Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
À Madrid, loin des paddocks survoltés et des podiums suréclairés, Marc Marquez a accepté d’ouvrir les portes de son refuge le plus personnel : sa salle de sport. Un temple dédié à la survie — bien plus qu’à la performance pure — où s’est joué l’un des chapitres les plus intenses de sa vie.
Après son accident de Jerez en 2020, suivi de quatre opérations au bras droit et d’une chute libre sportive qui a failli lui coûter sa carrière, Marquez a profondément changé sa vision du métier. Pour lui, aujourd’hui, l’entraînement n’est pas un bonus : c’est la condition pour rester en vie dans le MotoGP.
Marc ne masque rien sur moto.it du traumatisme vécu :
« Avec des blessures si longues et d’autres en pleine convalescence, ce n’est pas seulement moi qui l’ai vécu, mais tout mon entourage. C’était extrêmement difficile : être au sommet, toucher le fond, traverser l’enfer, et maintenant retrouver le paradis. »
Il a compris que la longévité ne dépend pas que du talent :
« Respectez votre corps. J’ai toujours pensé que mon corps était fait pour la moto, mais les blessures et l’expérience m’ont appris que si on ne respecte pas son
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |

