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Moto2, Hongrie : Sergio García fait un retour provisoire après avoir quitté le championnat en juin

Évincé du Championnat du monde Moto2 en juin, Sergio García sera de retour en Hongrie avec une belle opportunité de montrer son potentiel.
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Miller prêt à quitter Yamaha : “J’ai été plus que patient”

L’ambiance n’est décidément pas au beau fixe chez Yamaha. Pendant que Fabio Quartararo déplore l’absence de progrès sur sa moto, Jack Miller semble quelque peu agacé par le manque d’égard du constructeur japonais à son endroit, et il se dirige de plus en plus vers le WorldSBK.
Yamaha est le seul décisionnaire pour les pilotes Pramac, et la marque a annoncé l’arrivée de Toprak Razgatlioglu la saison prochaine, faisant planer une menace sur Jack Miller et Miguel Oliveira. Le rapprochement entre Diogo Moreira, espoir du Moto2 courtisé par plusieurs marques, et Honda en vue d’une arrivée en MotoGP chez LCR semblait plaider en faveur de Miller, plus performant qu’Oliveira chez Pramac cette année.. mais il n’en est visiblement rien.
“Vous en savez autant que moi en ce moment, au sujet de leur stratégie et ce qu’ils envisagent”, a confié Miller ce jeudi au Balaton Park, face à l’absence d’avancées dans ses discussions avec Yamaha. “Mais j’ai des options et je me rapproche d’une autre option.”
Une option qui semble envoyer Miller en WorldSBK chez BMW, qui lui a fait une offre, ce qui lui ferait faire le chemin inverse de Razgatlioglu. Son avenir semble en tout cas passer par un nouveau championnat : “Clairement, il n’y a pas d’autre place disponible [en MotoGP].”
L’annonce de la titularisation de Razgatlioglu a été faite il y a plus de deux mois et depuis, Miller est contraint de patienter, sans réelle avancée dans les discussions, ce qui le pousse à agir pour son avenir. Il devrait se décider rapidement.
“J’ai une échéance, je ne vous la donnerai pas, mais personnellement, oui, j’ai une échéance. J’ai été plus que patient. Si on me veut, on me veut, si on ne me veut pas, on ne me veut pas, c’est aussi clair que ça.”

Jack Miller
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Par ces propos, Miller exprime le manque de désir du côté de Yamaha : “Plus le temps avance, en effet, c’est ce que je sens, absolument, plus on entend de noms sur la liste…”
“Je voulais développer un V4, travailler étroitement avec eux pour essayer de les aider. Je sens que j’ai beaucoup d’informations à donner, beaucoup de compétences à donner pour essayer de les aider. S’ils ne peuvent pas voir la valeur que ça a, je le comprendrai et j’avancerai vers quelque chose de différent.”
Avec Germán Garcia Casanova
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Márquez convaincu que Bagnaia “arrivera” à surmonter ses problèmes

Le duel attendu chez Ducati n’a pour le moment pas eu lieu. Dès son arrivée dans l’équipe officielle, Marc Márquez a eu l’avantage, pendant que Pecco Bagnaia éprouvait des difficultés à exploiter la GP25. Concernant la saison actuelle, un renversement de situation apparaît peu probable, mais Márquez est convaincu que Bagnaia parviendra à sortir de l’ornière dans laquelle il est actuellement piégé.
“Je pense que Pecco est suffisamment intelligent, et qu’il a suffisamment d’expérience, pour ‘absorber’ toutes ces choses”, a expliqué le leader du championnat. “C’est déjà un double champion du monde. Je ne pense pas [que comprendre la situation] s’agisse de son principal problème.”
“On est en MotoGP et sur une MotoGP, quand on manque de confiance, on commence à perdre 0″030 ou 0″040 à chaque freinage, mais à la fin du tour ça fait deux dixièmes. Il faut qu’il reprenne confiance en ce moment mais en même temps, on a vu qu’il était le plus rapide en piste le vendredi en Autriche. Pecco est Pecco et il y arrivera, tôt ou tard.”
“Pecco a donné deux titres à Ducati et il reste l’an prochain”, a ajouté Márquez face à la presse hispanique. “Il peut encore leur apporter beaucoup, mais quand un sportif entre dans une spirale où les choses ne fonctionnent pas, il perd en confiance. […] Pecco montre qu’il a la vitesse, il doit juste retrouver sa confiance. Cela m’est arrivé l’an dernier, quand j’ai dû me reconstruire.”

