Extrait de cet article : post publié sur Paddock-GP.com
Il y a trois ans, Raul Fernandez était censé être le nouveau Marc Marquez : huit victoires en Moto2 dès sa saison rookie, un style spectaculaire et un avenir que tout le paddock imaginait doré. KTM s’était battu pour le signer, Aprilia l’a récupéré pour son projet satellite TrackHouse… mais depuis, l’Espagnol semble se perdre dans les promesses jamais tenues.
Le week-end dernier à Mandalika aurait pu être son vrai tournant. L’Aprilia RS-GP était l’arme absolue, la moto à battre. Le sprint ? Podium solide, troisième place, un rayon de soleil. Mais le dimanche, alors que le scénario rêvé était écrit, Fernandez a encore laissé passer sa chance : un départ hésitant, des dépassements mal préparés, un contact maladroit avec Luca Marini et pour finir une sixième place fade, loin de ce que la machine permettait.
Massimo Rivola n’a pas mâché ses mots. Le commentaire du patron d’Aprilia Racing accentue la pression sur l’Espagnol pour qu’il transforme enfin son potentiel en résultats concrets, surtout lorsque sa moto est clairement capable de se battre pour le podium.
« S’il avait tenu devant avec Fermin Aldeguer, il aurait pu se battre avec lui. Il n’a pas réussi à amorcer une manœuvre correcte.
| Lire l'article complet - Auteur de l'article : André Lecondé |

