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MotoGP, Miguel Oliveira dans le flou pour 2026 : « je veux courir, je suis ouvert à tout ! »

Miguel Oliveira fait le point sur les rumeurs qui le destinent à un rôle de pilote test pour 2026 en MotoGP.
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MotoGP, Marc Marquez et le coup de génie Ducati à Balaton Park : un bras oscillant plus long pour dominer

La victoire de Marc Marquez sur le nouveau Balaton Park est aussi le résultat d’une astuce technique audacieuse des ingénieurs de Ducati.
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Moto2 Hongrie, David Alonso, premier vainqueur colombien : « On progresse plus en se battant avec les meilleurs »

David Alonso décroche sa première victoire en Moto2 en Hongrie, au terme d’une course d’anthologie face aux ténors de la catégorie.
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MotoGP, Pit Beirer, KTM : « nous ne sommes pas impliqués dans les négociations sur la vente de Tech3 »

Le patron de la compétition à Mattighofen Pit Beirer, a clarifié la position de KTM concernant les rumeurs de rachat de l’équipe Tech3.
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MotoGP 2026 : douche froide pour Johann Zarco ? Honda brouille les cartes en le voyant sur sa CBRR en WSBK

L’avenir de Johann Zarco chez Honda semble plus compliqué que prévu. Honda souhaiterait le conserver, mais pas en MotoGP.
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Le décrié Balaton Park a finalement séduit… mais aussi inquiété

Le Balaton Park était redouté avant que le GP de Hongrie. Jugé très lent, ce tracé inquiétait en raison des vitesses atteintes et des faibles opportunités de dépassement. Doubler a certes été difficile mais pas impossible, comme l’ont prouvé Marc Márquez, Pedro Acosta ou encore Jorge Martín, qui ont chacun gagné plusieurs positions en course. Le circuit a finalement séduit l’ensemble des pilotes.
“C’est différent, évidemment, c’est étroit, mais comme on l’a vu [dimanche], si on veut on peut doubler”, a souligné Márquez en conférence de presse après sa victoire, reconnaissant que les dépassements n’ont rien de simple au Balaton Park : “Il faut avoir trois ou quatre dixièmes d’avantage sur le pilote devant si on veut doubler proprement. Mais sur 22 courses, il faut différents types de tracés.”
Acosta est allé dans le sens de son compatriote. “Il y a des pistes, comme le Sachsenring, où les dépassements ne sont pas simples, donc ce n’est pas le premier [circuit] qui est assez dur”, a rappelé le pilote KTM. “Il faut être un peu plus rapide que le gars de devant mais les dépassements sont possibles.”
Les deux premiers à l’arrivée n’étaient pas les seuls emballés par le circuit. “Ça allait, c’est sympa”, a souligné Pol Espargaró, aligné à la place de Maverick Viñales. “OK, c’est assez particulier, c’est assez différent de ce à quoi on est habitués, mais c’est le cas en Autriche, c’est le cas au Sachsenring. Je pense que c’est peut-être plus fou de rouler au Sachsenring qu’ici.”
“On est habitués au Sachsenring donc quand on va sur de nouveaux circuits, on déteste ça, mais avec le recul, on se dit ‘Ce n’est pas mal !’. C’est sûr qu’il manque un demi-kilomètre de virages mais c’est comme ça et je pense qu’on a offert un bon spectacle, que c’était un bon week-end pour nous tous.”

Les pilotes ont apprécié le Balaton Park.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Au-delà du spectacle, Franco Morbidelli a décrit un circuit “assez sympa” pour le pilotage et “très technique”, qui a également plu à son coéquipier chez VR46. “Je me suis amusé ce week-end”, a déclaré Fabio Di Giannantonio. “Le tracé est fun. Je m’attendais à avoir plus de difficultés dans les petites chicanes avec la MotoGP, mais au final, ça se fait. Je pense qu’aucun pilote ne s’attendait à avoir un circuit plus lent parce qu’on n’a pas arrêté de demander à avoir plus de place et des virages plus longs, mais au final, j’ai bien aimé.” 
Álex Márquez a quant à lui évoqué une piste “pas particulièrement physique” mais avec des caractéristiques intéressantes. “Simplement, elle impose d’être patient, très précis”, a décrit le pilote Gresini. “On ne peut pas piloter de manière très agressive car on peut très facilement faire une erreur dans une chicane. C’est aussi à cause des chicanes qu’il est difficile de dépasser, car si on essaye de dépasser et qu’on élargit, on doit ensuite tirer tout droit et on perd une seconde et demie. Tout cela rend l’ensemble plus compliqué.”
La science des dépassements au Balaton Park
Cet aspect technique s’est traduit dans les dépassements. Jorge Martín, l’un des pilotes qui en a réalisé le plus au cours des deux courses, a été invité à expliquer ce qu’il écrirait dans un “Comment doubler pour les nuls au Balaton Park”. “Pour les nuls, il n’y a rien à dire, ils y vont !”, s’est amusé le champion du monde en titre.
Les dépassements demandent justement une anticipation très minutieuse sur un tel tracé : “Je pense que ça n’a pas de sens d’y aller sans réfléchir, parce qu’on sort large et on ne double pas, on perd juste du temps. […] Ici, pour doubler il faut très, très bien anticiper. Ce n’est pas juste qu’on est derrière et qu’on y va. Il faut arriver de trois ou quatre virages avant pour préparer ce dépassement, parce que cette piste est comme ça. Elle est étroite, c’est difficile. Il faut peut-être être patient.”

Jorge Martín a réussi plusieurs dépassements au Balaton Park.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Acosta n’a pas eu cette patience lors du sprint et il a fini à terre en voulant doubler Martín. “Il faut être très intelligent et comprendre où y aller et où attendre”, a expliqué le pilote Aprilia, qui a précisé planifier des trajectoires alternatives plusieurs courbes en amont pour pouvoir doubler : “Je préparais très bien le virage 9. Je préparais peut-être une manœuvre à cet endroit à partir du virage 5.”
“Aux virages 7, 8, 9, on peut prendre une trajectoire un peu alternative, mais dans le reste c’est assez dur, donc soit on attend une erreur de l’autre, soit on prépare très bien le dépassement”, a-t-il détaillé. “Sinon, c’est très difficile. Même au premier virage, il a l’air facile pour doubler [mais] on peut facilement sortir large et l’autre repasse. On perd plus de temps que si on prépare, qu’on attend un tour et qu’on y va. Je ne veux pas donner plus de conseils à mes rivaux !”
Des chicanes dangereuses
Malgré la satisfaction générale, la sécurité du Balaton Park fait encore débat. On a vu Pedro Acosta subir plusieurs grosses chutes au cours du week-end, dont une qui a vu sa moto frôler un cadreur de Dorna Sports. Enea Bastianini a été impliqué dans les incidents les plus effrayants, au départ du sprint, quelques virages plus loin en percutant Johann Zarco, et dans le premier tour de la course principale, quand il est tombé dans une chicane et a traversé la piste.
L’Italien et Fabio Quartararo ont pointé la dangerosité du circuit après leur accrochage du sprint, et ils ont été rejoints par plusieurs pilotes le lendemain. “Quand on a une chicane super étroite, si on tombe au premier [virage], on finit au deuxième”, a confirmé Joan Mir, y voyant un problème sérieux : “C’est l’un des circuits dangereux qu’on a au calendrier, pas le plus sûr actuellement.”
Brad Binder alertait sur ces chicanes dès le vendredi. “On a juste des chicanes super ‘Mickey Mouse’, c’est la seule chose que je peux dire que je n’ai pas trop appréciée”, déclarait le Sud-Africain, appuyé par son coéquipier après la course. “La seule chose négative que j’ai vue, c’est quand Bastianini est tombé, aux virages 12-13, il a traversé la piste assez facilement”, a déploré Acosta. “C’est le seul point négatif que je dois relever.”
Avec Léna Buffa
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MotoGP, Hongrie J3, Pol Espargaró (KTM/8) voit son travail de pilote d’essai porter ses fruits : « Les gars sont performants »

Pol Espargaró a réalisé un solide week-end en Hongrie, en tant que remplaçant, et s’est réjoui de voir les pilotes KTM performants.
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La prolongation de Morbidelli chez VR46 attendue “dans les prochains jours”

