GP de France : “être déçu avec une quatrième position c’est positif”, analyse Quartararo après la course sprint

Extrait de cet article : post publié sur Auto-moto | MotoGP

Il n’y avait pas grand chose à faire pour Fabio Quartararo au volant de sa Yamaha face à l’armada des Ducati menées par les frères Márquez, toujours aussi intraitables. Le Français avait pourtant réussi à résister au sextuple champion du monde MotoGP au moment de l’envol, comme il la confié pour Auto Moto en zone presse : “au départ ici il y a tout qui tremble donc assez content, après c’est une position réaliste à laquelle on finit et on a fait une course intelligente”, a-t-il déclaré avec une pointe d’amertume. “Être déçu avec une quatrième position c’est toujours positif. Il y a des circuits on va être plus en forme que d’autres. Sur un tour c’est une chose mais 13 tours sur le même pneu c’est difficile pour nous. Il y aura des courses beaucoup plus difficiles.”

“Le meilleur tour de ma carrière”

Le champion du monde 2021 est ensuite revenu sur sa magnifique pole position de ce matin : “la pole c’est je pense le meilleur tour de ma carrière, je savais pas que c’était pole position mais c’est vraiment un temps spectaculaire. Nan j’ai pas entendu l’ovation mais j’ai senti leur énergie.” Enfin il s’est exprimé sur sa bagarre avec Fermín Aldeguer et ses attentes pour la course longue de demain, “C’était marrant (le duel avec Aldeguer), dommage de finir quatrième mais je me suis amusé. On prend plus de plaisir quand on se bat pour les places de devant c’est sûr. Demain je vais partir en hard médium, je pense que le drop (la chute de performance) sur le tendre est trop fort donc c’est le choix logique pour moi. Demain ça sera peut être une course inversée, plus dure au début et peut être plus facile à la fin.”

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GP de France : “être déçu avec une quatrième position c’est positif”, analyse Quartararo après la course sprint

Il n’y avait pas grand chose à faire pour Fabio Quartararo au volant de sa Yamaha face à l’armada des Ducati menées par les frères Márquez, toujours aussi intraitables. Le Français avait pourtant réussi à résister au sextuple champion du monde MotoGP au moment de l’envol.

Rédacteur

Jacques de Miscault

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