Marc Márquez et Pecco Bagnaia
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Márquez a traversé de grosses périodes de doute, qui ont atteint leur paroxysme en 2023, quand il n’était plus certain de pouvoir briller en MotoGP. Son départ de Honda, sa saison avec Gresini et surtout la découverte de la Ducati lui ont permis de retrouver le sommet. Mais s’il y a une expérience que Márquez ne connait pas, c’est celle d’être dominé par son coéquipier, comme l’est Bagnaia actuellement.
Interrogé sur la façon de sortir d’une telle situation, l’Espagnol a reconnu ne pas savoir comment aider celui avec qui il partage son garage : “Je ne peux pas répondre, sincèrement, parce que jusqu’à ce jour, j’ai toujours battu mes coéquipiers. Je ne connais pas cette expérience. C’est sûr que je la connaitrai à l’avenir parce que c’est un processus naturel, quelqu’un débarquera et me battra avec la même moto.”
“Je peux seulement dire que quand je suis arrivé en MotoGP, j’ai fait certaines erreurs le dimanche parce que Pedrosa était devant et que j’essayais de revenir sur lui. Il y a toujours une pression supplémentaire face à un coéquipier mais en même temps, c’est une motivation supplémentaire.”
Bagnaia a plusieurs fois estimé que la GP24 de la saison passée lui donnait de meilleures sensations tout en déplorant l’impossibilité de la tester à nouveau. Entre le moteur homologué pour un an et les deux carénages permis par saison, l’Italien dit même qu’un retour en arrière est impossible, mais depuis le printemps, Márquez assure pourtant l’inverse.
“Je vais répondre ce que je disais il y a trois ou quatre courses : les pilotes d’usine, si on veut la GP24, d’après ce que je comprends de la part de mes ingénieurs, on peut l’avoir”, a-t-il martelé ce jeudi, en continuant à minimiser les différences entre les deux machines. “On roule avec une spécification similaire.”
Avec Oriol Puigdemont
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MotoGP, Hongrie, Davide Tardozzi : « Yamaha se plaint toujours du manque d’adhérence et le Balaton Park en a beaucoup »

Davide Tardozzi a suggéré que le nouveau tracé hongrois pourrait redistribuer les cartes, notamment en faveur de Yamaha.
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Quartararo veut un électrochoc après le résultat “ridicule” en Autriche

Quatre jours après un week-end désastreux en Autriche, Fabio Quartararo s’apprête à plonger dans l’inconnu en enfourchant sa Yamaha sur le nouveau circuit du Balaton Park, au Grand Prix de Hongrie. “Je veux prendre du plaisir, parce que ne pas en prendre, c’est la pire chose, et en Autriche c’était clairement un cauchemar”, assure-t-il. Entre-temps, il s’est vidé la tête à sa manière : “Je m’entraîne beaucoup. Ces trois derniers jours, j’ai couru 47 km. Pour moi, c’est une manière d’oublier ce genre de résultat.”
Ce droit à l’oubli, le Français en exempte toutefois son équipe et ses ingénieurs. Décrivant une moto dont le mode d’emploi semble invariablement échapper à Yamaha, il veut que l’épisode du Red Bull Ring serve de leçon, et même mieux, d’électrochoc.
“Je dois oublier, pas les ingénieurs”, prévient-il. “Les ingénieurs, j’espère qu’ils ne vont pas oublier de l’année ce qui s’est passé en Autriche, parce que je ne veux pas que ça se reproduise. Le résultat qu’on a fait en Autriche est ridicule, et nous voulons tous les quatre [les pilotes Yamaha et Pramac] une explication. Mais je pense que c’était bien pour les ingénieurs de voir le résultat en Autriche.”
“Ce n’est pas seulement le fait d’avoir terminé aux quatre dernières places, mais aussi le fait que celui qui était devant nous avait sept secondes d’avance. Donc j’espère vraiment qu’ils comprennent à quel point notre moto est difficile et à quel point nous devons mieux travailler. Je veux bien sûr que notre moto actuelle progresse. Je veux aussi sentir qu’ils comprennent comment elle fonctionne, parce que j’ai l’impression que l’on ne sait pas comment la moto fonctionne et comment elle réagit.”
“On ne sait pas vraiment ce qui se passe. Il nous manque de la puissance, mais on n’est pas capables non plus de l’utiliser, comme en Autriche, où l’on a dû renoncer à beaucoup de puissance pour ne pas patiner, et malgré ça on patinait énormément. On ne sait pas encore vraiment comment cette moto fonctionne, et j’espère qu’entre maintenant et la fin de la saison, on va pouvoir davantage comprendre.”
Quartararo voulait tester le V4 plus tôt

Quartararo veut une moto pour se battre en course.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Encore patient, Fabio Quartararo attend un bond en avant pour 2026 et, à ce titre, des réponses importantes tomberont le mois prochain, quand il pourra tester le prototype de sa future machine à Misano, vraisemblablement dotée du V4. Ce dernier, le Français n’y a pas encore goûté. Pour quelle raison ? “C’est aussi une question que je me pose”, admet-il.
“Je voulais le tester avant, mais je pense qu’ils sont en retard dans le développement de la moto”, avance-t-il encore. “Mon sentiment, c’est qu’il fallait le tester avant, mais ce n’est pas moi qui choisis si je dois piloter la moto ou pas. Mon sentiment, c’était que je devais le tester avant, mais je ne sais pas. Je pense qu’ils ont peur que la moto ne soit pas encore prête, qu’elle ne le soit pas suffisamment pour que je la teste. J’aurais préféré la tester avant.”
“Même si la moto est rapide, j’ai besoin d’une moto qui est capable de se battre en course, et si je n’ai pas la vitesse de pointe, ce ne sera pas une moto qui en sera capable”, conclut-il.
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MotoGP, Pecco Bagnaia sous tension : « point de non-retour » chez Ducati, Dall’Igna évoque un blocage mental

Selon certains analystes, la relation entre Pecco Bagnaia et Ducati pourrait approcher du “point de non-retour”.
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Aleix Espargaró se blesse encore à vélo et déclare forfait en Hongrie

Les frères Espargaró ne seront finalement pas réunis en piste au Balaton Park. Alors que Pol Espargaró va rouler pour Tech3 pour remplacer Maverick Viñales, encore trop diminué par son épaule gauche, Aleix Espargaró devait faire équipe avec Johann Zarco chez LCR, sur la moto d’un Somkiat Chantra encore convalescent… mais il s’est de nouveau blessé.
Grand passionné de cyclisme, le Catalan a intégré l’équipe professionnelle Lidl Trek cette année et, lors de la première course à laquelle il a pris part, le Tour d’Autriche, il s’est blessé au niveau de la main. Il était suffisamment remis pour rouler au Balaton Park, jusqu’à une nouvelle chute lors de son entraînement en Andorre.
Espargaró a fait le déplacement vers la Hongrie, en partageant un avion avec son grand ami Jorge Martín, pour finalement déclarer forfait. “Malheureusement, Aleix a chuté à vélo il y a quelques jours”, a confirmé l’équipe LCR. “Même si cela semblait mineur dans un premier temps, il est arrivé sur le circuit avec une forte douleur au dos jeudi matin. Des examens ont révélé que sa vertèbre L3 était touchée. Il rentre à Barcelone pour passer des examens supplémentaires à l’Hôpital Universitaire Dexeus. En raison des circonstances, Somkiat Chantra ne sera pas remplacé ce week-end.”
La valse des remplaçants blessés
Les pilotes amenés à piloter la seconde Honda de l’équipe LCR font face à une spectaculaire série de blessures ces dernières semaines. Touché au ligament collatéral fibulaire du genou droit après une chute à motocross, Somkiat Chantra est sur la touche depuis le début du mois de juillet et n’a pas été remplacé au Sachsenring. Takaaki Nakagami a assuré l’intérim au Grand Prix de République tchèque, où il s’est blessé à son tour, une chute en course sprint ayant entraîné une déchirure du ligament croisé postérieur du genou droit.

Takaaki Nakagami n’a pas pu faire un week-end entier avant de se blesser.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Aleix Espargaró était déjà blessé et c’est Iker Lecuona, aligné par Honda en WorldSBK, qui devait prendre la suite après la pause estivale… mais il a lui aussi rejoint l’infirmerie lorsque son championnat s’est rendu au Balaton Park, avec une fracture du poignet, conséquence d’une chute. Faute de pilote suffisamment expérimenté, LCR a dû renoncer à aligner sa seconde moto en Autriche.
La valse des remplaçants eux-mêmes blessés devrait prendre fin puisque l’équipe compte aligner Somkiat Chantra au Grand Prix de Catalogne, prochaine manche au calendrier dans deux semaines.
“Somkiat s’est reposé pendant deux semaines dans son pays natal, mais il n’a pas cessé le travail sur sa convalescence”, a confié Lucio Cecchinello, patron de LCR, à Motorsport.com ce jeudi. “Ces derniers jours, il travaille avec plusieurs machines pour accélérer le processus. Le plan est qu’il soit sur une moto lors de la première semaine du mois de septembre, en dirt track ou sur une 600 cc sur un petit circuit, pour voir ses sensations. Le but est qu’il fasse son retour à Barcelone.”
Propos recueillis par Germán Garcia Casanova
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MotoGP, Alex Marquez comprend la douleur de Pecco Bagnaia : « C’est un grand champion et je le considérerai toujours comme tel »

Alex Marquez, actuel deuxième du championnat, comprend parfaitement les déboires de Pecco Bagnaia avec sa moto.
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Bagnaia apaise la situation avec Ducati : “Personne n’a été offensé”

C’est presque un mea-culpa de la part de Pecco Bagnaia. Dimanche, à l’issue d’une nouvelle désillusion au Grand Prix d’Autriche, l’Italien demandait à Ducati de lui venir en aide, tout en exprimant sa lassitude. “J’espère que Ducati peut m’expliquer, parce que je perds patience”, a-t-il lâché. Des propos qui ont pu donner l’impression d’une critique, après des mois et des mois de difficultés pour exploiter une moto avec laquelle Marc Márquez écrase le championnat.
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Le soufflet étant retombé, Pecco Bagnaia est revenu sur la situation qu’il traverse, ce jeudi au Balaton Park, à la veille des premiers essais du Grand Prix de Hongrie. Reconnaissant des propos à chaud un peu trop tranchants, il a depuis mis les choses au clair avec Ducati, et surtout une nouvelle fois été rassuré par l’implication de la marque pour l’aider à remédier à ses problèmes.
Le double champion du MotoGP a ainsi insisté sur sa volonté de retrouver le sommet avec la Desmosedici, sans se préoccuper de ceux qui l’imaginent devoir céder sa place fin 2026, à la fin de son contrat actuel.
Que voulais-tu dire dimanche, quand tu parlais de perdre patience ?
Que je vais mettre le bazar, tuer tout le monde ! [rires] Je suis quelqu’un de transparent. Mon problème est que je dis plus ou moins tout le temps ce que je pense. Parfois c’est bien, parfois c’est mal. Dans une situation où tu conclus un week-end vraiment désastreux, une course vraiment désastreuse, ce n’est pas une bonne idée d’aller directement faire des interviews. J’étais nerveux, j’étais en colère, et quand je suis arrivé devant les diffuseurs puis face aux journalistes, plus de 20 personnes m’ont demandé ‘Qu’est-ce qui ne va pas avec toi ?’…
J’ai juste parlé avec toute l’équipe, comme toujours – on le fait toujours le lundi et le mardi – et j’ai arrangé la situation. Personne n’a été offensé, personne n’était en colère. Je reconnais que pour eux, ce n’est pas non plus facile de comprendre nos problèmes. Cela fait sept mois que l’on a du mal ensemble. Ils essaient de me soutenir, de me donner ce dont j’ai besoin, mais c’est dur parce que cette moto ne convient pas du tout à ma façon d’attaquer et que j’ai beaucoup de mal.
Depuis hier, encore ce matin, j’ai fait des comparaisons avec trois week-ends de course où j’étais super rapide l’an dernier – Assen, le Mugello et l’Autriche – pour voir pourquoi je suis toujours plus lent, ou que tous ceux avec notre moto sont toujours plus lents, et voir si on peut faire quelque chose. Ce n’est pas un processus facile mais ce n’est pas non plus facile pour eux, qui travaillent toute la journée pour me donner le maximum. Je suis juste celui qui doit finir leur travail mais c’est aussi difficile pour eux.

