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Parlons MotoGP : C’est désagréable, mais il faut dire la vérité sur Johann Zarco

Johann Zarco est encore tombé en Catalogne, une chute qui pèse extrêmement lourd dans son bilan comptable. Où en est-il ?
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MotoGP, Catalogne J3, Ai Ogura (Aprilia/6) signe son meilleur résultat depuis des mois : « On avait vraiment besoin d’une bonne course »

Ai Ogura a enfin sorti la tête de l’eau en Catalogne en décrochant son meilleur résultat depuis le Grand Prix inaugural de la saison.
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WSBK, Dominique Aegerter dans l’impasse : le double champion cherche 800 000 € pour sauver sa carrière

Dominique Aegerter, qui cherche un nouveau guidon pour 2026 après cinq ans chez Yamaha, est en discussion avec Ducati Go Eleven.
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Marc Márquez salue le travail et le mental d’un frère trop souvent rabaissé

À en juger par les images du tour d’honneur, dimanche à Barcelone, on aurait presque pu croire que Marc Márquez avait gagné, et prolongé cette série de victoires qui était la sienne depuis trois mois. Pourtant, il a bel et bien été battu, mais sa joie de voir son frère l’emporter a pris le dessus sur la pointe de frustration d’un compétiteur qui n’aime jamais laisser filer le moindre point.
Les deux frères ont fêté ce doublé comme il se doit, ravis d’offrir un résultat si marquant à leur famille, et qui plus est à domicile. Mais c’était aussi l’occasion de replacer Álex Márquez à une place qui n’est que trop rarement la sienne : devant son champion de frère, légende vivante de la discipline qui lui aura fait de l’ombre tout au long de sa carrière.
“Il a été plus rapide que moi toute ma vie”, admet le cadet, qui dès son plus jeune âge, a marché dans les pas de Marc, de trois ans son aîné, et tout partagé avec lui depuis, de leurs entraînements jusqu’à leur domicile. Bien que lui-même champion du monde, dans les catégories Moto3 et Moto2, Álex Márquez a toujours été rabaissé, placé dans une comparaison qui serait trop lourde à porter pour la plupart des pilotes.
 
“C’est pour ça qu’il est super fort mentalement”, fait remarquer Marc. “Toute sa vie, il s’est entraîné avec moi, et en ayant trois ans de plus, j’ai toujours été plus rapide que lui. […] Il souffrait plus que moi à vélo et en salle parce qu’il faisait le même entrainement physique que moi en étant plus jeune.”
“Aujourd’hui, notre relation est super bonne, plus étroite que jamais parce que je veux ce qu’il y a de mieux pour lui et il veut ce qu’il y a de mieux pour moi. C’est dingue à sept courses de la fin, on soit aux deux premières places du championnat. C’est quelque chose qui n’est jamais arrivé et on va difficile revoir ça à l’avenir.”

Je suis convaincu que si Álex Márquez portait un autre nom, la saison qu’il réalise serait beaucoup plus valorisée.

Álex Márquez est en effet un solide dauphin au championnat, et au vu de la saison exceptionnelle que réalise Marc, ce n’est pas un mince accomplissement. Pilote d’une équipe satellite, il a multiplié les deuxièmes places et est à ce jour celui qui a le plus gagné en dehors du #93. Or, selon ce dernier, on n’accorde pas suffisamment de crédit à ces performances.
“Je suis convaincu que si Álex Márquez portait un autre nom, la saison qu’il réalise serait beaucoup plus valorisée”, estime-t-il. “Le truc, c’est qu’il a toujours eu ce handicap. Beaucoup de gens considèrent cela comme une aide, mais j’ai toujours dit que c’était un poids supplémentaire d’avoir un frère [comme moi].”
“Cette saison, je fais mieux que ce que j’avais prévu et, lui, il fait une saison impeccable. Oui, sa situation s’est un peu compliquée après sa blessure à la main et avec des pénalités, mais si l’on exclut ces trois ou quatre courses, il a réalisé une saison qui permettrait de gagner un championnat.”
“Álex est capable de tout et il l’a prouvé par le passé. Il n’a peut-être pas cette dose de talent en plus que peuvent avoir d’autres pilotes, mais il travaille beaucoup plus dur qu’eux. Je ne citerai pas de noms, mais le talent, si on ne le travaille pas, [il s’étiole] ; et à l’inverse, si on en a un peu moins mais que l’on travaille, on est capable de tout. Il a été champion en Moto3, champion en Moto2, et aujourd’hui il est deuxième dans un championnat qui n’est dominé que par une moto d’usine qui est presque imbattable.”
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MotoGP, le technicien de KTM Alberto Giribuola sur le départ : Enea Bastianini perd un allié

