Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Carlo Pernat n’a pas besoin d’en faire des tonnes : à Phillip Island, Massimo Rivola a remporté une victoire bien au-delà du simple plan sportif. Le patron d’Aprilia a eu raison — raison de croire en son projet, raison de miser sur la stabilité et sur une vision technique claire. Et face à cela, Jorge Martin, lui, a clairement fait fausse route.
Quand Rivola parlait d’un plan à long terme, beaucoup y voyaient un discours de communicant. Pourtant, course après course, la RS-GP s’est imposée comme la moto la plus complète du plateau : performante, équilibrée, redoutable en pneus usés.
Carlo Pernat l’a résumé sans détour : « compliments à Rivola, il avait raison. »
Une phrase simple, mais lourde de sens. Car elle met un point final à des mois de doutes, de critiques et de scepticisme autour du projet Aprilia. Noale a prouvé qu’il était possible de battre Ducati à la loyale, sans révolution technique ni miracle de sponsor : juste du travail, de la méthode et une vision claire.
Jorge Martin, la mauvaise trajectoire : Aprilia est devenue une marque qui inspire la confiance, pas la fuite.
C’est là que le contraste devient cruel. Pendant que Rivola
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |

