Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Souvent parti à la faute cette saison, Jack Miller a préféré jouer la sécurité en Malaisie après avoir souffert sur sa Yamaha lors des deux courses.
Il y a deux semaines, sur ses terres en Australie, Jack Miller avait réalisé le meilleur Grand Prix de sa saison. Même s’il était parti à la faute le dimanche, il s’était qualifié en première ligne et avait terminé au pied du podium en course sprint. Le pilote Pramac espérait parvenir à trouver le même élan sur les autres pistes, et les premiers essais du GP de Malaisie ont semblé aller dans ce sens.
Après avoir terminé neuvième des FP1, il s’est emparé du troisième temps en Practice et a ainsi gagné son passage d’office en Q2, où il s’est qualifié 11e. Toutefois, les difficultés de la Yamaha ont véritablement refait surface sur la distance de course, et même la course sprint, plus courte, ne lui a pas permis de tirer le plein potentiel de sa M1, qui se montre particulièrement complexe à piloter sur une piste comme Sepang, avec peu d’adhérence et une température très élevée.
Du clan Yamaha, seul Fabio Quartararo est parvenu à dépasser ces problèmes, comme souvent. Jack Miller, tout
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : Charlotte Guerdoux |

