Moto GP

Moto GP

MotoGP Barcelone Catalogne Practice LIVE :

Pour la FP1 de la quinzième de ses 22 manches, le championnat du monde MotoGP retrouve la Catalogne et pour la 34e fois son archi connu circuit de Barcelone à l’adhérence précaire, mais cela suffira-t-il à trouver un opposant à Marc Marquez (Ducati Lenovo Team) sur ses terres ? En fait, l’intérêt de cet affrontement catalan n’est […]
Cet article MotoGP Barcelone Catalogne Practice LIVE : est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP Barcelone Catalogne Practice LIVE : Lire l’article »

Moto GP

MotoGP : Hervé Poncharal, ému, commente la vente de Tech3 : « tout le monde m’a serré dans ses bras, on s’est tous salués, et voilà, c’est ma famille »

Hervé Poncharal, a commenté, avec beaucoup d’émotion, la vente de son équipe à un consortium dirigé par Guenther Steiner.
Cet article MotoGP : Hervé Poncharal, ému, commente la vente de Tech3 : « tout le monde m’a serré dans ses bras, on s’est tous salués, et voilà, c’est ma famille » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP : Hervé Poncharal, ému, commente la vente de Tech3 : « tout le monde m’a serré dans ses bras, on s’est tous salués, et voilà, c’est ma famille » Lire l’article »

Moto GP

Günther Steiner dit son “humilité” en se lançant en MotoGP

À 60 ans, Günther Steiner se lance dans une nouvelle aventure. Celui qui a déjà connu mille vies en sports mécaniques s’apprête à découvrir un championnat qu’il ne connaît guère, le MotoGP, en rachetant l’équipe Tech3 et en en devenant le PDG à partir de 2026.
Lire aussi :

Deux ans après son départ de la Formule 1, lorsqu’il a été remplacé à la tête de Haas, l’Italien se dit excité de se confronter ainsi à la nouveauté, en dépit de tout ce qu’il sait devoir apprendre. Pourquoi n’a-t-il pas choisi d’embrasser un autre projet en F1 ? “Avant tout, je dois dire que c’est quelque chose que j’ai toujours envisagé mais sans avoir le temps. Et puis, c’était intéressant. Je pense que la Formule 1 est à un stade où… Je l’ai fait, j’y suis resté assez longtemps, alors je fais quelque chose de nouveau. J’apprécie les nouveaux challenges”, explique-t-il.
“La Formule 1, c’est fantastique, mais ça n’est pas la seule chose que l’on puisse faire en sports mécaniques. J’ai toujours aimé les défis dans ma vie et faire quelque chose de nouveau”, ajoute Günther Steiner, dont le parcours a en effet déjà connu bien d’autres expériences, dont certaines l’ont mené hors de sa zone de confort.
Lui qui avait débuté comme mécanicien et ingénieur en rallye, qui fut autrefois directeur technique chez M-Sport avant de rejoindre la Formule 1 au début des années 2000, il a expérimenté plusieurs postes à la direction de Jaguar, Red Bull Racing et bien sûr Haas, dont il a été le directeur d’équipe pendant une décennie. Mais il ne s’y est pas limité, puisqu’il a même tenté l’aventure NASCAR, déjà sans se laisser impressionner par son manque de connaissances du secteur.
“Je pense que mon plus gros challenge est d’apprendre aussi vite que possible ce qui se passe ici. Nous abordons cela avec humilité. Nous savons qu’il y a ici beaucoup de bonnes personnes”, anticipe-t-il au moment d’officialiser son arrivée en MotoGP. Mais, à ses yeux, il est trop temps pour véritablement définir quel sera l’aspect le plus complexe pour lui.
“Quand je fais quelque chose de nouveau, j’ai d’abord besoin d’apprendre avant de connaître quels seront mes défis. Je ne peux pas dire quel sera mon plus gros défi, car je ne le sais pas encore. Mon plus challenge est d’apprendre et de voir quel sera mon plus gros challenge. Ça paraître peut-être un peu confus, mais ça ne sera pas la première fois que je suis confus aux yeux des gens !”

Günther Steiner prend la suite d’Hervé Poncharal à la tête de Tech3.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

“Au final, c’est ce que je dois faire. J’ai beaucoup appris quand je suis parti aux États-Unis pour diriger une équipe NASCAR – je n’y connaissais rien du tout, mais j’y suis allé et j’ai dit que pendant les six premiers mois, je voulais juste apprendre. J’ai l’avantage ici, d’avoir Hervé à nos côtés en tant que consultant. J’espère que ça me prendra moins de six ou huit mois, mais je me laisse quand même du temps.”
“Pas une mission impossible” selon Poncharal
Günther Steiner sera le PDG de Tech3 à partir de l’année prochaine, accompagné dans cette nouvelle aventure par Richard Coleman, son associé depuis dix ans, qui prendra le rôle de team principal. Impliqué dans la préparation de ce projet, depuis un an et demi, celui-ci insiste également sur l’humilité qui les anime.
“Nous sommes très excités par cette opportunité, mais nous l’abordons aussi avec une énorme dose d’humilité”, promet le Britannique. “Günther l’a dit, nous avons beaucoup à apprendre, nous ne venons pas de la moto et nous en sommes extérieurs pour le moment, mais l’année prochaine sera une année de transition sous de nombreux aspects, notamment le changement de règlement pour 2027. J’espère que l’année prochaine à pareille époque, nous serons plus des insiders que des outsiders. Nous sommes en tout cas très excités par ce qui nous attend.”
Hervé Poncharal s’est montré très confiant quant à la solidité du projet lancé par les deux hommes, et la justesse de leur approche en dépit de leur méconnaissance du MotoGP. “Je n’ai aucun doute”, assure le créateur de Tech3, qui passera la main à la fin de la saison tout en restant consultant. “Günther et Richard sont des personnes intelligentes. Ils connaissent les sports mécaniques. Au final, si vous avez la passion, si vous aimez les gens et le sport, si vous êtes ouvert au fait d’écouter, ça n’est pas une mission impossible. Ils ont tout ce qu’il faut pour avoir du succès, alors je n’ai aucun doute.”

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Günther Steiner dit son “humilité” en se lançant en MotoGP Lire l’article »

Moto GP

Moto3 Barcelone Catalogne Practice : Valentin Perrone esquive les drapeaux jaunes, des favoris en Q1 !

Le Moto3 reprend ses droits en Catalogne avec la Practice. Découvrez qui s’est illustré dans cette séance ô combien importante.
Cet article Moto3 Barcelone Catalogne Practice : Valentin Perrone esquive les drapeaux jaunes, des favoris en Q1 ! est apparu en premier sur Paddock GP.

Moto3 Barcelone Catalogne Practice : Valentin Perrone esquive les drapeaux jaunes, des favoris en Q1 ! Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Luca Marini est clair : « Je veux me battre pour le titre mondial avec Honda »

Luca Marini a signé une extension de contrat d’un an chez Honda en MotoGP, et vise désormais le titre mondial à moyen terme.
Cet article MotoGP, Luca Marini est clair : « Je veux me battre pour le titre mondial avec Honda » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Luca Marini est clair : « Je veux me battre pour le titre mondial avec Honda » Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, OFFICIEL, Tech3 change de mains : Guenther Steiner débarque en MotoGP pour écrire une nouvelle ère

Un consortium dirigé par Guenther Steiner a acquis la pleine propriété de l’équipe Red Bull KTM Tech3. Une nouvelle ure commence.
Cet article MotoGP, OFFICIEL, Tech3 change de mains : Guenther Steiner débarque en MotoGP pour écrire une nouvelle ère est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, OFFICIEL, Tech3 change de mains : Guenther Steiner débarque en MotoGP pour écrire une nouvelle ère Lire l’article »

Moto GP

“Pas de mur” chez Honda : Cecchinello réagit au contrat de Zarco

Honda a pris sa décision et choisi de maintenir Luca Marini et Johann Zarco dans leur équipe respective pour la saison prochaine. Au gré des négociations, lancées il y a plusieurs mois, le Français a plusieurs fois exprimé son désir d’être considéré comme le pilote numéro un du constructeur, voire d’intégrer son équipe d’usine. Il restera finalement dans le Team LCR.
Cette décision pourrait surprendre sachant que Zarco est le premier pilote de la marque à ce jour et que c’est lui qui l’a ramenée à la victoire, au Mans. Pour Lucio Cecchinello, son patron d’équipe, c’est d’abord une chance de capitaliser sur la relation forte qui s’est construite depuis l’an dernier, et cela ne doit pas priver le pilote de la moindre évolution technique.
“Je pense que la décision finale de laisser Johann dans notre équipe est due au fait qu’ils ont clairement estimé que nous avons établi un lien, une relation qui fonctionne très bien. Dans l’équipe, nous sommes tous très contents de continuer avec lui”, réagit Lucio Cecchinello au micro du site officiel du MotoGP.
L’Italien salue aussi le fait qu’avec cette prolongation de deux ans, Johann Zarco est le premier pilote du plateau à disposer d’un contrat pour 2027. “Je pense que le HRC a évalué son expérience. Dans l’optique de 2027, où [le règlement] sera différent, il est très important pour le HRC d’avoir un pilote expérimenté comme l’est Johann”, se félicite-t-il.
Lire aussi :

L’annonce faite en début de semaine insiste sur le fait que Zarco reste directement sous contrat avec le HRC, ce qui “assure son statut de pilote d’usine” et lui “garantit l’accès aux mêmes spécifications techniques que l’équipe d’usine officielle, avec des mises à jour et des développements fournis en parallèle”. Ce statut mènera aussi le Français à représenter une nouvelle fois la marque aux 8 Heures de Suzuka.
Pour Lucio Cecchinello, cette définition du rôle de Johann Zarco souligne clairement l’absence de différences de traitement entre lui et le binôme formé par Joan Mir et Luca Marini dans le team du HRC. “Honnêtement, nous avons discuté avec Honda, et ils ont été clairs sur le fait que, c’est déjà le cas actuellement mais ça le sera encore plus à l’avenir, la philosophie est : Honda est Honda. Il n’y a pas de mur entre les deux équipes, pas de différences techniques.”
“Nous avons parfois des tâches différentes, avec des pièces différentes à tester, c’est la réalité, mais ils sont clairement très satisfaits du niveau de notre travail technique, de la manière dont nous travaillons avec Johann. Alors cela représente une valeur, et peu importe que l’on soit dans une équipe ou dans l’autre. Le plus important, c’est de regarder les performances, et Johann réalise de très bonnes performances.”
Il n’empêche que Johann Zarco est apparu frustré par ses récents résultats, de même que par les différences entre sa moto et celle de ses collègues, estimant que lui a stagné là où les autres ont avancé. “La réalité est que ces éléments sont des pièces qui sont encore en cours de développement”, répond Lucio Cecchinello.
“Il y a différents retours de la part des pilotes, entre le test team et les deux pilotes d’usine, et pour le moment le HRC préfère que Johann soit pleinement concentré sur le package qui lui permet de marquer plus de points que n’importe quel autre pilote du HRC. Nous ne voulons pas avoir d’autres variables à ce stade. Dès qu’il sera confirmé que ces pièces sont meilleures, nous les aurons, c’est certain, mais pour le moment Honda vise clairement l’amélioration des résultats afin d’obtenir plus de points pour le championnat du monde des constructeurs.”

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

“Pas de mur” chez Honda : Cecchinello réagit au contrat de Zarco Lire l’article »

Moto GP

Günther Steiner officialisé à la tête de l’équipe Tech3 en MotoGP

C’est un changement qui fera date sur la grille MotoGP, une page qui se tourne pour l’équipe française Tech3 et son patron emblématique Hervé Poncharal. Comme nous l’anticipions dès le mois dernier, le rachat de l’équipe a été finalisé par Günther Steiner et un consortium d’investisseurs, et ce pour les catégories MotoGP comme Moto3.
La nouvelle a été officialisée ce vendredi midi, en marge du GP de Catalogne, lors d’une conférence de presse exceptionnelle à laquelle participaient l’Italien et celui qui est désormais l’ancien propriétaire de Tech3, Hervé Poncharal. Etaient présents également Carlos Ezpeleta, directeur sportif du championnat, et Richard Coleman, qui deviendra team principal sous la direction de Günther Steiner, PDG de Tech3. Cette nouvelle structure prendra effet en 2026.
Le montant de l’acquisition est estimé à 20 millions d’euros. Le fonds Apex, qui gère le capital de pilotes de renom, est impliqué dans l’opération, après avoir déjà précédemment acquis 20% des parts de l’écurie de Formule 1 Alpine. On sait que Lando Norris en fait partie, aux côtés d’autres athlètes souhaitant conserver l’anonymat.
Cette annonce marque la fin de parcours d’Hervé Poncharal en MotoGP, lui qui a créé l’équipe Tech3 à la fin des années 1980 avec ses acolytes Guy Coulon et Bernard Martignac. Il passera la main à la fin de la saison en cours et prendra un rôle de consultant.
“Comme je le dis souvent, rien ne dure pour toujours”, a déclaré Hervé Poncharal. “Cela fait longtemps que je réfléchis au jour où je donnerai une nouvelle direction à ma vie. C’est un moment très émouvant, c’est certain. Quand on est en MotoGP, on vit pour ça et tout le reste n’est que détails. Donc on ne referme pas ce chapitre très facilement pour aller vivre une autre vite. C’est une forte addiction et je pense que tout le monde ici en est conscient. On a beau se plaindre parfois qu’il y a trop de dates et de déplacements, on adore ça. J’appartiens encore à ce paddock et chaque matin, quand je vies, et que pratiquement tout le monde me serre la main ou me fait une accolade… c’est ma famille.”

Herve Poncharal, Red Bull GASGAS Tech3
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

“Alors, oui, c’est émouvant, mais quand on a un enfant et qu’il est en bonne santé, on veut qu’il vive, qu’il grandisse et qu’il ait du succès. A un moment donné, il faut passer le témoin. Je réfléchis depuis pas mal de temps à comment le faire et avec qui le faire. Nous avons rencontré plusieurs personnes et, depuis que Liberty Media est arrivé, un plus grand nombre de personnes ont manifesté leur intérêt et demandé quels étaient nos projets. L’un d’eux, et le gagnant est Günther Steiner.”
Hervé Poncharal décrit en son successeur “une personne très humaine, qui écoute vraiment ce que vous voulez, qui se soucie de vous et de ce que vous avez fait”. Il souligne les points communs entre eux, se disant confiant de la suite qu’il donnera.
Si les termes de l’accord restent bien entendu partiellement secrets, il est néanmoins annoncé que l’équipe conservera le nom de Tech3 ainsi que sa base à Bormes-les-Mimosas. Elle restera engagée dans son contrat actuel avec KTM, qui court jusqu’en 2026 inclus. On estime par ailleurs que Günther Steiner aurait déjà obtenu la garantie de conserver deux places sur la grille MotoGP au-delà de 2026 et de l’expiration des contrats actuels entre les équipes et le MotoGP.
“A partir de 2026, Günther et Richard dirigeront l’entreprise, et s’ils ont besoin de moi, je serai là”, promet Hervé Poncharal. “Je veux rassurer tout le monde, tous nos partenaires : l’entreprise restera basée là où elle se trouve, dans nos locaux, elle utilisera notre logistique et 100% du staff et des pilotes [resteront en poste]. Je veux dire que tout est sécurisé : 2026 se passera exactement comme cela se serait passé sans accord.”
Tech3 a brillé en catégorie 250cc, avant d’intégrer la catégorie reine en 2001 et d’en devenir une structure centrale. L’histoire de Tech3 a connu plusieurs chapitres, certains plus complexes que d’autres, mais elle aura été l’équipe satellite emblématique de Yamaha durant de longues années, avant de se lier à KTM en 2019. Des victoires sont arrivées en 2020, venant récompenser deux décennies d’efforts parmi l’élite mondiale.
Ce grand changement intervient alors qu’Hervé Poncharal a déjà passé la main à la présidence de l’IRTA plus tôt dans l’année, et alors que Liberty Media a finalisé l’acquisition de Dorna Sports, devenant de fait détenteur des droits commerciaux du MotoGP. Il s’agit de la première opération d’envergure de ce type, alors que le MotoGP entre dans une nouvelle ère sous l’égide du géant américain Liberty Media.
Plus d’informations à suivre…

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Günther Steiner officialisé à la tête de l’équipe Tech3 en MotoGP Lire l’article »

Moto GP

MotoGP, Pedro Acosta répond à la rivalité avec Fermin Aldeguer : « les chiffres parlent d’eux-mêmes »

La rivalité entre les jeunes stars espagnoles du MotoGP, Pedro Acosta et Fermin Aldeguer, alimente les conversations dans le paddock.
Cet article MotoGP, Pedro Acosta répond à la rivalité avec Fermin Aldeguer : « les chiffres parlent d’eux-mêmes » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP, Pedro Acosta répond à la rivalité avec Fermin Aldeguer : « les chiffres parlent d’eux-mêmes » Lire l’article »

Moto GP

EL1 – Acosta et Zarco se montrent à Barcelone !