Pecco Bagnaia
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Et qu’as-tu vu, avec les ingénieurs ?
Je parle pour moi, j’ai juste du mal à bien ralentir la moto, et pour moi, le plus difficile est de gérer le pneu arrière, ce qui a toujours été l’un de mes points forts. On doit juste comprendre pourquoi.
As-tu des réponses sur ce qu’il s’est passé samedi puis dimanche ?
Pour samedi, je n’ai besoin d’aucune réponse, c’est assez clair pour moi et je pense que c’est assez clair pour tout le monde. Dimanche, j’ai pris un bon départ, j’ai essayé d’établir une stratégie pour préserver le pneu arrière mais après sept-huit tours, j’ai dû ralentir un peu, puis je suis devenu lent. J’étais lent, je ne pouvais pas attaquer, j’essayais d’accélérer de la meilleure façon possible en sortie de courbe mais je perdais du temps. Je n’ai pas pu attaquer comme je le voulais, le pneu arrière ne me donnait pas assez de grip, mais ce n’était pas un souci de pneu. Je n’ai pas réussi à avoir de la motricité avec.

J’ai suffisamment de respect et de soutien de la part des gens dont pense que c’est nécessaire.

Te sens-tu soutenu par l’équipe et les supporters ?
J’ai suffisamment de respect et de soutien de la part des gens dont pense que c’est nécessaire. J’ai suffisamment de respect de la part de Ducati, de la part des journalistes, de la part des diffuseurs. C’est ce dont j’ai besoin.

Pecco Bagnaia
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Comprends-tu que certains imaginent déjà voir Aldeguer ou Álex Márquez à ta place en 2027 ?
Je ne sais pas. C’est une chose à laquelle je ne pense pas. Si je peux rester, je resterai, sinon, j’essaierai d’aller ailleurs. Ma priorité est de gagner à nouveau avec ma moto, avec mon équipe, et je ne pense jamais à un changement. Je pense que personne n’a commencé à y songer.
As-tu demandé à tester la GP24 ?
Non. Ce n’est pas possible, je ne veux pas la tester, parce que si je la préfère, je ne pourrai pas la réutiliser. Je pense que c’est mieux de ne pas voir le potentiel de la moto de l’an dernier.
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MotoGP, Hongrie, Balaton Park, reset bienvenu : Honda vise un bond vers l’avant sur « un tracé serré et technique »

Joan Mir voit dans le Balaton Park une chance pour Honda de se rapprocher du sommet, un espoir partagé par son coéquipier Luca Marini.
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MotoGP BREAKING NEWS : Aleix Espargaró incertain pour la Hongrie après une lourde chute… à vélo

Le pilote d’essai Honda, Aleix Espargaró, est très incertain pour le prochain Grand Prix de Hongrie après une nouvelle chute à vélo.
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MotoGP, Fabio Quartararo informe Yamaha : « pour moi, février sera le test le plus important depuis longtemps »

Fabio Quartararo est impatient de découvrir le potentiel de la nouvelle machine qui doit remplacer le moteur en ligne l’année prochaine.
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