Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Nicolò Bulega incarne le parcours exemplaire d’un pilote formé à l’Académie VR46. Après des débuts difficiles en Grand Prix, sa reconversion en Superbike s’est révélée décisive : sacré champion du monde Supersport en 2023, il devient le favori pour le titre WSBK 2026 chez Ducati après le départ de Toprak Razgatlioglu de la discipline. Son talent est même reconnu en MotoGP, où Ducati l’a intégré à son équipe d’essais, ouvrant potentiellement la voie à un retour en 2027. Un volume et une assurance désormais acquis qui le font passer à la confession de l’ancien élève, pour mieux révéler l’ambivalence de l’Académie VR46.
Dans une interview sans filtre, Bulega a ainsi détaillé les atouts et les limites d’évoluer au sein de l’empire de Valentino Rossi.
Il commence avec le point fort du dispositif qui réside dans l’exigence collective : « s’entraîner avec des personnes extrêmement compétitives, qui placent la barre très haut est formateur », explique-t-il. Cette émulation quotidienne avec l’élite forge des champions et permet d’aborder les compétitions mieux préparé.
Mais il y a aussi le point faible : un conflit d’intérêts structurel … Le défaut majeur, selon Bulega, réside dans l’absence de séparation des pouvoirs. « On courait pour leur
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |

