MotoGP, Paolo Pavesio (Yamaha) défend le cycle technique en vigueur : « pas question d’imiter la F1 ! »

Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com

Alors que Liberty Media règne désormais sur à la fois la F1 et le MotoGP, les spéculations vont bon train sur une possible convergence des méthodes — notamment en matière de règlementation technique. Mais pour Paolo Pavesio, directeur de Yamaha MotoGP, le MotoGP doit garder sa propre identité, avec des règles stables sur cinq ans, ou rien.

Le MotoGP fonctionne avec un cycle contractuel et technique quinquennal, durant lequel les équipes s’engagent sur la durée, et les règles restent figées. En théorie, cela doit permettre de maîtriser les coûts et de favoriser l’égalité de traitement entre constructeurs.

« En fin de compte, si vous considérez tous les acteurs impliqués dans la construction de ce paddock, ceux qui investissent le plus sont les fabricants », rappelle Pavesio. « Des règles stables sont donc une base nécessaire pour continuer à investir et à construire le spectacle. »

Pour Yamaha, ce cycle est « la condition minimale » pour garantir la durabilité de ses engagements.

Paolo Pavesio : « le budget disponible pour les voitures et les motos est très différent »

Dans le modèle de la Formule 1, bien que les grandes réformes soient elles aussi cycliques (prochaine en 2026), des changements ponctuels sont

Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé
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