Extrait de cet article : post publié sur Auto-moto | MotoGP
Marc Márquez a signé le meilleur temps en 1’37.355, prouvant qu’il est prêt à jouer la victoire ce week-end. Mais Pedro Acosta, une nouvelle fois impressionnant, n’a concédé que 8 millièmes, confirmant sa capacité à rivaliser avec les plus expérimentés. Fabio Di Giannantonio complète ce trio de tête avec un retard limité à un dixième. Derrière, Fermín Aldeguer et Marco Bezzecchi ferment le top 5, à moins de six dixièmes de Márquez, illustrant la densité de ce groupe de leaders.
Les poursuivants restent menaçants
Juste derrière, Enea Bastianini signe le 6ᵉ chrono à 0’’557. Joan Mir et Brad Binder suivent de près, démontrant une belle régularité dans leurs chronos. Álex Márquez prend la 9ᵉ place, confirmant la compétitivité du clan Gresini. Plus inquiétant, Jorge Martín, actuel leader du championnat, termine seulement 10ᵉ, à 0’’746. Rien n’est perdu, mais il devra hausser le ton lors des qualifications pour éviter une mauvaise surprise.
Des favoris en difficulté
À partir de la 11ᵉ place, les écarts se creusent légèrement mais restent serrés. Miguel Oliveira et Ai Ogura échouent aux portes du top 10, devant Luca Marini et Pol Espargaró. Fabio Quartararo n’a pas trouvé la vitesse espérée et termine 15ᵉ, devant Franco Morbidelli. Johann Zarco ne fait pas mieux que 17ᵉ, tout comme Francesco Bagnaia, relégué à une décevante 18ᵉ place. Le fond de classement est occupé par Raúl Fernández, Álex Rins et Jack Miller, loin du rythme espéré.
Cette FP2 a mis en évidence une hiérarchie extrêmement serrée, où le moindre détail peut faire basculer l’ordre établi. Márquez et Acosta semblent avoir une longueur d’avance, mais derrière eux, tout reste ouvert. Les qualifications s’annoncent intenses et pourraient redistribuer les cartes.
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GP de Hongrie : Márquez résiste à Acosta dans une FP2 ultra serrée
La deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Hongrie a offert un duel intense entre Marc Márquez et Pedro Acosta. L’Espagnol de Ducati signe le meilleur chrono pour huit millièmes, tandis que Di Giannantonio complète le top 3. Derrière, la hiérarchie reste très compacte avec Aldeguer, Bezzecchi et un Jorge Martín en retrait.
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