Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Par-delà le bitume et la compétition, Maverick Viñales poursuit un autre type de trajectoire : celle, plus intime, qui le ramène à ses racines. Né à Figueres, comme un certain Salvador Dalí, le pilote catalan a récemment évoqué ses origines tziganes et ce besoin viscéral de fuir, de se reconnecter à une forme de vie plus brute. Une confession rare, profonde, presque chuchotée… qui nous rappelle qu’un homme reste toujours en quête de sens, même lancé à 350 km/h.
Maverick Viñales évoque ainsi le le besoin parfois de fuir… pour se retrouver : « parfois, j’ai juste besoin de m’évader. Un week-end, seul, en montagne »
Viñales le reconnaît : derrière le casque, il y a une âme sauvage, une pulsion vers la nature, une soif d’espace. Il ne s’agit pas de caprice, mais d’un besoin enraciné, presque génétique, de retrouver un lien perdu avec le monde brut, organique.
Ce désir d’isolement n’est pas une rupture avec le monde moderne, mais une réconciliation avec un passé flou, celui de ses ancêtres tziganes. Il le dit avec pudeur, mais on sent qu’il y a là une forme d’appel intérieur, un écho lointain qui résonne encore dans le présent.
L’héritage invisible des
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |

