Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Le Grand Prix d’Italie a été le théâtre de batailles intenses, mais aussi d’incidents qui ont ravivé la controverse autour des sanctions en MotoGP. Au cœur des débats : Franco Morbidelli – dont la manœuvre a une nouvelle fois gâché la course d’un adversaire – et l’apparente clémence des commissaires.
Le Grand Prix d’Italie a, comme souvent, tenu ses promesses : vitesse, spectacle, tifosi en délire… et une direction de course aux abonnés absents. Cette fois, c’est Maverick Viñales qui a goûté au bitume, fauché net par Franco Morbidelli. Mais rassurez-vous, tout va bien : l’Italien a écopé d’une monumentale… pénalité de long lap. Voilà. Trois secondes de perdues. On peut littéralement renverser un adversaire en pleine course, et repartir avec un minimum de dégât. Bienvenue en MotoGP 2025, où la justice sportive est optionnelle.
On pourrait croire à une mauvaise blague. Mais non. Morbidelli, dépassé proprement par Viñales, a tenté une réponse aussi désespérée que mal exécutée : freinage hasardeux, roue avant qui tape, et Viñales envoyé dans les graviers. Un geste que même dans une course régionale, on sanctionnerait plus sévèrement.
Et pourtant, la sentence est tombée. Une boucle, un tour hors trajectoire – à condition de ne
Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |