Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Mandalika restera dans les annales Ducati : non pas pour la domination de Pecco Bagnaia, ni pour un coup d’éclat de Marc Marquez — mais pour une claque collective infligée à l’équipe Factory par… ses propres satellites. Et en particulier par un rookie de 19 ans au sang-froid déconcertant : Fermin Aldeguer. Gigi Dall’Igna fait le bilan.
Gigi Dall’Igna l’a reconnu sans détour : ce Grand Prix d’Indonésie était « le plus compliqué de la saison. » Ni Pecco Bagnaia, en quête désespérée de repères, ni Marc Marquez, à nouveau blessé, n’ont pu porter le drapeau rouge sur les terres indonésiennes. Le paddock était en apnée, les datas à la dérive, et la Factory Ducati sur le reculoir.
Et pourtant, le team officiel Ducati est champion du monde par équipes, au cœur de son week-end le plus sombre. Un symbole de domination structurelle, mais aussi d’un basculement générationnel. Car ce titre, Ducati le doit à ses équipes clientes : Gresini, Pramac, VR46 — et désormais, Gresini plus que jamais.
« Je le dédie à notre équipe extraordinaire, à nos filles et à nos garçons, de véritables professionnels », a déclaré Dall’Igna, saluant cette victoire au goût doux-amer.
Mais le nom qui restera, c’est Fermin
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |

