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Nouveaux records du monde de vitesse sur terre établis lors des Bonneville Motorcycle Speed Trials malgré la météo

Les conditions météorologiques ont beaucoup perturbé les Bonneville Motorcycle Speed Trials, et seuls 4 nouveaux records ont été inscrits.
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MotoGP 2026 : à quand le vrai coup d’envoi ? Dans les coulisses d’une présaison bloquée

Un dilemme géopolitique et marketing qui retarde la publication du calendrier des essais MotoGP hivernaux.
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MotoGP, Marc Marquez titré chez Rossi ? « Les gens sont civilisés » : le clan Marquez ne craint pas Misano

Sur une possible célébration du titre de Marc Marquez à Misano, le fief de Valentino Rossi, son entraineur José Luis Martinez s’exprime.
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MotoGP, Hongrie, Gigi Dall’Igna célèbre Marc Marquez et soutient Pecco Bagnaia : « les résultats viendront avec la confiance »

Après la Hongrie, Gigi Dall’Igna a salué la victoire de Marc Marquez et a réaffirmé son soutien à un Pecco Bagnaia en difficulté.
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MotoGP, Marc Marquez jouera contre Bagnaia pour la place de vice-champion : « je vais aider mon frère Alex à marquer autant de points que possible »

Alex Marquez connait un passage à vide. Heureusement, son illustre frère Marc lui tend la main et promet de l’épauler jusqu’au bout.
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Martín ne vise pas encore la victoire : “Je ne veux avoir aucune attente”

Jorge Martín réalise un retour convaincant sur l’Aprilia. Sur la touche pendant plusieurs mois après une succession de blessures, l’Espagnol est déjà dans le coup malgré une moto qu’il connaît encore peu. Pour son retour à Brno, il a conclu la course sprint aux portes du top 10 puis y est entré le lendemain. Son week-end a été plus brouillon au Red Bull Ring, marqué par des erreurs le samedi comme le dimanche, en revanche les signaux étaient très prometteurs au Balaton Park.
Passé à seulement un millième du top 10 le vendredi, Martín a réussi une première remontée lors du sprint pour prendre un point, et une seconde le lendemain, qui l’a vu passer de la 16e place sur la grille à la quatrième sous le drapeau à damier, le tout sur un circuit réputé difficile pour les dépassements. De quoi revoir ses objectifs à la hausse ?
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Barcelone est le prochain circuit au calendrier. Martín y a naturellement de très bons souvenirs puisque c’est là qu’il a décroché son titre l’an passé, mais c’est aussi un tracé très favorable à l’Aprilia : Aleix Espargaró a gagné les deux courses en 2023, ainsi que le sprint du GP de Catalogne en 2024. Pour autant, le Madrilène préfère aborder cette course sans objectif précis.
“Ça ne change pas pour Barcelone ou Misano pour le moment”, a assuré le champion en titre. “Je ne veux avoir aucune attente, je veux juste continuer à découvrir la moto, continuer à comprendre comment faire mieux. C’est tout. [Au GP de Hongrie], je n’avais pas d’attentes et j’ai fini quatrième, proche du podium. Peut-être qu’à la prochaine course, je serai sur le podium ou que je jouerai la victoire, je ne sais pas. Je me donnerai à 100% mais je ne veux pas en faire plus que possible.”
 
“[Au Balaton Park], j’aurais pu jouer le podium et tomber. J’ai préféré finir quatrième et continuer à construire une base solide pour le futur, au lieu de viser un résultat et de prendre le risque de tomber. On est sur la bonne voie, c’est sûr. L’équipe travaille incroyablement bien et je suis vraiment surpris par Aprilia, leur façon de travailler, le projet et tout le reste. On va dans la bonne direction, je pense qu’on est super forts.” 

Le défi de ramener Aprilia sur le chemin de la victoire m’apporte beaucoup plus de motivation et de plaisir, disons, que le simple fait de gagner des courses.

Alors qu’il voulait se défaire de son contrat avec Aprilia au printemps, quand il traversait une période de doutes intenses pendant sa convalescence, Martín a désormais appris à apprécier le challenge dans lequel il s’est lancé avec la marque. Au point de trouver un équilibre plus satisfaisant que la lutte pour le titre mondial qu’il a menée en 2023 et 2024.
“C’est différent. L’an dernier, j’avais la faim pour remporter le titre et c’était bien. Mais, maintenant, en pensant un peu à mon passé, le défi de ramener Aprilia sur le chemin de la victoire m’apporte beaucoup plus de motivation et de plaisir, disons, que le simple fait de gagner des courses. Le jour où je gagnerai avec Aprilia sera fantastique, ce sera super bien. J’espère qu’il viendra.”