Alberto “Pigiamino” Giribuola, le chef-technicien d’Enea Bastianini, serait sur le point de quitter KTM avec effet immédiat.
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Championnat du Monde Féminin, Magny-Cours : La Française Boudesseul décroche son premier podium, Herrera et Neila mènent toujours la danse

Le Championnat du Monde Féminin a été plus serré que jamais à Magny-Cours entre María Herrera et Beatriz Neila, tandis que Lucie Boudesseul a décroché son premier podium.
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VR46 dit avoir été transparent avec Morbidelli quant aux échanges avec Acosta

À l’image de Jack Miller, Luca Marini et Johann Zarco, Franco Morbidelli a été fixé sur son avenir en MotoGP la semaine dernière. Le pilote italien restera dans le team VR46 au moins jusqu’en 2026, “un choix très facile” pour lui mais qui a donné lieu à quelques spéculations ces derniers mois.
“Il y a beaucoup de rumeurs qui circulent, c’est sûr”, a réagi Morbidelli en souriant, lorsqu’il a été interrogé par le site officiel du MotoGP après l’annonce. Selon lui, les négociations sont bien plus simples qu’il y paraît : “On s’assoit et on discute, dans les deux sens on est très ouverts les uns avec les autres. C’est une manière très unique de négocier. Bien sûr, la partie la plus sérieuse est gérée par Gianluca [Falcioni, manager des pilotes de la VR46 Riders Academy] c’est lui le sérieux. Et entre moi, Vale [Rossi], Uccio [Salucci], Carlo [Casabianca], on discute juste ouvertement entre nous, et c’est sympa.”
VR46 n’a cependant pas caché avoir eu des discussions avec Pedro Acosta il y a quelque temps. Comment Morbidelli a-t-il géré l’incertitude que cela entraînait quant à son avenir ? “Nous avons été très clairs avec Franky”, a répondu Pablo Nieto, team manager de VR46. “Nous lui avons tout dit, tout le temps, car il est important que les pilotes connaissent bien la situation.”
“Évidemment, nous avons été très intéressés par Pedro, mais je pense que c’est le cas de toutes les équipes. Nous savons quel est le potentiel de Pedro, nous savons qu’avec une moto différente, il pourrait faire quelque chose de très grand. On ne sait jamais ce qui peut se passer à l’avenir, nous devons garder la porte ouverte.”

Franco Morbidelli a prolongé avec le Team VR46 jusqu’en 2026.
Photo de: Media VR46

En attendant de voir si la porte de VR46 se rouvrira pour Acosta lorsque le contrat de l’Espagnol avec KTM arrivera à échéance, Morbidelli fera donc une année de plus. S’il connaît parfaitement bien l’environnement VR46 pour avoir été un des premiers pilotes de l’Academy de Valentino Rossi, il n’a rejoint l’équipe que cette année et a eu besoin d’un peu de temps pour prendre ses marques dans le stand. Il estime donc que faire une saison de plus lui permettra de capitaliser sur l’expérience acquise.
“Ça nous donne une meilleure manière de travailler pendant le week-end, ça va nous aider je pense”, a estimé le pilote. “Je suis content de continuer avec les mêmes personnes dans l’équipe. C’est une équipe que j’aime vraiment, j’aime tout le monde ici. C’est une belle opportunité de travailler avec eux encore une année de plus. J’espère que le fait d’avoir réglé notre avenir nous donnera un coup de boost supplémentaire.”
Pour sa part, Morbidelli n’a eu aucun mal à décider de poursuivre avec VR46, indépendamment du peu de places disponibles sur la grille. “C’est simple. La moto est la meilleure du plateau”, a-t-il affirmé sans détour. “Je pense aussi que l’équipe est la meilleure du plateau. Je les connais très bien, je me sens très à l’aise avec tout le monde. C’est vraiment facile de travailler avec eux. Et c’est aussi très simple de travailler avec Ducati en général.”
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Aucune inquiétude à l’idée de passer à la GP25
Pour le moment cantonné à la Ducati de 2024, Morbidelli devrait hériter de la Ducati GP25 l’an prochain. Une moto aussi dominante que performante dans les mains de Marc Márquez, mais un peu plus délicate aux yeux de Fabio Di Giannantonio et surtout de Pecco Bagnaia. Le Romain n’a toutefois aucune inquiétude à l’idée d’affronter la machine qui donne tant de mal au double champion du monde. 
“Les performances de la GP25 sont incroyables. Elle a gagné pratiquement toutes les courses depuis le début de l’année !”, a lancé Morbidelli, promettant de ne pas s’inquiéter malgré les difficultés à Bagnaia. “Il ne devrait jamais y avoir d’inquiétude à piloter une Ducati. On connaît tous la qualité, le potentiel de Ducati. La qualité de leur manière de travailler, de leurs machines et à quel point tout fonctionne bien sur la piste comme en dehors. Il ne devrait pas y avoir d’inquiétude à ce sujet.”

Les performances de la GP25 sont incroyables. Elle a gagné pratiquement toutes les courses depuis le début de l’année ! Il ne devrait jamais y avoir d’inquiétude à piloter une Ducati.

“C’est vrai [que la GP25 ne réussit pas à tout le monde], mais nous savons aussi que la différence entre la GP24 et la GP25 n’est pas très grande”, a ajouté Pablo Nieto. “Évidemment, nous savons qu’elle est un petit peu différente et que la situation se gère d’une manière un petit peu différente. Nous devons encore discuter avec Ducati au sujet de la moto exacte que nous aurons, mais il semble que nous passerons à celle de 2025. Et Ducati va aussi devoir faire celle de 2026 donc nous verrons bien quelles seront les différences entre elles. Nous savons aussi que les moteurs seront gelés, donc il n’y aura pas de gros changement.”
Quant à sa potentielle implication dans le développement de la machine de 2027, Morbidelli ne l’envisage pas encore : “On n’en a pas parlé. On n’a pas eu le temps d’en parler. Pour l’instant, je pilote simplement le package que j’ai aussi vite que possible. Je donne le meilleur feedback possible, le meilleur soutien possible à l’usine. Je ne réfléchis pas plus dans le détail.”

Franco Morbidelli devrait passer à la Ducati GP25 la saison prochaine.
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

À ce stade de la saison, et alors qu’il sort d’un week-end très mouvementé à Barcelone, Franco Morbidelli occupe le sixième rang du championnat, à égalité de points désormais avec son coéquipier Fabio Di Giannantonio. Blessé pendant le week-end allemand et absent dans la foulée à Brno, il juge sa saison satisfaisante en dépit de quelques faux pas.
“La saison s’est plutôt bien passée, même si j’ai fait pas mal d’erreurs”, a-t-il admis. “Quoi qu’il en soit, les résultats ont été suffisamment bons pour me permettre de figurer dans le top 6 du championnat. C’est le reflet d’un bon travail. On a bien travaillé ensemble alors qu’on ne se connaissait pas. On a commencé très fort et on sent qu’on a le potentiel pour franchir un cap. C’est ce qu’on va essayer de faire à partir de maintenant, avec la certitude qu’on va continuer encore une année.”
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Martín retient son bon rythme dans la “parenthèse” de Barcelone

Deux semaines après une belle quatrième place en Hongrie, la dixième position de Jorge Martín en Catalogne a des allures de coup d’arrêt dans son évolution depuis son retour à compétition. Le retour sur la piste qui l’avait vu décrocher le titre l’an passé a certes été difficile mais le Madrilène retient quand même de nombreux éléments positifs.
Ses difficultés à exploiter l’Aprilia sur un tour l’ont relégué en 18e position sur la grille et, lors du sprint, il a été percuté par Franco Morbidelli alors qu’il occupait une lointaine 16e place. Le lendemain, Martín a encore vécu une course remplie de péripéties mais il s’est satisfait de pouvoir intégrer le top 10, le signe selon lui de très bonnes performances.
“Je pense que c’était la meilleure séance du week-end”, a résumé le pilote Aprilia après la course. “Même si partir 18e n’est évidemment pas bon, j’ai pris un départ incroyable et j’étais déjà 12e ou 11e. J’ai été percuté par un pilote au virage 4 et je me suis retrouvé 18e. J’ai recommencé à gagner des places et quand j’ai doublé Oliveira, j’ai eu un problème avec le variateur de hauteur, il est resté coincé et j’ai coupé [un virage]. J’ai perdu deux secondes pour ne pas être pénalisé.”
“Il s’est passé beaucoup de choses dans ma course, mais je dois dire qu’ensuite, mon rythme était très bon. Je faisais des 1’40″7, 1’40″6 ou 1’40″8 constants, je pense que c’était le quatrième ou cinquième meilleur rythme en course. C’est vraiment bon. J’ai beaucoup géré le pneu et j’étais vraiment, vraiment performant en fin de course.”
Un top 10 “comme un podium”
Martín a pu trouver ce bon rythme en expérimentant différentes façons d’aborder les virages pendant la course. Une double satisfaction pour lui, puisque cette approche a mené à des progrès et a démontré qu’il avait retrouvé toutes ses facultés physiques après ses blessures du début d’année.
“Je me sens bien. J’ai commencé à me sentir mieux après 12 ou 13 tours. Je me sentais de mieux en mieux sur la moto. En enchaînant 24 tours, j’ai pu essayer différents styles, différentes approches sur la moto, parce que pendant le week-end, c’est dans les virages très rapides que je perdais le plus de temps. En course, c’était mon point fort, j’arrivais à garder beaucoup de vitesse en courbe. Je gagnais beaucoup de temps dans les virages 3 et 13.”

Jorge Martín a retrouvé sa spécialité à Barcelone : poser l’épaule au virage 5 !
Photo de: Gold and Goose Photography / LAT Images / via Getty Images

“C’est aussi parce que je sens que je suis fort [physiquement], je sens que je peux essayer différents styles. J’étais de plus en plus rapide à chaque tour, mes sensations s’amélioraient. C’est ce qu’il faut, il faut continuer à travailler.”
Martín a donc quitté Barcelone avec le sourire malgré un résultat moins flamboyant qu’à Brno ou au Balaton Park : “Finir dans le top 10 en partant 18e, c’est comme un podium pour moi. Je n’ai jamais fait mieux que 17e ou 18e pendant les essais, donc la dixième place [est bonne]. Je sais qu’il y a eu beaucoup de chutes mais c’était une situation difficile.”
Un circuit atypique
Comme il le souligne lui-même, Martín a été distancé dans toutes les séances d’essais. Ses difficultés sur un tour ont visiblement été exacerbées par le très faible niveau d’adhérence offert par le circuit de Barcelone et dès vendredi, il savait qu’il ne fallait pas se fier aux résultats bruts pour mesurer son évolution.
“Cette piste est particulièrement difficile au niveau du grip. Il faut se concentrer sur cette piste, pas sur mes progrès dans leur ensemble. Il faut que cette piste soit une parenthèse, que l’on travaille juste sur cette piste, et à la prochaine course je repartirai sur les réglages de la Hongrie.”
“Ce circuit est vraiment compliqué et différent de la norme”, a insisté Martín. “J’ai roulé ici avec la Ducati et j’ai encore certaines références du passé, qui ne sont pas bonnes sur cette moto. C’est pour ça que je change un peu mon pilotage à chaque tour.”

Jorge Martín

Si ce manque d’adhérence a compliqué le week-end de Martín, il a néanmoins été utile en exacerbant certaines de ses faiblesses, permettant ainsi de mieux les cibler : “Il y a deux choses : c’est plus difficile de piloter quand la piste est comme ça, tout se complique, mais de l’autre côté, je vois mieux les problèmes donc c’est mieux.”
“Je comprends les choses, je vois que le premier contact sur les gaz entraîne une petite glissade, je perds quelques mètres, ça ne tourne pas bien… C’est peut-être plus dur sur cette piste, ou la différence est plus grosse, mais je voix mieux les problèmes et je peux me concentrer dessus.”
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MotoGP, Pol Espargaro fait une annonce choc : « Je veux courir en MotoGP, et pas en tant que remplaçant »

Pol Espargaro, pilote à temps partiel pour KTM en MotoGP, a beaucoup de propositions du WSBK. Mais lui, que voudrait-il faire ?
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MotoGP, Pecco Bagnaia : « même si je n’ai pas obtenu de résultats fantastiques, je suis toujours troisième au championnat et je dois continuer comme ça »

Pecco Bagnaia est confronté à une “situation très difficile” et a organisé des réunions “très sérieuses” avec son équipe.
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Viñales compose avec la douleur : “Je tiens la moto à une main”

Trois semaines après un retour manqué au Red Bull Ring, Maverick Viñales a renoué avec la KTM pour de bon à Barcelone. Alors qu’il avait dû renoncer à l’issue des qualifications en Autriche, le pilote Tech3 a cette fois pu disputer l’intégralité du week-end, mais il a dû serrer les dents : son épaule gauche, fracturée il y a deux mois, reste très douloureuse et ne lui a pas permis de piloter avec l’intensité nécessaire en qualifications, ce qui l’a relégué en 22e position sur la grille.
Après le sprint, il promettait de ne pas essayer de trop en faire en course principale. Viñales a néanmoins pu voir l’arrivée et même prendre quelques points, en passant sous le drapeau à damier en 13e position, avec la satisfaction d’avoir surmonté la douleur.
“Ce n’était pas mauvais”, a commenté l’Espagnol. “Je suis content d’avoir fait tout le week-end. C’était important d’avoir du kilométrage et de comprendre mes sensations jour après jour. Après la course, je ressens de la couleur, c’est évident, mais j’avais signé avec l’idée de souffrir plus, donc c’était acceptable. J’ai plutôt bien piloté. J’ai évidemment mes limites mais les signaux étaient positifs. On continue, on se rend à Misano. On essaiera encore, en tentant de revenir plus forts.”
Viñales a pu profiter d’une piste “pas vraiment physique” grâce à ses nombreux virages rapides, qui sont les séquences les plus simples pour lui. Il reste en difficulté quand il faut diriger la moto dans des changements de direction brusques, mais aussi en ligne droite, en raison de difficultés à se recroqueviller derrière la bulle.
“Pour moi, le principal problème est que les changements de direction sont durs. En ligne droite, j’ai beaucoup de mal à me blottir sur la moto. Pour le reste, ce n’est pas mauvais. OK, je n’ai pas de puissance, mais je tiens avec mes jambes, avec mon bras droit, donc ça n’était pas mal.”
Un “cauchemar” et une façon de pilote “assez amusante”
C’est un Viñales rieur qui a décrit comment il a tant bien que mal géré certaines séquences : “Quand Diggia est tombé, sa moto était devant et j’ai dû redresser la mienne très vite, ça m’a fait très mal. J’ai eu mal pendant deux ou trois tours puis c’est redescendu et j’ai pu finir la course. Honnêtement, ça allait plutôt bien.”
“Le plus gros souci, c’est en ligne droite. Là, c’est un cauchemar. Je ne peux pas m’abaisser [derrière la bulle] donc je tiens la moto à une main. Ça a commencé à secouer et je me suis dit ‘Oh, arrête de secouer !’. Mais ça n’est pas trop mal. Ma façon de piloter la moto est assez amusante, mais ça va.”

Maverick Viñales
Photo de: KTM Images

Aussi ubuesque que cette situation puisse paraître, Viñales estime s’en être plutôt bien sorti : “Je m’attendais à avoir beaucoup plus mal. Lundi, je doutais de faire la course. Mardi, je suis monté sur une 600cc et je me suis dit ‘Je peux peut-être rouler’ donc j’ai décidé d’essayer de faire le week-end. Finalement, j’ai fait beaucoup de tours. C’était surtout [bien] de faire toute la course.”
Pendant que Viñales souffrait en fond de classement, les trois autres pilotes KTM réalisaient un tir groupé de la quatrième à la sixième place lors du sprint, tandis que dimanche, son coéquipier Enea Bastianini est monté sur le podium et Pedro Acosta a pris la quatrième place. Alors qu’il a régulièrement été le pilote KTM le mieux placé avant sa blessure, Viñales ne nourrit aucune frustration et voit plutôt le niveau des autres représentants de la marque comme une raison supplémentaire de travailler sur sa condition physique.
“C’est une motivation pour récupérer plus vite. S’ils sont là, je peux y être. On n’a aucun doute à ce sujet. Les voir se battre à ce niveau-là apporte une motivation pour continuer à travailler, quitte à travailler en souffrant. Le problème est qu’en travaillant, quand je commence à mobiliser [le bras] et à soulever des poids, la douleur apparaît. Il faut surmonter la douleur. Voir Enea et Pedro être si bons va peut-être me motiver pour surmonter un peu plus la douleur et accélérer ma convalescence.”
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MotoGP Barcelone J3 Débriefing Marc Marquez (Ducati/2) : « J’ai coupé les gaz dans la ligne droite », etc. (Intégralité)

