Yamaha remporte les 24h du Mans moto

Extrait de cet article : post publié sur Auto-moto | MotoGP

Au lendemain du départ de la 48ème édition des 24 heures du Mans moto, c’est donc la Yamaha numéro 7 du team YART, équipe autrichienne, qui s’est imposée pour la première fois depuis 16 ans. Dans cette course, qui marquait le lancement de la saison du championnat du monde d’endurance (EWC), la pluie a joué un rôle prépondérant, permettant à la Yamaha, vice-championne en titre en EWC, de terminer devant la Kawasaki N.11 du Webike Trickstar. La moto gagnante de l’édition 2024, la Suzuki N.1 du Yoshimura SERT, a subi une série de déconvenues samedi et termine sixième. Jusqu’à la ligne d’arrivée, le suspens était présent et la dernière heure a dû faire souffrir les pilotes du team YART, composée du Tchèque Karel Hanika de l’Allemand Marvin Fritz et du Britannique Jason O’Halloran. Partis en pole position, ils terminent avec seulement 1 minute et 37 secondes d’avance sur leurs dauphins pilotants la Kawasaki N.11.

Kawasaki aura des regrets

En tête pendant environ les deux tiers de la course, la Kawasaki pourra nourrir de gros regrets au terme de cette épreuve. Alors qu’elle compte plus de trois tours d’avance à la mi-journée, Mike di Meglio, triple vainqueur de l’épreuve (2017, 2020 et 2023), est tombé. Ensuite, Roman Ramos, toujours en tête à une heure de l’arrivée, voit la pluie s’abattre de nouveau sur la piste et chute à son tour, laissant la Yamaha lui passer devant.  Avant cela, la machine japonaise était l’une des seules à ne pas être partie à la faute dans une course qui a vue plus de 150 chutes, notamment les six de la Suzuki N.1 du Yoshimura SERT, tenant du titre. Dix minutes après le départ, son pilote Français Gregg Black est tombé alors qu’il était en tête.

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Yamaha remporte les 24h du Mans moto

Au lendemain du départ de la 48ème édition des 24 heures du Mans moto, c’est donc la Yamaha numéro 7 du team YART, équipe autrichienne, qui s’est imposée pour la première fois depuis 16 ans. Dans cette course, qui marquait le lancement de la saison du championnat du monde d’endurance (EWC), la pluie a joué un rôle prépondérant.

Rédacteur

Jacques de Miscault

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