Deux semaines après la découverte de l’atypique Balaton Park, c’est en terrain beaucoup plus connu que se retrouvent les pilotes MotoGP, sur un circuit de Barcelona-Catalunya où les repères ne manquent pas. Marc Márquez, bien qu’à domicile, assure faire profil bas sur un tracé où il a historiquement rencontré beaucoup de difficultés, mais se rapproche invariablement d’un nouveau titre qui lui tend les bras. 
La première séance d’essais libres de ce Grand Prix de Catalogne a débuté avec des effectifs au complet, mais non sans un peu d’incertitude puisqu’elle devait servir de test pour les revenants blessés : Maverick Viñales et son épaule meurtrie chez Tech3, Aleix Espargaró et ses vertèbres fracturées pour une wild-card chez Honda. 
Les conditions, elles, étaient excellentes pour entamer le travail sur cette piste espagnole au grip parfois précaire, avec un ciel clément et une vingtaine de degrés dans l’air, pour une piste déjà chauffée au-dessus des 40°C. Jack Miller, lui, n’a pas fêté sa prolongation de contrat chez Pramac de la meilleure des manières puisqu’il a été le premier à chuter, sans gravité, au virage 10.
Marc Márquez a bouclé le premier quart d’heure avec le meilleur chrono de ce début de journée, avec un passage en 1’39″198 dès son troisième tour au guidon de la Ducati.
Zarco reprend confiance

Johann Zarco était au rendez-vous des EL1.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

Placé troisième après la première salve de chronos, Johann Zarco s’est fait après la mi-séance une petite chaleur au virage 5, qu’il a pu rattraper pour éviter de finir au sol. Pour Enea Bastianini, c’est un problème technique à l’entame du dernier quart d’heure qui est venu perturber le travail, obligeant l’Italien à ranger sa machine en bord de piste.
Si Álex Márquez s’est rapproché à moins de deux dixièmes de son frère aîné, la référence n’est pas tombée. En fin de séance, l’utilisation de pneus neufs est venu faire bouger une hiérarchie jusqu’ici très figée. Et c’est Pedro Acosta qui s’est chargé de détrôner Marc Márquez, qui n’a pas chaussé de gomme neuve, coupant la ligne en 1’38″979. Troisième, Johann Zarco a confirmé en améliorant coup sur coup, chipant la deuxième place à 95 millièmes du pilote KTM.
Dix-huitième, Fabio Quartarararo a réalisé une séance très discrète, et on peut en dire autant de Jorge Martín, seulement 21e, et de Pecco Bagnaia, 23e et avant-dernier, devançant seulement Somkiat Chantra. Le pilote Ducati, qui a fait tous ces EL1 avec les mêmes pneus, aurait toutefois rencontré un problème électronique.
 GP de Catalogne – Essais Libres 1

Lire aussi :

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

EL1 – Acosta et Zarco se montrent à Barcelone ! Lire l’article »

Moto GP

MotoGP Catalogne J0, Pecco Bagnaia a fait un changement radical ! « Nous étions au plus bas, il fallait essayer »

Pecco Bagnaia est motivé pour ce Grand Prix de Catalogne. Un savant réglage lui permettra peut-être de jouer le podium.
Cet article MotoGP Catalogne J0, Pecco Bagnaia a fait un changement radical ! « Nous étions au plus bas, il fallait essayer » est apparu en premier sur Paddock GP.

MotoGP Catalogne J0, Pecco Bagnaia a fait un changement radical ! « Nous étions au plus bas, il fallait essayer » Lire l’article »

Moto GP

Bagnaia galvanisé par les changements opérés en Hongrie

Maintes fois, cette année, Pecco Bagnaia a cru avoir dépassé ses difficultés avec la Ducati de 2025, pour finalement se confronter à un retour brutal à la réalité. Mais cette fois, le pilote italien semble avoir toutes les raisons d’être confiant. Le changement apporté à sa moto lors d’un week-end hongrois particulièrement éprouvant le motive plus que jamais et lui fait croire que, cette fois, il a enfin les moyens de redevenir le Bagnaia incisif que l’on connaît.
Ce qu’il décrit comme un changement radical restera dans le secret du stand et des réunions d’ingénieurs, néanmoins Bagnaia insiste sur le fait que la modification réalisée sur sa Ducati est notable : “On parle de centimètres. Quand vous modifiez autant une moto, vous le ressentez beaucoup. On parle de moins de deux centimètres.”
“C’est un step à nous qui ressemble un peu plus à ce que l’on avait dans le passé, jusqu’aux dernières années. C’est une sorte de retour à ce qu’on avait avant”, précise le champion du monde 2022-2023.
Lire aussi :

Jusqu’à présent, l’Italien avait du mal là où il excellait par le passé, à savoir dans les freinages et les entrées de virage. Il peinait à se rapprocher d’une autre moto et à porter des attaques, ce qu’il a en revanche réussi à faire lors des courses du Balaton. Bien que ses progrès aient été masqués par un classement encore modeste, dû à son départ lointain et à une pénalité, il a senti que quelque chose de déterminant avait changé.
“Le freinage en ligne droite était très similaire, mais la plus grande différence, c’est que quand j’entrais dans les virages, j’avais la possibilité de mieux stopper la moto en étant sur l’angle. C’est quelque chose qui m’avait manqué toute la saison [quand] je suivais les autres. Quand vous suivez les autres, le sillage ne vous aide pas à vous arrêter, et si vous n’arrivez pas à vous arrêter en ayant de l’angle, vous êtes foutu. C’est le problème que j’avais. Or, ce qu’on a fait en Hongrie nous a aidés là-dessus.”
Comment croire que, cette fois, ce changement va fonctionner ? “Le truc, c’est que quand je roulais seul, j’étais toujours content et compétitif. Si je regarde tous les vendredis et samedis matins, j’ai toujours été compétitif”, rappelle Bagnaia. “Et puis, pour une raison quelconque, j’arrivais en qualification et, certes, j’étais rapide, mais sans n’avoir jamais le type de vitesse que j’espérais. Et puis, pendant la course, je suivais les autres et c’était toujours un cauchemar.”
“Cette fois-ci, j’ai fait les deux courses, le sprint et la course du dimanche, en suivant un autre pilote, et pour la première fois, j’ai pu les suivre de près et les dépasser, donc c’était génial.”
Besoin de toucher le fond pour mieux rebondir
Vu de l’extérieur, on peut s’interroger sur le temps qu’il a fallu pour parvenir à cette solution, surtout s’il s’agit d’un retour à des réglages passés et si cela permet enfin de résoudre les profondes difficultés connues par le pilote depuis le début de l’année. Mais lui-même assume avoir attendu de toucher le fond, en étant mal classé lors des essais du Grand Prix de Hongrie et exclu de la Q2, avant de franchir le pas.
“Au final, je terminais troisième ou deuxième, donc ça ne valait pas le coup de faire un changement aussi grand. Au Balaton, je n’ai pas fait une seule séance parmi les dix premiers, alors c’était le bon moment”, tranche Bagnaia.

Pecco Bagnaia attend confirmation de ses progrès en course.
Photo de: Ducati Corse

“C’est quelque chose qu’on avait en tête et on avait déjà essayé de prendre cette direction cette saison, mais jamais autant. Ça avait toujours été une solution intermédiaire. Or, comme je l’ai appris par le passé, les solutions intermédiaires ne fonctionnent jamais. Il vaut toujours mieux passer directement à un gros step. Au final, ça a été une bonne chose.”
Reste à voir à présent ce que Pecco Bagnaia parviendra à exprimer sur une piste différente, sur laquelle il s’est imposé à deux reprises l’an dernier. Si ses bonnes sensations se confirment et qu’il parvient à se montrer plus incisif en course, alors il pourra définitivement s’estimer soulagé. Mais, pour le moment, il préfère rester encore un petit peu sur ses gardes…
“Ce qu’on a essayé en Hongrie, le samedi au sprint et le dimanche en course, ça a été quelque chose qui m’a permis de piloter plus la moto, de sentir un peu plus ce qu’elle faisait, de mieux gérer les gaz, l’usure. Et c’est quelque chose que je n’avais pas encore réussi à faire à 100% jusqu’à présent, donc ça me fait dire que ce week-end pourrait commencer différemment.”
“Mais avant les courses, je ne me sens pas de dire qu’on a pris la bonne voie”, souligne-t-il. “Je pourrai dire quelque chose après le sprint. Avant ça, je vais travailler, essayer de comprendre, de m’améliorer et on verra si le step qu’on a fait est le bon.”
Lire aussi :

Dans cet article

Soyez le premier informé et souscrivez aux alertes mails pour recevoir les infos en temps réel

S’abonner aux alertes de news

Bagnaia galvanisé par les changements opérés en Hongrie Lire l’article »

Retour en haut