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MotoGP, Cecchinello sur Zarco : « Je n’ai jamais vu un pilote qui ait travaillé avec autant de spécialistes renommés »

Lucio Cecchinello a confié être impressionné par la préparation de Johann Zarco, qu’il estime unique en MotoGP actuellement.
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WSBK, Danilo Petrucci : « J’ai toujours rêvé d’être Champion du monde »

S’il a décroché des victoires et des podiums, et acquis une expérience assez unique dans différents championnats, Danilo Petrucci n’a pour autant pas encore réalisé son rêve de devenir Champion du monde.
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Pourquoi l’avenir d’Acosta passe de moins en moins par KTM

Lorsque Pedro Acosta a fait son entrée dans la catégorie MotoGP la saison dernière, nombreux sont ceux qui ont vu en lui des similitudes avec Marc Márquez, en particulier les qualités que celui-ci avait fait ressortir il y a plus de dix ans, à ses propres débuts dans la catégorie reine. Comme son aîné, celui qu’on surnomme le requin de Mazarrón s’est tout de suite distingué par sa détermination, une confiance en soi inébranlable malgré son inexpérience, un style intrépide en piste et une personnalité forte.
Pour sa deuxième saison en MotoGP, Acosta établit d’autres parallèles avec Márquez, cette fois en termes de stratégie. On se souvient en effet qu’il y a deux ans, le Catalan a établi un plan en deux phases dans le but de vérifier s’il était encore compétitif, avec une première étape consistant à négocier la rupture anticipée de son contrat avec Honda, et la seconde à devenir pilote Ducati.
Pour pouvoir rejoindre le constructeur italien, il devait obligatoirement être libéré par Honda. Or durant les mois de spéculation qui ont précédé la séparation, Márquez est resté fidèle à un seul discours, répétant qu’il avait un contrat avec la marque de Tokyo pour 2024, tout en faisant l’éloge du groupe qui l’a soutenu dès son plus jeune âge.

Quel avenir pour Pedro Acosta et KTM ?
Photo de : KTM Images

Aujourd’hui, Acosta semble effectivement s’inspirer de ce plan, basé sur la diplomatie. Jusqu’à présent, il a dit tout ce que la direction de KTM voulait entendre. “J’ai deux ans de contrat et une usine qui m’a tout donné depuis que je suis petit”, répétait-il encore au Qatar, face à une énième question portant sur son avenir à moyen terme et sur les rumeurs qui circulent quant à l’intérêt que lui portent d’autres équipes.
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À 20 ans, Acosta est l’un des pilotes les plus recherchés du paddock, considéré par beaucoup comme l’héritier naturel de Márquez, lorsque celui-ci décidera de raccrocher. Néanmoins, les turbulences financières que traverse KTM et la confusion technique qui entoure le projet actuel de Mattighofen suggèrent qu’il ne s’agit peut-être pas du meilleur environnement pour un pilote de son talent. Depuis le début de la saison, son meilleur résultat a été une huitième place, obtenue au Qatar. Il est actuellement 11e du championnat, certes meilleur pilote KTM mais loin de ses ambitions.
Le contrat d’Acosta avec KTM court jusqu’en 2026 inclus et il est d’ores et déjà difficile de l’imaginer encore au guidon d’une moto autrichienne en 2027, lorsqu’entrera en vigueur le nouveau règlement technique du MotoGP. Au-delà des performances réalisables, l’incertitude grandit quant au maintien de KTM dans le championnat d’ici à cette date.
Mardi, Pierer Mobility, la société mère de KTM, a annoncé qu’elle recherchait toujours un investisseur prêt à injecter 600 millions d’euros d’ici au 23 mai afin d’acquérir ses parts à hauteur de 30% dans le cadre du plan de restructuration accepté par les créanciers. Un contexte qui n’est pas pour rassurer quant à l’avenir de la marque en Grand Prix alors que le développement des futures moto de 2027 doit se mettre en place.
Une rencontre avec Honda
Pedro Acosta, lui, attend son heure et se concentre sur la journée d’essais prévue lundi à Jerez, un rendez-vous dont il ne cesse de rappeler l’importance afin que KTM remédie à l’inconstance de sa moto. “C’est probablement la journée la plus importante de l’année”, soulignait-il dès Austin, alors qu’il a dernièrement choisi de repasser au châssis 2024 sans réussir à se débarrasser des vibrations pour autant.

Pedro Acosta (KTM) et Joan Mir (Honda)
Photo de : KTM Images

Albert Valera, le manager de Pedro Acosta, garde le silence, néanmoins il fait manifestement son travail et explore de potentielles destinations pour son pilote. À Losail, il a rencontré le team manager de l’équipe officielle Honda, Alberto Puig, qui avait été absent des trois premiers Grands Prix pour des ennuis de santé. Alors que Joan Mir a un contrat jusqu’en 2026, celui de Luca Marini expire en décembre, ce qui alimente les spéculations selon lesquelles Acosta pourrait intéresser le HRC.
Cependant, aucun constructeur – et encore moins Honda – ne se permettrait d’interférer avec un pilote lié à une autre marque tant que la fin de leur relation n’est pas actée. Ce postulat de départ ne semble pas envisageable… à moins que quelqu’un ne le force. La manière la plus simple de sortir du contrat actuel serait d’invoquer la violation de ses termes, cependant cela n’a pas eu lieu et il est peu probable que cela se produise car KTM va agir avec beaucoup de prudence.
Acosta est lié à KTM jusqu’en 2026, mais cela signifie aussi qu’il est totalement libre de signer avec qui il veut pour la saison 2027. Il pourrait même l’annoncer à l’avance, ce qui mettrait le constructeur de Mattighofen dans une position encore plus compliquée. Le projet dont l’Espagnol est la pierre angulaire n’en serait que plus exposé, alors que KTM resterait dans l’obligation de soutenir Acosta tout en le sachant prêt à quitter le navire à la fin de l’année prochaine.

VIDÉO – Son approche et ses sacrifices : Marc Márquez se confie à Motorsport.com

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Oriol Puigdemont

MotoGP

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23h60 de passion brute : immersion avec le CVC Racing Team

Le CVC Racing Team, c’est l’histoire d’un groupe d’amis ingénieurs et mécaniciens, avec un rêve commun : remporter les 23h60. Immersion au cœur du week-end de ces passionnés, qui ont attiré les regards lors de cette 14e édition.
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Comment Yamaha organise son travail pour les motos 2025 à 2027

Sur le papier, les récompenses obtenues par Yamaha en ce début de championnat ne représentent pas une inversion radicale de la tendance par rapport à l’an dernier. Fabio Quartararo, meilleur pilote classé pour la marque, a obtenu 30 points en quatre Grands Prix, contre 25 il y a un an. Le constructeur est quant à lui dernier des cinq marques, mais avec 42 points contre 27 l’an dernier et des écarts très faibles entre tous les concurrents de Ducati.
Si la donne a changé pour Yamaha, c’est d’une part car une équipe satellite est venue gonfler les effectifs et apporter un soutien notable au travail de développement. Mais il y a aussi des avancées indéniables en termes de performances, qui se font sentir quand on entre dans le détail de ces points engrangés.
“Je suis confiant quant au fait que nous avons progressé par rapport à l’année dernière en termes de vitesse”, explique ainsi le directeur technique Max Bartolini, dans une interview pour le site officiel du MotoGP. “Les qualifications le montrent car nous sommes tout le temps en Q2 et notre retard sur la pole est franchement faible par rapport à l’année dernière. Une partie de cette amélioration vient clairement aussi du fait d’avoir Pramac qui nous aide.”
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Si les résultats décrochés en course sont finalement un peu plus faibles qu’espéré, c’est que les attentes ont possiblement dépassé ce qu’était la réalité du développement hivernal. Le responsable technique concède en effet que le test de Sepang, qui a ouvert l’année, a été “peut-être trop bon” au point qu’il a “généré beaucoup d’attentes”, qui ont par la suite été quelque peu déçues. Fabio Quartararo a même parlé d’un “test fake” alors qu’il s’était beaucoup plus emballé que son coéquipier, Álex Rins.
“Nous avons parlé avec Fabio pour qu’il nourrisse des attentes faibles”, explique Max Bartolini, en soulignant le haut niveau d’adhérence dont pouvaient profiter les motos lors de ce long roulage en Malaisie. “Si nous avions pu disputer la course à ce moment-là, alors nous aurions pu le gérer, mais la réalité c’est que, lorsque nous allions revenir à des conditions normales, avec un faible niveau d’adhérence, nous allions avoir plus de mal qu’à Sepang, et c’est plus ou moins ce qui s’est passé.”

