Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
J’hésitais, il est vrai, à faire un article sur la course de l’année, récompense que j’attribue à une des manches chaque fin de saison depuis 2022. Après Misano 2022, Buriram 2023 et Jerez 2024, il était bien difficile de trouver une joute à la hauteur de ces dernières, au vu du manque de spectacle criant que nous avons tous constaté cette saison. Et pourtant, un Grand Prix s’est détaché, où Fabio Quartararo était l’un des protagonistes.
Deux types de courses
De 2022 à 2024, j’ai choisi des batailles monstrueuses, car, après tout, c’est ce qui fait l’essence de notre sport. C’est pourquoi on l’aime tant, pourquoi on veut qu’il change, aussi. Mais, en sports mécaniques, il existe deux types de belles courses. Premièrement, les batailles, les bagarres, les explications musclées. Ça, tout le monde voit ce que c’est, et tout le monde aime, logiquement. Mais il existe aussi un autre type d’épreuve, plus rare, mais qui fait aussi la légende du MotoGP. Il s’agit des courses à rebondissements, qui ne sont pas forcément serrées.

J’ai hésité avec l’Italie, je
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : Nicolas Pascual |

