto2 et plus si affinités.
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Vente de Tech3 : Poncharal veut “qu’en 2026 il y ait une transition”

La vente de Tech3 est un dossier qui “évolue” et dans lequel Hervé Poncharal “se rapproche de la ligne d’arrivée”. Néanmoins, à l’heure de faire le point sur l’arrivée d’investisseurs pour assurer la pérennité de l’entreprise, le patron français a semblé temporiser dans le paddock du Grand Prix d’Autriche. Alors qu’un investissement porté par Günther Steiner est toujours vu comme une piste très chaude, rien n’est encore scellé. 
“On continue de discuter avec ces investisseurs potentiels, qui peuvent devenir des acteurs au sein de Tech3”, rappelle Hervé Poncharal au micro de Canal+. “Les échanges et les informations passent d’un côté à l’autre. Aujourd’hui, on est en train de discuter, on est en train de réfléchir.”
La nouveauté désormais, c’est que le timing voulu par le fondateur de Tech3, aujourd’hui âgé de 68 ans, se dessine un peu plus précisément. Ce qu’il vise, c’est une passation de pouvoir complète pour l’ère qui débutera en 2027, ce qui ferait de la saison prochaine une période de transition. 
“Idéalement, si les choses se passent comme je le souhaite, je voudrais que les choses soient clarifiées d’ici la fin 2025, qu’en 2026 il y ait une transition”, appuie-t-il. “Je serai toujours là à gérer l’équipe mais en tant que conseiller, pour pouvoir laisser les clés aux nouveaux propriétaires pour le deal 2027-2031, pour essayer de faire cette transition de la manière la plus douce et la plus positive pour toute l’équipe.”
“C’est clair que, jusqu’à fin 2026, on est dans l’ère 1000cc avec le contrat qu’on connaît encore, 100% Dorna. À partir de 2027-2031, il y aura des nouvelles machines sur le plan technique, et il y aura aussi la gestion qui sera 100% Liberty Media, avec Dorna bien sûr toujours présent. Donc on est en train de réfléchir mais il n’y a pas d’urgence absolue. Ce qu’il faut, c’est être prêt pour qu’en 2026 il y ait une transition, une réflexion sur ce qu’on fait pour le bail 2027-2031.”

La volonté est de faire en sorte que 100% du personnel Tech3 garde sa position et sa place, de garder l’historique Tech3, essayer de garder les infrastructures en France.

Hervé Poncharal veut garantir l’avenir de son personnel.
Photo de: KTM Images

Dans sa quête d’un accord, Hervé Poncharal insiste sur les prérequis, l’objectif étant de céder, à terme, son entreprise tout en garantissant la survie de son ADN, et même plus.
“C’est toujours un crève-cœur quand votre bébé – et mon entreprise c’est mon bébé –, vous devez, pas l’abandonner mais le laisser vivre sa vie”, reconnaît-il. “C’est clair que mon entreprise, avant tout et comme toute entreprise, c’est le personnel.”
“La volonté est de faire en sorte que 100 % du personnel Tech3 garde sa position et sa place, de garder l’historique Tech3, essayer de garder les infrastructures, l’organisation et la base en France. Ça fait partie des choses dont on discute et qui sont a priori pour l’instant plutôt bien comprises et bien acceptées par les potentiels repreneurs.”
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Moto3 Autriche Qualifications : KTM Tech3 en pole position grâce au rookie Valentin Perrone !

Les qualifications Moto3, en Autriche, ne sont à manquer sous aucun prétexte. Découvrez qui s’est illustré dans cette séance.
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MotoGP, Autriche, le retour du « patron déchu » : Stefan Pierer réapparaît à Spielberg pour galvaniser ses troupes KTM

Le Grand Prix d’Autriche, course nationale pour KTM, a été marqué par une visite de l’ancien propriétaire, Stefan Pierer, dans le box.
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