Jorge Martín
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Martín accepte ainsi de freiner son ambition à court terme, en espérant récolter les fruits de ses efforts actuels dans la durée : “J’aurais aimé être déjà rapide à Brno mais ce n’était pas possible, puis en Autriche j’en ai fait un peu plus, et [en Hongrie] je me suis senti bien dès le premier instant. Je dois bien comprendre pourquoi, afin de le refaire dans les prochaines courses.”
“Comme je l’ai déjà dit, ce qui est important, c’est de continuer à mettre en place ces réglages de base parce qu’il est important de connaître la moto, de garder toujours la même en faisant juste quelques ajustements. Jusqu’à présent, j’ai toujours fait de gros changements sur la moto, donc ça ne fonctionne pas vraiment.”
“Je dois simplement continuer dans mon processus. Je pense qu’on est bien là. Il faut continuer à le prouver dans d’autres moments, comme les qualifications ou peut-être la dernière partie des courses. Il faut travailler sur ça.”
Le besoin d’être plus doux en qualifications
Dès le GP de République tchèque, Jorge Martín voyait une marge de progrès en entrée de courbe. Désormais, c’est surtout en qualifications qu’il se sent à la peine. “Il m’en manque un peu pour améliorer le tour lancé”, a-t-il expliqué au Balaton Park, tout en pointant un pneu arrière “pas très bon” qui a pu expliquer sa position lointaine sur la grille. Reste qu’il doit encore apprendre à tirer le meilleur de la RS-GP quand il vise la performance pure, une phase par laquelle est également passé son coéquipier lorsqu’il a découvert l’Aprilia.
“C’est dommage parce que je sens que ça m’aiderait de partir un peu plus devant, mais ça fait partie de mon processus. Je pense que Marco [Bezzecchi] a aussi eu un peu de mal en début de saison. Avec cette moto, on dirait que quand on essaie d’attaquer plus, rien ne fonctionne. Il faut être doux, même dans un time attack, mais ça fait partie du processus d’apprentissage.”
“En termes de rythme, je me sens performant. Je n’ai pas encore le rythme pour décrocher un podium ou pour gagner, mais il y a peut-être le rythme pour le top 5. C’est une question de temps. Ce qui est important, c’est qu’on se rapproche. J’en sais plus à chaque tour, je comprends et je sens plus de choses. On fait des progrès et c’est la seule chose qui compte pour le moment.”
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MotoGP, Hongrie J3, Jack Miller (Yamaha/Ab.) : « J’ai le sentiment d’avoir manqué une opportunité »

Auteur d’un excellent départ, Jack Miller était aux portes du top 10 lorsqu’il a chuté en course, le faisant passer à côté d’un possible très bon résultat.
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Di Giannantonio lassé de passer par des “montagnes russes effrayantes”

Parmi les trois pilotes qui disposent de la Ducati GP25, la domination de Marc Márquez et les difficultés de Pecco Bagnaia sont au cœur des débats, mais la situation de Fabio Di Giannantonio est moins souvent évoquée. Le pilote VR46 vit une saison en dents de scie, sans éprouver autant de difficultés que Bagnaia mais sans pouvoir régulièrement placer sa machine dans les premières positions.
Le Balaton Park a illustré ces hauts et ces bas. Di Giannantonio n’a pas réussi à se qualifier directement en Q2 pourtant, en qualifications, il s’est hissé dans la deuxième partie par la plus infime des marges possibles : 0″000 ! C’est son deuxième meilleur temps et celui de Binder qui ont finalement été retenus pour les départager. Sa troisième place sur la grille et sa deuxième place lors du sprint montraient une éclaircie… avant que le soleil se couvre à nouveau le dimanche, avec un souci sur la grille.
“Un jour, j’écrirai peut-être un livre au sujet de cette année”, déclarait un Di Giannantono assez fataliste après l’arrivée. “Ça a été littéralement les montagnes russes les plus effrayantes qui soient, avec de très grandes montées et de très grandes descentes, tout le temps.”
“L’équipe et moi, on a commencé à en percevoir certaines raisons mais on ne doit pas se focaliser sur les raisons, plutôt sur le travail et essayer d’être plus rapides pour inverser la situation quand les choses ne vont pas dans notre sens. Je ne me déconcentre pas, je ne baisse pas les bras, je ne l’ai jamais fait de toute ma carrière. C’est frustrant mais il faut aller de l’avant.”

Fabio Di Giannantonio
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Les difficultés de Fabio Di Giannantonio se concentrent surtout sur le tour rapide, ce qui lui coûte cher le vendredi après-midi et le samedi matin. Plus précisément, il a du mal à appréhender le niveau d’adhérence, régulièrement supérieur à ses attentes.
“On a couru après ça toute l’année. On voit bien quels sont les hauts et les bas qu’on a. On n’arrive pas à optimiser la moto pour le time attack, donc on part très loin et on n’arrive pas à trouver le grip en plus que trouvent les autres.”
“On a énormément de mal sur les pistes qui ont du grip”, a-t-il précisé. “On en a toujours trop, alors quand il y a déjà une bonne adhérence sur la piste, on ne l’exploite pas et ça devient quelque chose qui joue en notre défaveur. C’est dommage qu’à la 12e course, on n’ait pas encore progressé là-dessus.”
De nombreuses notes d’espoir
Au Balaton Park, Di Giannantonio a néanmoins perçu un déclic en qualifications, en parvenant mieux à gérer cette adhérence. Il a désormais l’espoir d’une solution pérenne : “Je l’espère vraiment parce qu’un championnat se joue sur la durée que l’on met du temps à avoir de meilleures sensations sur la moto. Quand on y arrive, quand on comprend ce dont le pilote a besoin, l’équipe travaille presque de son côté sur les réglages, on travaille juste sur de petits détails.”
“Sur la moto, il faut que je donne mon meilleur ressenti à l’équipe, le plus précis possible, mais c’est un travail d’équipe. J’espère vraiment qu’on a compris ça pour l’avenir, afin d’essayer de trouver enfin de la constance dans les résultats.” 

Fabio Di Giannantonio
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Cette constance est restée absente en Hongrie en raison d’un nouveau problème qui a gâché sa course le dimanche, une semaine après une casse moteur et une moto en feu au Red Bull Ring. L’Italien ne veut cependant pas se laisser miner par ces soucis techniques.
“Je ne veux me focaliser que sur les choses positives”, a insisté Di Giannantonio auprès du site officiel du MotoGP. “Je n’ai jamais baissé les bras de toute ma carrière, alors je ne vais clairement pas le faire après deux soucis techniques sur les deux dernières courses. On continue à travailler, on est une équipe, un groupe, et on va passer à la prochaine course.”

Quand il y a beaucoup de travail, les résultats arrivent.

Di Giannantonio se félicite de la qualité de ces efforts collectifs : “L’équipe a super bien travaillé. Je suis fier de chacun d’eux parce qu’on fait vraiment beaucoup de choses, même si vu de l’extérieur on ne dirait pas. De l’extérieur, on peut se dire qu’avec la GP25, je devrais gagner toutes les courses mais au lieu de ça, et pour de nombreuses raisons, il y a beaucoup de travail derrière. Chaque membre de l’équipe travaille vraiment dur et bien. Je suis très fier de chacun d’eux. Quand il y a beaucoup de travail, les résultats arrivent.” 
Ce travail peut en plus s’inscrire dans la durée. Depuis son arrivée en MotoGP, le pilote italien a dû changer de staff technique tous les ans et il a souvent déploré ce manque de stabilité, néanmoins il conservera les mêmes ingénieurs et mécaniciens la saison prochaine.
“Ça va m’aider parce que je ne vais pas repartir de zéro. Je vais repartir avec la même méthode de travail, les mêmes personnes, la même structure, la même moto. Ça va certainement beaucoup m’aider. Après, il faut espérer qu’on aura joué tous nos jokers cette année, et comme ça l’année prochaine sera un peu plus lisse !” 
Avec Léna Buffa
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MotoGP, l’avenir du championnat Moto3 pose question : « Ça ne ferait aucun sens »

Le futur du championnat Moto3 n’est toujours pas décidé. Vers quoi la plus petite des catégories s’oriente-t-elle ?
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MotoGP, Pecco Bagnaia en pleine tourmente : « il a mis trop de temps à reconnaître que Marc Marquez était meilleur que lui » mais qui a dit ça ?