Après avoir étudié le marché et notamment eu de brèves discussions avec Pedro Acosta, VR46 a pris la décision de conserver Franco Morbidelli aux côtés de Fabio Di Giannantonio la saison prochaine. Dès le mois de juillet, la marque assurait ainsi vouloir prolonger l’aventure avec l’Italien.
Au Balaton Park, il a été demandé à Morbidelli s’il avait des nouvelles sur son avenir. “Oui. Mais ils m’ont dit que ce n’était pas encore le moment pour en parler”, a-t-il répondu, donnant par la même occasion un indice clair sur sa prolongation, sans pouvoir apporter une confirmation formelle : “J’aimerais en parler mais pour le moment, je ne peux pas.” 
Morbidelli s’est montré un peu plus loquace auprès de la presse italienne : “J’ai renouvelé mon contrat… mais demandez à Uccio la confirmation et les détails.”
Sky Sport, qui diffuse le MotoGP en Italie, est ainsi allé à la rencontre d’Alessio “Uccio” Salucci, qui a confirmé une prolongation décidée sur le principe mais pas encore actée. “Franco est fantastique”, a déclaré le patron de VR46 en MotoGP. “Il est non seulement l’un de nos pilotes, mais aussi notre responsable de la communication !”
“C’est vrai : il n’y a pas encore de papier signé, mais la poignée de main était suffisante. Nous rendrons la prolongation de son contrat officielle dans les prochains jours.”
Encore des repères à prendre
Membre de longue date de la VR46 Riders Academy, Franco Morbidelli va ainsi rester dans un environnement familier… mais dont il prend le temps à découvrir certaines subtilités. Cette saison, il a été le seul pilote de la grille à conserver exactement la même moto que l’an dernier, à savoir la Ducati version 2024, mais il a changé d’équipe, en passant de Pramac à VR46.
“70% de nos premières courses ensemble, on a eu du mal le vendredi, pour différentes raisons”, expliquait Morbidelli au Mugello, citant surtout les GP de Grande-Bretagne et d’Aragón parmi les plus difficiles sur ce point. Selon lui, ces difficultés étaient la conséquence d’un manque de fluidité dans le travail avec son entourage technique : “Je pense que ça vient du fait qu’on ne se connaît pas bien [l’équipe et moi]. Le team est totalement nouveau [pour moi] et on ne se connaît pas vraiment.”

Franco Morbidelli
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

“On se connaît, mais travailler ensemble c’est différent. […] On commence à voir qu’on a un problème qui se prolonge un petit peu et qui concerne les vendredis, mais on arrive toujours à rebondir, à bien travailler et à obtenir de bonnes performances le samedi et le dimanche, c’est ce qui compte. Mais il est certain que faire de meilleurs vendredis nous aiderait encore plus à avoir de meilleurs samedis et dimanches.”
Deux courses plus tard, au Sachsenring, Morbidelli a confirmé devoir encore s’adapter aux méthodes de VR46 : “Changer d’équipe est de toute façon un gros changement. Même si la moto est la même, il faut s’adapter à différentes méthodes de travail, différentes approches des courses, à des personnes différentes, des philosophies différentes. Beaucoup de choses sont différentes.”
“C’est l’un des éléments auxquels j’ai dû le plus m’adapter cette année puisque la moto est plus ou moins la même que l’an dernier. Mais les gens qui travaillent autour, tout le monde, sont différents. C’est ce à quoi j’ai dû le plus m’habituer et c’est une chose qui peut avoir une influence sur les performances parce que les méthodes de travail peuvent être différentes.”
“Si le pilote ne s’adapte pas bien à la façon de travailler de sa nouvelle équipe, ça peut être un problème. Heureusement, ça n’a pas été le cas pour nous. C’est juste différent pendant les week-ends. On débute un peu plus lentement le vendredi, puis on fait mieux, on fait de gros progrès le samedi, et encore des progrès le dimanche. Je n’ai pas eu de mal à m’adapter à ma nouvelle équipe, ça a juste pris un peu de temps et demandé un peu d’expérience.”
Avec Francesco Corghi et Léna Buffa
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MotoGP, Franco Morbidelli accuse : « Rossi est le meilleur, Marquez a aidé Lorenzo à gagner le titre en 2015 »

Franco Morbidelli, pilote Ducati VR46 en MotoGP, s’est exprimé sur la rivalité Rossi/Marquez… et ça risque de faire du bruit.
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MotoGP, Dani Pedrosa décortique Marquez, Acosta, Martin et Bagnaia : le professeur donne sa leçon

Le pilote d’essai KTM et commentateur Dani Pedrosa offre son regard sur la domination de Marc Marquez et les difficultés de ses rivaux.
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Pourquoi Yamaha ne doit pas améliorer que sa moto

Après des mois à hésiter entre Miguel Oliveira, Jack Miller et la moitié de la grille Moto2 pour la deuxième place chez Pramac, Yamaha annoncera dans les prochains jours la prolongation de Miller dans son équipe satellite, aux côtés du débutant Toprak Razgatlioglu, ce que Motorsport.com annonçait dès dimanche. Comme pour toute décision de la sorte, les avis seront variés et seul le temps permettra de savoir si ce choix était le bon.
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Pour certains, conserver l’Australien a du sens pour le projet tel qu’il est aujourd’hui : son expérience pourrait aider à tirer le potentiel du V4, destiné à redonner à la marque le rythme perdu ces dernières années et à la replacer dans la lutte pour des victoires et – à terme – pour des championnats. Pour d’autres, cette prolongation s’oppose à l’idée de ce qui est considéré comme un “junior team” destiné à permettre à de jeunes talents de faire leurs preuves.
Mais même sans entrer dans ce débat par nature subjectif, une chose est claire : le processus qui a mené au choix du pilote pour la dernière M1 disponible aurait pu être mieux géré. Lorsque Miller sera confirmé, il aura atteint son objectif en prolongeant sa carrière en MotoGP d’un an, mais à en juger par ses commentaires il y a une semaine, quand il attendait encore une réponse de Yamaha, l’idée de rester chez Pramac semblait lointaine.
“J’ai été plus que patient. Si on me veut, on me veut, si on ne me veut pas, on ne me veut pas, c’est aussi clair que ça”, lâchait Miller, ne percevant pas véritablement une volonté de Yamaha de le conserver : “Plus le temps avance, en effet, c’est ce que je sens, absolument, plus on entend de noms sur la liste…”

Jack Miller
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Quelques heures plus tard, Miller entrait dans le motorhome de Yamaha au Balaton Park, accompagné par son manager, Aki Ajo. Interrogés sur la nature de leurs échanges, les dirigeants de Yamaha ont expliqué que Miller était “venu présenter ses excuses pour ses propos devant la presse”.
Une réponse étonnante, alors que la frustration de l’un des pilotes les plus populaires de la grille était compréhensible, et que ses commentaires, certes directs, n’avaient rien d’offensant. De plus, pourquoi présenter des excuses s’il était sur le point de partir en WorldSBK, comme il le sous-entendait ?
Après plusieurs conversations avec des sources proches du dossier, Motorsport.com a compris que Miller garderait sa place en 2026. En public, l’intéressé affichera surement son plus beau sourire mais en privé, il aura peut-être l’impression de n’être qu’un second choix.
Oliveira dans l’attente, Moreira a préféré filer chez Honda
Son coéquipier actuel, Miguel Oliveira, a de quoi être encore moins satisfait puisqu’il attend encore une réponse formelle – c’est en tout cas ce qu’assure son entourage. Son cas est particulièrement cruel, son contrat devant initialement couvrir la saison 2026.
Mais l’accord comprend une clause de performance : si Oliveira était le moins bien placé des quatre pilotes Yamaha à une certaine date – fixée avant la pause estivale – le constructeur n’était pas contraint de le conserver pour une deuxième année. C’est précisément ce qui s’est passé, en partie à cause des quatre courses manquées par le Portugais en raison d’une blessure.

Diogo Moreira
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Cela fait longtemps que l’on sait que Yamaha tentait de séduire Diogo Moreira, qui impressionne en Moto2, tout en flirtant aussi avec Manuel González. Avant la trêve estivale, le Brésilien apparaissait comme le favori pour épauler Razgatlioglu en 2026, afin de former un duo de débutants, et ses liens avec Yamaha Brésil, qui lui fournit des motos d’entraînement, apparaissaient comme un avantage.
À la lutte pour le titre Moto2 avec González et Arón Canet– avec actuellement 31 points de retard sur le premier et six sur le second – Moreira attendait une décision d’Iwata. Finalement, Honda est passé à l’offensive et s’est assuré ses services. Même si rien n’était signé à son arrivée au Balaton Park, Diogo Moreira a décidé de s’associer à Honda, qui lui offre un contrat de trois ans, avec une première année d’adaptation chez LCR mais avec un statut de pilote d’usine.
Quartararo, le vrai pilote à convaincre
Après ces événements, Paolo Pevesio, grand responsable de Yamaha en compétition, a confirmé la wild-card d’Augusto Fernández à Misano pour que le pilote d’essais effectue une première course avec le tant attendu V4. Cette annonce retentissante était inhabituelle pour une marque habituée au secret : elle se voulait très médiatique, en insistant sur les efforts investis dans le projet, au Japon comme en Italie.
Et pour cause : la capacité de Yamaha à conserver Fabio Quartararo pourrait dépendre directement des performances de ce moteur. Car décevoir Miller, Oliveira, Moreira et González – sur qui Yamaha garde un œil pour 2027 – est une chose, mais perdre Quartararo serait une autre histoire.
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MotoGP, Miguel Oliveira en mode survie : Aprilia ouvre la porte au Portugais, Yamaha le lâche pour 2026

Le pilote portugais Miguel Oliveira ne sera pas sur la grille du MotoGP avec une Yamaha la saison prochaine.
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