Le débriefing intégral de Marc Marquez après un Grand Prix MotoGP de Catalogne à Barcelone qui a vu s’interrompre sa série de victoires…
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Acosta assume sa stratégie malgré la dégradation rapide du tendre

Après avoir montré des promesses en début de week-end, Pedro Acosta n’a pas véritablement pu confirmer lors des deux courses à Barcelone. Samedi, il n’était pas pleinement satisfait de ses sensations après un sprint conclu en quatrième position, malgré une belle lutte remportée face à Enea Bastianini et Brad Binder. En manque de sensations avec le pneu medium, il craignait d’être encore plus en difficulté en course.
L’Espagnol a finalement été le seul pilote de la grille à ne pas opter pour cette gomme, préférant disputer l’épreuve avec un tendre qui lui offrait plus de garanties malgré une dégradation prononcée. Il estime en avoir fait les frais puisqu’elle est arrivée encore plus tôt que ce qu’il attendait.
“Je ne me sentais pas bien vendredi et je ne me sentais pas bien ce matin [avec le medium]”, a justifié Acosta dimanche soir. “Je n’ai pas fait suffisamment de tours pour comprendre si ça aiderait [de prendre le medium]. Il tenait plus longtemps, mais si c’était pour être baisé dans d’autres domaines, ce n’était pas le bon choix. J’étais assez certain que même s’il allait y avoir une grosse dégradation en fin d’épreuve, je pourrais faire une bonne course. Le seul problème, c’est que la dégradation est arrivée plus tôt que je l’imaginais.”
“J’ai géré dès le premier tour”, a estimé Acosta, qui a pourtant figuré sur le podium provisoire pendant dix tours. “Il y avait beaucoup d’endroits où je ne roulais pas à fond sur la piste. C’était dur. C’est la dégradation à laquelle je m’attendais, peut-être plus tôt que prévu. Avec le recul, on peut peut-être dire que c’était la mauvaise décision mais personne ne le savait en amont. Je suis assez content de ma décision. Je pense que j’ai très bien géré. On a plus d’informations et d’expérience pour l’avenir.”

Pedro Acosta n’a pas pu suivre Enea Bastianini.
Photo de: KTM Images

Acosta a pris un bon envol, qui lui a permis de passer de la cinquième à la troisième place, mais il n’a pas pu menacer les frères Márquez. C’est plutôt derrière lui qu’il devait regarder puisqu’il n’a pas pu contenir Enea Bastianini, qui l’a déposé sur place dans le 11e tour.
“Enea était trop rapide pour que je puisse le voir ! Il m’a mis une seconde en un tour. Je me suis dit ‘Putain !'”, s’est amusé Acosta, néanmoins satisfait de voir l’Italien désormais dans le coup sur la KTM, avec un style différent du sien : “Il est super doux. Je me rapproche de ce style mais ça me prend du temps.”
“Mais je suis content pour lui et pour l’usine parce que c’est bien de voir que pour le quatrième week-end consécutif, KTM a pu placer une moto sur le podium. J’aurais aimé que ce soit moi mais une quatrième place est acceptable, en sachant que ce n’est pas mon meilleur circuit de la saison.”
En prenant la quatrième place des deux courses du week-end, Acosta a surtout suivi les injonctions de KTM, puisqu’il a accepté de sauver des points alors que le podium n’était pas à sa portée : “On a fait un week-end très solide [avec] beaucoup de bons points et d’informations pour l’équipe.”
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La course entre Hamilton et Verstappen pour débarquer en MotoGP

Vendredi, lors d’un événement organisé pendant le GP de Catalogne à Barcelone, le rachat de Tech3 par le consortium Ikon Capital a été annoncé, dans le cadre d’un accord qui verra Günther Steiner, ancien patron de Haas en F1, devenir son directeur général. Hervé Poncharal et Guy Coulon, cofondateurs de l’équipe, cèderont définitivement les rênes à la fin de la saison prochaine.
Après la course, Steiner et Poncharal se sont dirigés vers Bormes-les-Mimosas, où est basée l’équipe française. Mais avant, l’Italien a pris un café avec Motorsport.com. Lors de notre discussion, il s’est félicité d’être devenu le membre du paddock F1 le plus rapide à mettre un pied en MotoGP.
“Je suis très heureux, dans le sens où j’ai réussi à battre les autres dans cette course”, a déclaré Steiner. “Cette discipline est en croissance, et l’arrivée de Liberty est très importante. Ils veulent que ça fonctionne et ils vont investir pour que ce soit le cas, parce qu’ils ont déjà l’expérience de la croissance qu’ils ont permise en F1. […] C’est le bon moment pour investir ici et oui, il y a d’autres personnes intéressées.”
En plus d’autres candidats potentiels, probablement moins célèbres, Motorsport.com a appris que les deux principaux candidats au rachat d’une équipe MotoGP sont Lewis Hamilton et Max Verstappen. L’intérêt du Britannique ne date pas d’hier, tant par passion pour la moto – il lui est arrivé de louer des circuits lorsqu’il roulait pour Mercedes, afin de piloter des Superbikes en compagnie de son ingénieur de course de l’époque, Peter Bonnington, et d’autres membres du paddock – qu’en raison de l’opportunité de croissance offerte par Liberty.

Max Verstappen
Photo de: Mark Thompson – Getty Images

Du côté de son principal concurrent dans la course pour débarquer en MotoGP, le manager de Verstappen, Raymond Vermeulen, a préféré se montrer prudent lorsque Motorsport.com l’a interrogé  sur le sujet dimanche, juste avant le départ du GP d’Italie. “Max est un grand passionné de sports mécaniques au sens large”, a répondu le représentant du champion du monde en titre.
“Il est très impliqué en GT3 avec l’équipe Verstappen.com. Ce n’est pas un secret qu’il s’intéresse aussi au MotoGP, mais réfléchir au rachat d’une équipe n’est pas un objectif réaliste aujourd’hui. Il faudrait que tout s’assemble à la perfection et les chances que cela se fasse sont minimes.”
Une réponse qui a du sens, puisque Motorsport.com a appris que les approches faites par le camp de Verstappen dans la quête d’un vendeur n’ont pas encore porté leurs fruits.
Plusieurs équipes approchées
Tech3 n’est plus un candidat pour des raisons évidentes. Si l’on exclut aussi les cinq équipes d’usine, quatre des cinq équipes indépendantes restantes sont potentiellement à vendre – un accord avec Pramac étant peu probable en raison des liens récemment établis entre Yamaha et la structure de Paolo Campinoti, qui a abandonné son statut de principal partenaire de Ducati pour devenir le bras armé du constructeur japonais.
Motorsport.com a notamment pris connaissance de conversations entre les représentants de Verstappen et LCR, même si le tour du paddock ne s’est probablement pas limité à l’équipe de Lucio Cecchinello. “Les proches de Hamilton et Verstappen ont abordé toutes les équipes privées pour exprimer leur intérêt pour un rachat”, a reconnu le patron de l’une de ces équipes à l’auteur de ces lignes.

Lewis Hamilton est arrivé à Monza… à moto.
Photo de: Kym Illman / Getty Images

La prudence affichée par le représentant de Verstappen dimanche était néanmoins similaire à l’attitude de Hamilton l’an passé, quand des rumeurs sont apparues sur son intérêt. “Je suis intéressé par la croissance potentielle de ce championnat, mais je n’ai pas encore été aussi loin sur le sujet”, expliquait le septuple champion du monde à l’été 2024. “Mais tout est possible. Comme je l’ai dit auparavant, je suis clairement intéressé par le fait d’investir.”
À l’époque, on évoquait un potentiel accord avec Gresini, mais Nadia Padovani, la propriétaire, a refusé de vendre, qu’il s’agisse de Lewis Hamilton ou Andrew Fox, propriétaire de Linfox, l’une des plus grandes entreprises de transport en Australie – également détentrice du circuit de Phillip Island. Par la suite, le nom de Hamilton a été évoqué quand KTM traversait des difficultés financières.
Hamilton ne s’est pas arrêté là. Motorsport.com a appris que le représentant du pilote, Mark Hynes, a continué à étudier une potentielle arrivée en MotoGP. Ces derniers mois, l’avocat a mené des discussions avec au moins trois des équipes privées “disponibles” pour discuter d’un éventuel rachat. Selon nos informations, Hamilton n’est pas seul dans cette aventure, puisqu’il a le soutien de TWG Motorsport, le fonds propriétaire de l’équipe Cadillac qui s’apprête à faire ses débuts en F1 l’an prochain.
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