Ruben Xaus a livré une analyse sans concessions sur la situation chez Ducati, pointant du doigt la grande erreur de Pecco Bagnaia.
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MotoGP, Yamaha 2026 : le moteur V4 est prêt, mais la stratégie pilote est en panne sèche

La stratégie de Yamaha sur le marché des pilotes pour 2026 suscite l’incompréhension dans le paddock alors que le V4 arrive.
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Márquez reste concentré : “Quand j’attaque, c’est là que je suis à l’aise”

Cela fait maintenant plus de trois mois que Marc Márquez est invaincu en MotoGP. Depuis le succès de Marco Bezzecchi au GP de Grande-Bretagne, le pilote Ducati a remporté sept sprints et sept courses principales, ce qui lui a permis de se forger une très solide avance au championnat, à tel point qu’un titre dès Misano est désormais possible.
Márquez tient à savourer chaque instant de sa forme actuelle. Dominateur jusqu’en 2019 puis contraint à une longue période de disette après sa blessure de 2020, l’Espagnol est particulièrement bien placé pour savoir que le succès n’est jamais une garantie. Pendant le week-end du Balaton Park, il a insisté sur le fait que sa domination ne peut pas être considérée comme la norme, et après une nouvelle victoire dimanche, il a assuré que l’impression de facilité qu’il dégage n’est qu’une illusion.
“Ce n’est jamais facile”, a insisté Márquez en conférence de presse. “J’essaie toujours de me dire que je vis un rêve. Ce n’est pas normal de gagner 14 fois d’affilée, en comptant les sprints et les courses principales. Ce week-end, j’étais très à l’aise mais en Autriche, Bezzecchi a beaucoup attaqué dans les premiers tours, puis Fermín [Aldeguer] remontait. Ça peut arriver le week-end prochain en Catalogne.”
“Pour moi, le plus important est d’être performant dans toutes les conditions, sur tous les circuits, sur différents tracés, et d’être tout le temps dans le top 3. Le moment viendra, un samedi ou un dimanche, où quelqu’un sera plus rapide que moi. Il faudra l’accepter et finir la course.” 

Marc Márquez n’a pas de concurrent en ce moment en MotoGP.
Photo de: MotoGP

Márquez a beau s’opposer à l’idée d’une domination facile, il reconnaissait au GP d’Autriche ne pas vraiment savoir quelle est la marge dont il dispose sur ses concurrents. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, c’est en étant agressif qu’il peut rester concentré, ce qui s’est vu au Balaton Park, quand il a été doublé Marco Bezzecchi et Franco Morbidelli au départ, mais n’a pas renoncé à jouer la victoire.
“Mon principal objectif est de rester concentré. Pour rester concentré, je dois rester au même niveau. Quand j’attaque, c’est là que je suis à l’aise. Il y aura des circuits, comme le prochain en Catalogne, où je ne serai peut-être pas le plus rapide et c’est là qu’il faudra l’accepter, mais on verra.”
Une dynamique à préserver
Et lorsqu’il est interrogé sur la perspective de 2027, année qui verra l’introduction d’une nouvelle génération de motos mais pour laquelle il n’a pas encore de contrat, Márquez dit préférer prendre les championnats “les uns après les autres”. Il juge nocif de se projeter à trop long terme et toujours craintif des erreurs de déconcentration qu’il a parfois pu commettre, encore cette année à Austin ou à Jerez.
“Il faut d’abord [conclure] 2025, puis on pensera à 2026. Je ne veux pas perdre cette dynamique, ma mentalité actuelle. Je suis rapide mais, avant, j’étais rapide et je faisais plus d’erreurs. Maintenant, on dirait que toutes les situations sont plus sous contrôle.”

Marc Márquez enchaîne les succès.
Photo de: Qian Jun / MB Media via Getty Images

“Je suis évidemment à la limite, on peut toujours faire des erreurs. C’est pour ça que je veux que les courses continuent comme ça parce que ça sera la meilleure façon de débuter 2026. Mais il reste beaucoup de courses, et 2027 est loin.” 
Même la saison 2026 reste loin dans l’esprit de Márquez, selon qui il est bien trop tôt pour consacrer ses efforts à la prochaine campagne : “Avant tout, il faut gagner le championnat. On a toujours l’impression que ça se rapproche mais je veux le faire. Quand j’aurai gagné 2025, je travaillerai sur 2026.”
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