Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
L’élection présidentielle de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) est plus que jamais plongée dans la controverse. Dans un retournement de situation spectaculaire, un tribunal de Paris vient d’ordonner la tenue d’un procès concernant un recours déposé par la candidate malheureuse Laura Villars contre l’organisation.
Ce drame judiciaire survient à un moment crucial : le scrutin pour la présidence est maintenu la semaine prochaine, malgré l’ombre d’une possible annulation future planant sur le résultat.
Laura Villars attaque la FIA pour des règles « restrictives » favorisant Mohammed Ben Sulayem.
La saga a commencé en octobre lorsque Laura Villars, une des candidates initiales, a déposé une plainte cinglante contre la FIA. Son grief principal ? Des règles électorales qu’elle juge restrictives, permettant de facto uniquement au président sortant, Mohammed Ben Sulayem, de se représenter. Cet arrangement exclusif a rapidement soulevé l’indignation, pointant du doigt un troublant manque de processus démocratiques au sein de l’instance dirigeante.
La situation s’est aggravée avec une série de retraits contraints. Les trois autres concurrents de Villars, Tim Mayer et Virginie Philippot, ont été forcés de se retirer de la course après que l’unique candidate vice-présidentielle viable d’Amérique du Sud, Fabiana
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : Oléna Champlain |

