Extrait de cet article : post publié sur Auto-moto | MotoGP
Le Français ne cache pas sa frustration et explique que le circuit du Mugello met en évidence les limites de la Honda. Dans les virages rapides, où stabilité et confiance sont primordiales, la RC213V manque cruellement d’assise. Le pilote français a notamment insisté sur la difficulté à prendre les virages avec précision, faute de grip et de stabilité dès qu’il met de l’angle.
“J’ai un feeling vraiment similaire à celui que j’avais en Aragón, ce qui est dur à accepter, parce que je ne peux pas contrôler la moto ni trouver de la performance en piste… De la première sortie en piste ce matin jusqu’à la dernière séance cet après-midi, j’ai eu le sentiment que tout ce que l’on fait sur la moto me donne le même feeling; j’ai les mêmes difficultés. C’est dur, je ne comprends pas pourquoi ni d’où ça vient.” Déclare le pilote Honda après les essais du vendredi, source : motorsport.com
Désabusé par sa perte soudaine de feeling, Johann Zarco évoque une possible cause : la chaleur et admet manquer de repères.
“Je suis clairement déçu mais je ne sais pas d’où ça vient. J’essaie de tout prendre en considération : la moto, la piste, le pilote. Peut-être que ça vient de moi, qui manque de performance, mais c’est dur de juger dans l’immédiat. Concernant l’équilibre de la moto, ici et en Aragón, on perd ce feeling. La seule raison peut être la chaleur en piste, qui nous cause beaucoup de problèmes.” Explique Johann Zarco, source : motorsport.com
Alors que le Mugello devait être une opportunité pour progresser après sa chute en course à Aragon, Johann Zarco se heurte à une impasse. En manque total de sensations et d’explications, le Français semble désormais perdu et espère retrouver de la performance rapidement. En attendant, le week-end s’annonce long pour le vainqueur du Grand Prix de France.
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Un vendredi noir pour Zarco en Italie
À Mugello, Johann Zarco traverse un véritable cauchemar au guidon de sa Honda. Entre manque d’adhérence, instabilité dans les virages rapides et incompréhension générale, le Français admet ne plus avoir de repères. Une situation préoccupante alors que le week-end ne fait que commencer.
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