Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Ce week-end, j’ai assisté à l’une des plus belles démonstrations depuis que je suis ce sport. Marc Marquez a mis une véritable fessée à ses concurrents.
Inéluctable
Il n’y a pas grand-chose à analyser de son GP d’Allemagne, les images parlent d’elles-mêmes. Le vendredi, il s’est tout de suite concentré sur le rythme de course, et ne chassait même pas le chrono. Puis, le samedi, dans des conditions extrêmement difficiles, il s’est illustré en qualifications en prenant des risques mesurés, en témoignait son geste pour se calmer. À vrai dire, il n’avait pas forcément besoin d’aller chercher cette pole position, car Marquez peut gagner depuis la deuxième ligne, et celle-ci était facilement accessible. En effet, seuls Johann Zarco, Marco Bezzecchi et Franco Morbidelli représentaient une menace sérieuse au chrono ; des concurrents peu dangereux contre qui il n’est pas nécessaire de sortir le grand jeu. Et pourtant, Marquez est allé au combat, avec panache.
M. Sachsenring. Photo : Michelin Motorsport
Ce week-end, j’ai aimé voir la dualité d’un homme, celui qui, tiraillé par la raison d’un côté et la passion de l’autre, ne peut s’empêcher d’exprimer son
Lire l'article complet - Auteur de l'article : Nicolas Pascual |