Le test de Sepang avait sans doute été “trop bon” et peu représentatif pour Yamaha.
Photo de: Yamaha MotoGP

Face à ce constat, les difficultés de la M1 restent donc sensiblement les mêmes que ces dernières saisons. “Nous avons toujours du mal avec le grip et sa gestion”, reconnaît Max Bartolini. “Nous travaillons donc sur de nombreux aspects, à la fois le châssis, le bras oscillant, la partie cycle et aussi l’électronique, pour essayer de résoudre cela. Dans le même temps, nous essayons aussi d’améliorer un peu l’aérodynamique – pas de grandes différences, mais c’est assez positif malgré tout – et nous devons également rendre le moteur en lui-même plus rapide, comme nous le savons.”
“Notre objectif reste d’obtenir une moto plus prévisible et mieux gérable quand le grip n’est pas élevé. Nous avons prévu différentes étapes avec la moto actuelle au cours de la saison. J’espère que sur le moteur – compte tenu du fait que nous avons les concessions – nous trouverons de grosses choses, mais si je suis réaliste, je m’attends plutôt à beaucoup de petites avancées.”
Beaucoup de tests nécessaires pour valider les évolutions
Yamaha mène-t-elle des tests toutes les semaines, comme l’avait laissé entendre Fabio Quartararo en début de championnat ? “Nous ne roulons pas toutes les semaines”, s’amuse le directeur technique, “mais je dirais que nous roulons très souvent, au moins deux fois par mois.” Un travail intense qui permet au constructeur de couvrir “tous les scénarios possibles” et de cumuler des données pour bien évaluer les évolutions produites. “Pour apporter quelque chose de bon, il faut d’abord le tester pour comprendre s’il est bon. On ne peut pas apporter quelque chose de bon sans avoir fait de test, c’est très difficile.”
Récemment, Yamaha a franchi le pas d’essais privés menés en Europe avec un nouveau concept de moteur V4, révolutionnaire pour cette moto. Ayant déjà indiqué qu’il faudrait bien s’assurer de sa performance et de sa fiabilité avant de l’introduire en course, Max Bartolini explique comment le constructeur va désormais procéder dans son développement, entre V4 et quatre cylindres en ligne : “Nous allons poursuivre sur les deux fronts. Avec la moto de cette année parce que nous n’avons fait que quatre courses, il en reste 18, ce qui est assez long, et nous commençons aussi à nous concentrer sur la moto de l’année prochaine.”
Quid de la moto de 2027, conçue pour le futur règlement technique ? “Nous avons commencé à y réfléchir et à faire des évaluations, comme tout le monde, par rapport à comment devra être le moteur, quel devra être le scénario pour 2027. Mais c’est juste sur le papier, rien n’est vraiment défini”, indique le directeur technique.
Le mot d’ordre à présent est de poursuivre dans la dynamique initiée afin de continuer à rapprocher les M1 du sommet, et ce plus en plus fréquemment. Max Bartolini s’attend à voir les progrès se concrétiser autour de la mi-saison, comme l’a lui-même indiqué Fabio Quartararo.
“Ce que j’ai à l’esprit, c’est d’essayer de réduire notre retard. Nous devrions être un peu plus proches à partir du milieu de saison, mais nous avons besoin de temps pour combler notre retard car il est grand. Ce qui est important, c’est de continuer à réduire notre retard, c’est là-dessus que nous nous concentrons principalement à l’heure actuelle.”
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Léna Buffa

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MotoGP, le calvaire continue pour Miguel Oliveira absent à Jerez : « les tendons sont complètement déchirés »

Miguel Oliveira, qui est l’un des pilotes MotoGP les plus souvent blessés, manquera encore au moins le Grand Prix d’Espagne. Il se confie.
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MotoGP, Espagne, Enea Bastianini prêt pour Jerez : « on a vu le potentiel de la moto grâce à Maverick »

Enea Bastianini est impatient de poursuivre son adaptation à la KTM RC16 sur le circuit de Jerez, où il a obtenu un top 5 la saison dernière.
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Raúl Fernández en quête du plaisir perdu

Pour sa quatrième saison en MotoGP, la troisième au guidon de l’Aprilia, Raúl Fernández était particulièrement attendu, et ce d’autant plus qu’il est le seul pilote que le constructeur de Noale a pu conserver par rapport à l’année dernière. La donne de départ était que l’Espagnol, désormais doté de la dernière spec produite, allait pouvoir faire parler son expérience face au duo recruté dans l’équipe d’usine et à son nouveau coéquipier, le rookie Ai Ogura.
Finalement, c’est le Japonais qui fait beaucoup parler de lui, bluffant dès son premier Grand Prix et auteur des meilleurs résultats de la marque à ce stade, tant en sprint (quatrième) qu’en course principale (cinquième). Si Ogura occupe la neuvième place du championnat, deux rangs et trois points derrière Marco Bezzecchi, c’est essentiellement dû à sa disqualification pour raisons techniques en Argentine.
Son voisin de stand, lui, n’a collecté que cinq petits points à ce jour, son meilleur classement étant sa 12e place au GP des Amériques. Sur les terres de son équipe, cela lui avait beaucoup pesé et Raúl Fernández s’était alors ouvert sur un certain mal-être, avant de décrypter la situation de façon un peu plus réfléchie à Losail, deux semaines plus tard.
“Je me sens bien avec la moto, je me sens bien avec l’équipe. Je pense être prêt physiquement, je dois juste travailler sur mon mental pour essayer de prendre à nouveau du plaisir, d’avoir le sourire sous le casque. C’est la clé pour revenir”, a alors décrypté le pilote Trackhouse Racing.
“Ce que j’ai dit au Texas, c’est que parfois, quand je monte sur la moto, je fais beaucoup d’erreurs. Ça a été le cas en particulier en Amérique, j’y ai fait beaucoup de fautes. C’est peut-être une des raisons pour lesquelles je n’ai pas le sourire sous le casque.”
“Je ne suis pas un petit jeune qui arrive en Moto3. Quand j’ai commencé ma carrière en championnat du monde, je ne faisais jamais d’erreur, par exemple comme celle que j’ai faite à Austin dans le premier tour des qualifications. C’est là-dessus que j’aimerais travailler, pour ne pas faire ce genre d’erreurs parce qu’après, on perd la confiance et ça ne peut pas aller pour un pilote MotoGP professionnel. Ça peut arriver mais c’est inutile de faire ces erreurs dans certaines situations.”

Un petit moral et des résultats faibles pour Raúl Fernández.
Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Fernández assure ne pas se mettre de pression pour faire des résultats : “Je ne pense pas au résultat. Pourquoi est-ce que je le ferais ? Au final, le résultat est la conséquence d’un bon travail, et aujourd’hui je pense à faire du bon travail.” Malgré tout, il n’exclut pas de peut-être chercher à trop en faire : “Franchement, je ne sais pas. Peut-être que je réfléchis trop et que c’est pour ça que je fais des erreurs. Si je montais sur la moto sans penser à rien et que j’essayais de piloter de façon naturelle, peut-être que ce genre d’erreurs n’arriverait pas.”
Il avait beau s’être promis de travailler sur son approche à Losail, le bilan a une nouvelle fois été décevant à ses yeux. “Ça a été très difficile”, a-t-il jugé en quittant le Qatar après une double 17e place. Et il percevait de façon évidente ses difficultés au guidon de l’Aprilia : “Je me sens bien sur la moto dans certains secteurs, par exemple les virages stop-and-go, mais pour une raison quelconque, je n’arrive pas à en extraire le maximum à d’autres endroits.”
“Je n’arrive pas à piloter la moto comme je le veux, je n’entre pas dans les virages comme je le veux et j’y perds beaucoup de temps. Il faut qu’on trouve quelque chose parce que j’ai le sentiment de ne pas pouvoir faire tourner la moto, surtout dans les virages rapides. C’est principalement là qu’il faut qu’on s’améliore.”
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Un travail qui se poursuit avec son psychologue
Malgré une refonte de ses réglages, jusqu’à présent rien n’y a fait. Raúl Fernández a aussi activé des changements dans sa préparation mentale pour chercher à améliorer son approche des week-ends. “Je travaille avec mon psychologue, comme toujours. Mais selon la situation dans laquelle on est, on peut travailler d’une manière ou d’une autre, donc on change nos plans et on réfléchit à travailler différemment pour essayer de voir différentes choses sur la moto quand je monte dessus, d’être plus naturel. C’est peut-être la clé.”
“Je m’entraîne comme d’habitude et je viens avec la même motivation que d’habitude”, a-t-il également promis, “et on fait le maximum pour que je retrouve ces sensations qui sont nécessaires, afin que je pilote comme je le veux.”
Avant son Grand Prix national, cette semaine à Jerez, le Madrilène en est donc toujours au même stade. “Avant toute chose, je voudrais me sentir à l’aise sur la moto”, déclare-t-il. “Pour le moment, on n’a pas réussi à trouver quoi que ce soit qui me permette d’être vraiment rapide et de me sentir vraiment bien dans mon pilotage, alors il faut qu’on regarde bien cela et qu’on fasse du bon boulot.”
“Je vais essayer d’être positif pendant le week-end parce que je crois qu’on peut trouver quelque chose, et on va heureusement avoir un test lundi, qui sera très important également. Ce sera déterminant pour que je me sente bien à nouveau sur la moto et pour que je sois rapide, parce que pour le moment, je n’ai pas pu exploiter son plein potentiel.”
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