Extrait de cet article : post publié sur Auto-moto | MotoGP
La course démarrait idéalement pour Quartararo, placé idéalement sur la grille pour célébrer les 70 ans de Yamaha. Malheureusement, dès l’extinction des feux, ses difficultés à exploiter l’adhérence se sont fait sentir, le Français perdant plusieurs places dès le premier tour. Relégué à la 5ᵉ place au sortir des premiers virages, il chutera plus loin après avoir dû élargir pour éviter la chute d’Aldeguer et Mir au cinquième tour devant lui.
Avec l’amélioration progressive de la piste, Quartararo a pu reprendre de meilleures trajectoires. Il sort de l’ombre des leaders, remontant jusqu’à la 10ème place à l’arrivée. Un classement bien éloigné de ses espoirs alors que le rythme de sa Yamaha semblait plus compétitif une fois les conditions optimisées.
“On est tout simplement toujours autant en difficulté dans les premiers tours avec l’adhérence, où on est… pff on est nuls… Après il y a eu un peu de malchance et ensuite je me suis retrouvé bloqué derrière un groupe de pilotes. Je pense que mon rythme était trois ou quatre dixièmes plus vite mais on a toujours autant de difficultés à dépasser. Quand la piste commence à avoir de l’adhérence, notre rythme est beaucoup mieux. C’est là où on doit vraiment s’améliorer.” Explique le français, source : paddock-gp.com
Quartararo n’est pas le seul à souffrir, la M1 en patit dès que l’adhérence faible complique le début de course. L’équipe doit désormais trouver des réglages plus équilibrés pour éviter les plantages en tournant à froid, tout en conservant un rythme élevé une fois la piste revenue à la normale.
Avec cette 70ème année célébrée dans la douleur, Quartararo et Yamaha ont désormais deux semaines pour tirer les leçons. Le Grand Prix d’Allemagne au Sachsenring sera le test décisif pour évaluer si le constructeur japonais peut corriger ses failles et redevenir compétitif dès le départ.
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GP des Pays-Bas : Quartararo s’effondre après un départ prometteur à Assen
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