Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Ce devait être un sprint tranquille pour Ducati à Brno en République tchèque. Une fois Marc Márquez et Pecco Bagnaia en tête, on pensait la victoire verrouillée. Mais soudain, tout a basculé.
Bagnaia a ralenti inexplicablement à mi-course. Acosta, Bastianini et Quartararo en ont profité pour le dévorer. Puis, Marquez a levé sa moto pour laisser passer Acosta… Une stratégie étrange ? Pas vraiment. Encore une fois, c’est la fameuse règle de la pression minimale des pneus qui a dicté la course.
« Sur certains circuits, les ingénieurs essaient toujours d’être à la limite de la pression parce qu’on a un peu plus de performance », a expliqué un Marc Marquez lucide mais agacé. « Aujourd’hui, on était à la frontière. Juste au moment où j’ai pris l’aspiration, j’étais déjà dans les limites. »
Le champion a ensuite repris la tête à un tour et demi de la fin, signant une victoire in extremis… avant d’être placé sous enquête pour pression irrégulière. Mais l’affaire s’est vite dissipée : une erreur du système de direction de course a été reconnue. Pas de pénalité, victoire confirmée.
A little dashboard kiss and some help to celebrate @marcmarquez93‘s 11th Sprint win 😂#CzechGP 🇨🇿
Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |